25.9.07

Agression au tribunal

Issu d'une famille très troublée, je suis régulièrement assigné par ma mère devant les tribunaux.

En fait ce sont des avocats indélicats qui profitent de sa faiblesse et de ses revenus pour dévaster ma famille.

Ce matin j'ai donc été une nouvelle fois assigné par ma mère devant un tribunal par "son" avocate. Un avocat que je ne connaissais pas mais qui était dans l'affaire m'a dit que mes conclusions étaient "limites" d'un ton rogue et désagréable. En effet, je conteste le mandat de l'avocate de ma mère qui ne peut donner un mandat, vu son âge et son état de santé.

Cette façon inadmissible de brimer la liberté a reçu sa juste rémunération. Je suis libre et j'ai droit à la liberté. La volonté liberticide de cet "auxiliaire de justice" était évidente. C'est ainsi que la liberté est brimée devant les tribunaux par des pressions inadmissibles.

Cet "auxiliaire de justice" ne l'a pas entendu de cette oreille, puisqu'après avoir avec mesquinerie refusé de me dire qu'il partait et pourquoi m'a dit qu'il voulait me "foutre son poing dans la gueule" mais que j'étais trop vieux pour cela.

Le droit pour un justiciable de s'exprimer librement devant un tribunal ne plaît pas à la corporation. Or je suis justiciable et j'ai le droit de m'exprimer. Il faudrait que cesse cette habitude détestable des juges français d'interrompre les plaidoiries.

En attendant, "ma mère" (elle a quatre-vingt quatorze ans si vous voyez ce que je veux dire) paye une avocate contre ses propres intérêts et contre les intérêts de la famille, de sa famille, de ses enfants, mais évidemment pas contre les intérêts de "son" avocate. Cette avocate se sert largement. Les avocats intéressés font chorus avec elle, car le droit à dépouiller les familles est inscrit dans les droits de l'homme nouvelle manière de certains membres du personnel judiciaire français.

Il est pourtant contraire à l'article 17 de la déclaration Universelle des Droits de l'Homme du 10 décembre 1948 promulguée sous l'égide de l'ONU de priver quelqu'un de ses biens. Le droit à ses biens est un droit de l'homme. Bien sûr le droit à l'amour, à la justice est le socle des droits de l'homme.

J'ai rappelé les droits de l'homme dans une autre affaire semblable. Cela a fait rire aux larmes une assemblée d'avocats (sauf une avocate qui a pris ma défense), "droit de l'homme" quel con pouvait donc parler des droits de l'homme, ouarf, aourf !"

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