2.6.08

Selon le nommé Bouyssic je me précipite à la "curée procédurale"

Le nommé Bouyssic, juge, président de chambre à la cour d'appel de Nîmes avec ses collègues Berthet et Pollez écrivent dans une de leurs inoubliables décisions, à propos de ma famille et moi
"la curée procédurière dans laquelle la famille Merlin s'est engagée".


La curée ? J'ai vérifié ce que voulait dire la curée. Voici ce que le "Trésor de la Langue française" donne comme définition du mot "curée" :

"bas morceau du gibier abattu que l'on donne en pâture aux chiens, à la fin de la chasse."

Par métonymie :

"fait de donner aux chiens les bas morceaux et pour les chiens, de les dévorer (généralement avec avidité.)"

Mais voilà la vraie insulte :

"fait de se disputer avidement quelque chose que l'on convoite, notamment une situation vacante ou un bien disponible, souvent après la mort ou la chute politique de quelqu'un."

http://www.cnrtl.fr/definition/cur%C3%A9e

Merci mon petit Bouyssic d'insulter ainsi ma mère, mes frères et moi. Mon père est mort le 15 janvier 2000 et en m'adressant depuis huit ans à justice française rien n'est réglé, nous en sommes quasiment au point de départ : bravo juges français !

Ce que vous ne comprenez pas, misérables juges français que vous êtes, c'est que le responsable que prétendument vous cherchez à cette situation : c'est vous.

Ce que vous ne comprenez pas non plus, c'est que de vos décisions dépendent non seulement des biens mais aussi des études d'enfants, des aides à donner et vous ne pouvez l'ignorer puisque j'ai plaidé avec l'aide juridictionnelle.

Ce que vous ne comprenez pas, c'est que dans une famille où certains ont perdu la raison vous êtes là pour la rétablir dans ses droits.

Ce que vous ne comprenez pas non plus, petit juge français, c'est que les bien immobiliers inexploités, l'argent stérilisé nuisent non seulement à la famille, à des enfants, mais encore à tout le monde à tous les gens qui veulent se loger et, dans une toute petite mesure, mais dans une mesure non inexistante, à la France.

Ce que vous ne comprenez pas, c'est qu'on ne vous demande pas d'insulter les justiciables, mais de rendre la justice en fonction de la loi, du dossier et de l'équité. C'est pour ça que vous êtes payés, pas pour insulter.

A propos d'équité, vous m'avez condamné à 10 000 €, d'indemnité d'article 700 en faveur de l'avocat qui a plaidé cette affaire simple, sans expertise, qui a duré peu de temps (savoir s'il fallait ou non un représentant de parts de société). Précisons que je n'avais pas d'avocat, que personne n'a plaidé pour moi, ni même déposé un dossier, c'est dire l'acharnement à la "curée" et combien la décison a été difficile à arracher ! ! !

C'est ça ton équité Bouyssic ? Ça marque votre partialité, votre haine de ma famille, vous vous êtes disqualifié pour être juge, Bouyssic.

Allez ne soyons pas méchant, Bouyssic a passé les bornes et vendu la mèche, mais, à part deux dames qui ont rendu des jugements honnêtes et normaux, cela fait longtemps que les juges français rendent des jugements très bizarres dans ces affaires Merlin. Allez comprendre...

Signé : le chien Denis Merlin, boua, baou, boua, baou !

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Eh bien, il en prend plein la tronche le dénommé B..., Denis. :-)

Je ne connais pas bien votre problème et je ne suis pas curieuse.

Il y a des moments où je suis contente d'être pauvre et où je pense que pauvreté est synonyme de liberté (tant qu'on a un toit et qu'on ne meurt pas de faim).

Unknown a dit…

Ecoutez, Marie, ce n'est pas lui qui s'en prend plein la tronche, c'est moi depuis plus de huit ans.

Vous savez, je vis dans une petite surface, loin de tout, l'immeuble est un logéco des annés soixante (c'est dirre le luxe) j'ai une voiture une skoda qui a été construite il y a douze ans et je me fais insulter bassement par le nommé Bouyssic. Je suis très virtuellement riche.

Mais ce n'est pas d'être riche qui m'intéresse, c'est de pouvoir payer mes impôts, mes obligations alimentaires, de gérer me biens rationnellement et justement, car j'ai des enfants.

Bouyssic lui, comme on est on voit les autres, ne voit dans ma réclamation de justice que des mobiles bas de lucre. Il se croit autorisé à me diffamer parce qu'il est assis sur un fauteuil dans un palais d'injustice.

Tout à fait d'accord avec vous, quand on a un toit et de quoi manger et se vêtir, cela suffit. Mais moi j'ai en plus des impôts à payer et des dettes aussi et Bouyssic m'empêche de le faire.