16.3.09

Les aventures d'un pauvre handicapé avec maître Nicole Bonvino avocate au barreau de Toulon

N'étant qu'un pauvre handicapé, retraité pour invalidité, je savais que la justice française n'avait que mépris pour les handicapés. Elle m'a privé de mon fils, m'a ruiné en me condamnant à des sommes astronomiques. Je me console en me disant que mon adversaire a le bras long et que la justice française ne cherche pas la justice. Les tribunaux rendent des services et pas des jugements.

J'ai donc écrit à l'avocate de mon adversaire la nommée Nicole Bonvino, ex candidate malheureuse au bâtonnat où elle a fait un score plus qu'honorable. Ce qui est signe qu'elle est parfaitement en osmose morale avec les milieux judiciaires.

Voici, je lui écris, mais elle ne me répond jamais. Silence et mépris des handicapés, c'est sa devise. Du moment qu'on a le fric, c'est aussi sa devise.

Donc voilà ce que je lui ai écrit sans qu'elle me réponde :

Chèrre Maître Bonvino Nicole,

Ayant omis de le préciser, je vous précise, à toute fins utiles car cela pourra vous être utile, on ne sait jamais que je viens d'apprendre cela au téléphone d'une personne dont vous me permettrez de ne pas citer le nom. On n'est jamais trop prudent et je sais que vous avez le bras long, voire très long, chère maître Bonvion Nicole.

La vie avec vous est une perpétuelle aventure, pleine d'imprévus et j'envie vraiment l'homme dont vous faites le bonheur.

Je vous prie d'agréer, Maître Bonvino Nicole, l'expression de mes respectueux sentiments, si vous changez d'attitude.

Denis Merlin

Chère maître Bonvino Nicole,

Selon ce que l'on m'a dit, vous auriez demandé la nomination d'un notaire à Toulon. Ce sont des bruits qui courent.

La moindre des politesses aurait été de m'en avertir au préalable.car je suis handicapé et vit à trois-cent kilomètres de Toulon, j'aurais voulu un notaire sur Gap, ou à la rigueur Sisteron, ou alors le vrai bonheur aurait été Grenoble ou, encore mieux Briançon.

Votre demande n'est pas très délicate. C'est dans la continuité de ce que vous avez montré être, hélas !

J'espère que vous allez changer votre inqualifiable attitude.

Sentiments très respectueux, si vous changez d'attitude.

Denis Merlin

Maître Bonvino,

Il va sans dire que je demanderai à qui de droit la justification que vous avez, en l'occurrence, réparé votre malhonnêteté.

Sinon, j'envisage de déposer plainte contre vous.

Je vous prierai aussi de m'écrire pour me promettre que vous ne vous moquerez plus moi en raison de mon handicap.

Avec mes très vifs remerciements anticipés pour votre changement.

Veuillez agréer, Maître Bonvino Nicole, l'expression de mes sentiments les plus respectueux.


Denis Merlin

Maître Bonvino,

On m'a mis au courant de votre inqualifiable attitude lors de l'audience des référés.

Vous avez sciemment omis de distribuer vos conclusions à mon frère XXX après avoir fait semblant d'aller les chercher. Je vous reconnais là : l'argent plus que l'honneur, le mensonge et le mépris pour les faibles du moment qu'on a le fric, même des petits enfants ou des handicapés. Qu'ils crèvent, pourvu que j'aie le fric ! C'est votre noble devise d'avocate.

Je vous prie de fournir immédiatement vos conclusions à mon frère XXX.

Je vous prie aussi de cesser de vous moquer de moi parce que je suis handicapé chaque fois que je vous vois.

J'attends toujours que vous modifiez votre assignation qui outre des fautes de vocabulaires étonnantes chez une avocate, contient des éléments horribles comme de demander au tribunal de "constater" la mort de ma mère.

Vous ne profiterez pas indéfiniment que nous sommes pas dans un État de droit.

Sincères salutations.

Denis Merlin

Maître,

Au cours des nombreuses procédures que vous m'avez faites, j'ai pu constater que vous aimiez vous moquer à gorge déployée des gens malheureux et inoffensifs. On a les courages qu'on peut. Je vous reconnais là.

Je constate que dans l'assignation que vous m'avez fait délivrer que vous demandez aux juges français de "constater le décès de" ma mère.

Il est suffisamment pénible de perdre sa mère, sans qu'on vienne encore demander à un tribunal de "constater son décès". La constatation du décès a déjà eu lieu, il y a eu acte de décès.

Je vous demande de retirer immédiatement cette expression injurieuse pour ma famille et pour moi. Je ne veux pas discuter devant les juges de la "constatation du décès de ma mère". Ma mère est hélas morte, cela ne fait aucun doute.

Comme je vous connais, je sais que la lecture de ce mail va déclancher chez vous un rire à gorge déployée, pour se moquer du malheureux que je suis. Mais je n'en continue pas moins à vous demander de retirer cette ignominie.

Copie à monsieur le Bâtonnier.

Agréez mes salutations.

Denis Merlin

Ce dernier message est du 18 février, mais il n'a reçu aucune réponse, ni de maître Bonvino, avocate au barreau de Toulon, ni du bâtonnier.

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