14.6.09

Monsieur Simmonot et le "Christ à la chaise électrique"

Monsieur Alexandre Simonot conseiller municipal de Taverny publie un communiqué sur le "Christ à la chaise électrique" dont j'extrais ce passage.


COMMUNIQUE DE PRESSE D’ALEXANDRE SIMONNOT
Conseiller Municipal de Taverny

"CHIRAC et DI FALCO inaugurent actuellement l’exposition de la collection privée de François PINAULT à Dinard. Parmi ces œuvres, figure une sculpture authentiquement blasphématoire : la « Piéta » d’un certain Paul FRYER représentant Jésus-Christ affalé sur … une chaise électrique !

Cette sculpture est une honte et un scandale. Cette sculpture est une ignoble insulte à Jésus-Christ, Vrai Dieu et Vrai Homme, mort sur une Croix. Cette sculpture est une injure envers les millions de croyants qui vénèrent et adorent Jésus-Christ et sa Croix dont ils se signent chaque jour.

Cette pseudo œuvre d’art insulte également la Très Sainte Vierge Marie, Mère de Dieu. Pourquoi s’en priver tant qu’à faire ? La « Piéta » désigne en effet la Vierge Marie recueillant son Fils mort dans ses bras. Mais apparemment, CHIRAC et DI FALCO ont changé les dogmes et ils croient et professent que Jésus-Christ a été recueilli par une chaise électrique. Honte à ces deux sinistres individus !

Comme toujours, c’est la Religion Chrétienne qui est attaquée. Si jamais on avait représenté Mahomet dans une pareille posture, il y aurait des défilés dans toutes les rues de France et les têtes de CHIRAC et DI FALCO seraient mises à pris ! Mais insulter Jésus-Christ est très facile puisque personne ne le défendra."



Le message évangélique est un message historique. Jésus-Christ est un personnage historique et l'histoire fait partie de la Révélation. La bible est constituée en partie de récits historiques. Il s'agit donc d'un blasphème contre la foi des chrétiens qui ridiculisent Jésus-Christ. La croix a une valeur aussi spirituelle pour les chrétiens, la croix, historiquement daté et aucun autre instrument de supplice.

Ces deux personnes bafouent donc la liberté religieuse, on ne peut moquer les croyances de quiconque. Un Etat de droit traduirait devant les tribunaux tous les acteurs de cet attentat contre la liberté religieuse. L'article 1er, troisième phrase de la constitution édicte que "la République respecte toutes les croyances", si elle les respecte, elle doit les faire respecter. Les articles 9 et 17 de la Convention européenne des droits de l'homme interdisent aussi ce genre de blasphème. Ces personnes violent aussi la déclaration universelle des droits de l'homme du 10 décembre 1948.

Les droits de l'homme sont un des éléments fondamentaux de la politique qui a pour objet le bien commun.

D'ailleurs l'effusion du sang est importante pour le chrétien, elle est même condition du pardon.


"Hébr 9,22. et, selon la loi, presque tout est purifié avec du sang, et sans effusion de sang il n'y a pas de pardon."

Cela enlève toute valeur religieuse à cette "œuvre", mais lui ajoute une valeur antireligieuse.

Demandons le respect de toutes les croyances.

Une nouvelle fois, observons que la France n'est pas un Etat de droit (la constitution n'est pas appliquée) et qu'il est bon de luttons pour qu'elle le devienne, il nous faudrait pour cela d'autres magistrats, mieux formés aux droits de l'homme.

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