21.9.09

"Homophobie" un concept flou utilisé à des fins de diffamation.

Il semblerait que le Parlement européen ait condamné la Lituanie. Ce pays avait pris une loi faisant défense de promouvoir l'homosexualité à l'école et dans tous les médias accessibles aux enfants.

Selon le blog d'Yves Daoudal

"Le député Jean Lambert (prononcer Djiine, c'est une charmante Verte britannique : photo), co-signataire du projet de résolution, a déclaré : « Le Parlement européen a envoyé un message clair au gouvernement lituanien, que l'homophobie n'a pas sa place dans l'Union européenne - ni dans la société, et ne peut certainement pas être consacrée dans une quelconque législation. »"

Ainsi, c'est le mot "homophobie" qui tient lieu de raisonnement. Il est destiné à paralyser l'adversaire et à interdire toute réflexion.

En réalité, s'il est bien évident que les personnes homosexuelles ont droit, comme tout être humain, aux droits fondamentaux : liberté religieuse, intégrité physique, droit à la réputation, droit à la vie privée, la promotion de l'homosexualité ne s'en oppose pas moins aux droits de l'homme. Or aucun droit de l'homme ne peut être invoqué contre un autre droit de l'homme (article 30 de la déclaration universelle)

La prétendue défense des homosexuels n'est en réalité qu'un hypocrite prétexte destiné à détruire la nature humaine dans laquelle est gravée la raison qui édicte le droit naturel.

Or ce droit naturel est exprimé dans la déclaration universelle des droits de l'homme du 10 décembre 1948. Cette déclaration fait partie du droit positif universel.

La position de la majorité des députés du Parlement européen est en contradiction avec le droit à une famille reconnu par la déclaration universelle des droits de l'homme.

Article 16 de la déclaration universelle des droits de l'homme du 10 décembre 1948 :

1. A partir de l'âge nubile, l'homme et la femme, sans aucune restriction quant à la race, la nationalité ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille. Ils ont des droits égaux au regard du mariage, durant le mariage et lors de sa dissolution.
(...)
3. La famille est l'élément naturel et fondamental de la société et a droit à la protection de la société et de l'Etat.

Si la famille est l'élément fondamental de la société, c'est qu'elle est ordonnée à la procréation des enfants et à leur éducation, ce que ne peuvent être les relations homosexuelles.

Le parlement européen est donc une institution tyrannique ordonnée à la satisfaction tyrannique de pseudos "droits de l'homme" prétextes à violer les droits de l'homme (contre l'article 30 de la même déclaration).

Nous avons à faire à des tyrans ne respectant pas la liberté de la famille, ni la liberté d'éducation, ni la liberté des peuples. Ces institutions totalitaires n'ont aucune existence légale, le droit et le devoir de leur résister nous est donné par la nature.

De plus cette idéologie de "libération" du droit naturel déchire l'humanité. Le droit naturel correspond à la réalité de l'être humain dans sa nature d'animal raisonnable.

Ce droit naturel nous met en communion avec tous les hommes quelles que soient leurs races, leurs religions ou leurs nationalités respectives.

La négation du droit naturel est une négation de vérités accessibles à la raison. C'est d'ailleurs pourquoi cette vérité du droit naturel unit tous les hommes. L'esprit humain est universel.
Ainsi ceux qui nient ces vérités, se ridiculisent, nient l'évidence, déchirent l'unité de l'humanité. Ils nient l'humanité en ce qui fait son essence même : la raison. Oui, ils nient l'humanité. On pourrait dire qu'il s'agit d'un crime contre l'humanité qui aboutit d'ailleurs au grand massacre des embryons et des foetus et bientôt des vieillards, des malades, des handicapés (les foetus trisomiques sont déjà systématiquement avortés) puis... de qui ne plaira pas.

On retourne ainsi subrepticement à la barbarie nationale-socialiste et communiste, au moins dans leurs principes communs de négation des droits de l'homme.

Pour cela les tenants de cette idéologie utilisent impunément la diffamation. En effet, en employant le mot vague d'homophobie, ils pratiquent l'amalgame et sous-entendent que ceux qui veulent défendre le droit à une famille et le droit à l'éducation sont des criminels qui veulent s'en prendre aux droits fondamentaux des personnes homosexuelles.

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