15.4.10

Haine à l'institution judiciaire










Un des hommes condamnés injustement pas la "justice" française a déclaré n'avoir pas de haine, même pas pour sa dénonciatrice calomnieuse, mais uniquement envers l'institution judiciaire.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/04/15/97001-20100415FILWWW00381-secher-haine-de-l-institution-judiciaire.php

Ayant moi-même eu beaucoup à souffrir de l'inénarrable "institution judiciaire française", je partage sa "haine", qui n'est pas une haine des hommes comme m'en a accusé injustement un élève de l'ENM (un abject rusé provocateur, futur magistrat, il m'a bien eu cette canaille), mais une haine du mensonge institutionnalisé, du viol hautain des droits de l'homme, de la brutalité de taureau dans le mensonge et le parjure, des injures gratuites, de la partialité et par dessus tout, de l'arbitraire tyrannique.

Je hais l'arbitraire tyrannique qui envoie en prison pour des années des innocents, dans la ligne de l'affaire d'Outreau, toujours actuelle.

Mais si l'institution judiciaire (y compris les "ordres de avocats" et les greffes) peut ainsi violer la règle de droit pour laquelle elle est instituée (article 66 de la constitution), elle peut évidemment faire moins grave dans toutes les nuances, moins grave certes mais de façon plus étendue. (Quoique l'on puisse se demander si participer à l'établissement d'un syndrome d'aliénation parentale, spolier cyniquement un pauvre au profit d'un riche sont des forfaits moindres).

Il faudra un jour que les magistrats français commencent à respecter les droits de l'homme (dès maintenant il y a des exceptions qui respectent les droits de l'homme, mais ce genre de magistrat est marginalisé).

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