14.4.10

Les propos du cardinal Bertone condamnés par "la France"



Selon ce que j'ai lu sur Internet, le cardinal Bertone a fait un lien entre homosexualité et pédophilie. Il a invoqué pour cela des travaux scientifiques sans autres précisions (exactement il a invoqué les travaux de "nombreux psychiatres et psychologues"). En réponse le gouvernement français a brandi les droits de l'homme et sommé le cardinal de se taire. La France se fonde sur son prétendu militantisme pour les "droits de l'homme" dans les instances de l'ONU.

En ce qui concerne les propos du cardinal je n'approuve ni ne désapprouve le cardinal Bertone. N'étant ni psychiatre ni psychologue, je n'ai aucune compétence pour traiter de cela, je n'en traiterai donc pas.

En revanche la réaction des autorités française provoque chez moi les réflexions suivantes : Je ne vois pas ce que les "droits de l'homme" peuvent avoir à faire avec une vérité scientifique. Nous sommes ici devant la maintenant habituelle barbarie française, l'habituel totalitarisme des "élites" françaises.

Violant la liberté d'expression s'arrogeant une autorité scientifique et morale, "la France" dit "nous condamnons". Elle ne peut le faire, qu'en s'érigeant en docteur moral et scientifique. Elle viole ce faisant la laïcité de l'Etat, la liberté d'expression et la liberté religieuse.

3 commentaires:

Unknown a dit…

FIN DE LA POLÉMIQUE BERTONE : Les médias ont sorti la citation incriminée (laissant croire qu'il aurait affirmé froidement qu'il y a un lien entre homosexualité et pédophilie) du CONTEXTE de la CONFÉRENCE DE PRESSE DU CARDINAL BERTONE sur les mesures à venir contre la pédophilie dans l'Eglise. EN AUCUN CAS, le NUMÉRO 2 du VATICAN n'a PARLÉ de cette façon comme tentent de le matraquer les médias de masses.

http://www.zenit.org/article-24070?l=french
http://www.zenit.org/article-24057?l=french

Unknown a dit…

Merci, chère amie, de votre commentaire, je suis très flatté que vous lisiez mon très modeste blog quasi-familial. (Je vois cependant en consultant "sitemeter" que j'ai quelques passionnés que je remercie de leur fidélité. C'est surtout pour eux que j'écris)

En général, je tente de m'en tenir au strict plan juridique (science sociale qui a pour objet la justice et donc les droits de l'homme).

Dans ce post, mon propos est d'établir que le gouvernement français, usurpe un rôle.

En matière scientifique (en l'occurrence psychiatrie, psychologie, sociologie) seuls les scientifiques peuvent parler avec une certaine autorité et proposer leurs opinions au public (autant de tête, autant d'avis), alors que l'Etat, laïque par définition, en ces matières n'a aucun titre à interdire une opinion, ni même à la critiquer.

L'Etat (français en l'occurrence) usurpe une autorité en définitive doctrinale, sous le prétexte purement verbal des "droits de l'homme".

Ma critique visait surtout le gouvernement français, de cette France qui fut un pays civilisé mais qui sombre tous les jours un peu plus dans la barbarie sous l'impulsion de ses hauts fonctionnaires idéologues adeptes du libéralisme et/ou de l'athéisme.

Votre lien est très intéressant, il entretien un certain suspens... J'admire les hautes autorités de l'Eglise qui ne peuvent manifestement "tenir" dans le tohu-bohu au milieu duquel nous vivons tous, que par une solide vie spirituelle et une grande probité morale.

Je suis persuadé que nous allons vivre des moments passionnants.

Unknown a dit…

Merci, chère amie, de votre commentaire, je suis très flatté que vous lisiez mon très modeste blog quasi-familial. (Je vois cependant en consultant "sitemeter" que j'ai quelques passionnés que je remercie de leur fidélité. C'est surtout pour eux que j'écris)

En général, je tente de m'en tenir au strict plan juridique (science sociale qui a pour objet la justice et donc les droits de l'homme).

Dans ce post, mon propos est d'établir que le gouvernement français, usurpe un rôle.

En matière scientifique (en l'occurrence psychiatrie, psychologie, sociologie) seuls les scientifiques peuvent parler avec une certaine autorité et proposer leurs opinions au public (autant de tête, autant d'avis), alors que l'Etat, laïque par définition, en ces matières n'a aucun titre à interdire une opinion, ni même à la critiquer.

L'Etat (français en l'occurrence) usurpe une autorité en définitive doctrinale, sous le prétexte purement verbal des "droits de l'homme".

Ma critique visait surtout le gouvernement français, de cette France qui fut un pays civilisé mais qui sombre tous les jours un peu plus dans la barbarie sous l'impulsion de ses hauts fonctionnaires idéologues adeptes du libéralisme et/ou de l'athéisme.

Votre lien est très intéressant, il entretien un certain suspens... J'admire les hautes autorités de l'Eglise qui ne peuvent manifestement "tenir" dans le tohu-bohu au milieu duquel nous vivons tous, que par une solide vie spirituelle et une grande probité morale.

Je suis persuadé que nous allons vivre des moments passionnants.