14.5.10

Message personnel à l'infâme monde judicaire français




« Tout homme qui a de la haine contre son frère - nous l'avons entendu dans la deuxième lecture - est un meurtrier, et vous savez qu'un meurtrier n'a jamais la vie éternelle demeurant en lui. » (1 Jn 3,15). Dit le cardinal Bertone cité par zenit.

Ainsi des gens après m'avoir privé de mes enfants, de ma femme, de mon patrimoine, m'imputent "la haine". Ils croient avoir gagné contre moi qui suis inoffensif et sans haine en m'imputant la haine qu'ils ont pour moi.

Des avocats et des huissiers vénaux et faussaires (mes adversaires ont beaucoup d'argent), des juges prévaricateurs (qui condamnent un pauvre créancier au profit d'un riche débiteur, qui trouvent qu'un loyer de 2 300 euros par an (pas le loyer d'un studio) pour 225 hectares dont 37 ha de vignes en partie AOC coteaux d'Aix en Provence, produisant du vin inscrit au guide Hachette et des milliers de m² construits, des caves, des bâtiments d'habitation et agricoles... c'est normal, c'est un "loyer" normal... Cela à titre d'exemples, car j'en passe... sans doute des pires) et faussaires pleins de haine viennent ensuite m'imputer de la "haine" et me diffamer en disant que je suis capable de "tuer".

Ils peuvent pourtant dormir sur leurs deux oreilles, je ne suis pas chargé de la répression des délits et des crimes. Ils violent le bien commun, ils s'en prennent lâchement et sans risque par des moyens malhonnêtes à un pauvre et un malheureux, puis ils viennent encore lui cracher dessus en lui imputant une dangerosité imaginaire, ils le font sans risque avec moi, ces acteurs de l'infâme monde judiciaire français.

Ils ont leur "présidents", leurs "bâtonniers", leurs "chers maîtres", leur "cour de cassation" et tout ce cirque brutal et menteur, grand bien leur fasse !

Tout comme moi, dans quelques années nous nous retrouverons devant le tribunal de Dieu et tout le mal que je leur souhaite, c'est de se repentir avant qu'il ne soit trop tard, car devant le juste Juge, il n'y a pas de franc-maçonnerie ni de "cher ami, je me dois de vous signaler...", il n'y a même pas "vous savez, je suis un ami du pape..." qui tiennent, il y a la vraie justice, sans mensonge.

On ne peut penser qu’une société puisse combattre efficacement le crime quand elle le légalise elle-même dans le cadre de la vie naissante.

(Benoît XVI, 16 septembre 2006) cité par Jeanne Smits.

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