5.11.11

Le Centre Saint Paul au secours des manipulations maçonniques

Le chevalier de la Barre, un jeune noble influencé par la propagande des « Philosophes » s’était rendu coupables de divers délits. Ces délits laïcs lui furent reprochés. Il lui fut reproché d’avoir détérioré un monument public avec un objet tranchant ou contondant, et d’avoir méprisé ostensiblement et volontairement au sentiments religieux de ses concitoyens, d'avoir perturbé un office religieux. Il ne lui fut pas reproché de « blasphème ».

Cela n’empêche pas le Centre Saint Paul dirigé par l’abbé de Tanoüarn de tenir une réunion sur le « droit au blasphème » ainsi présentée sur son site :

« Depuis l'affaire du Chevalier de la Barre qui n'avait pas enlevé son chapeau devant le Saint Sacrement, la question du droit au blasphème hante notre culture. C'était au XVIIIème siècle. Mais sommes-nous plus matures
aujourd'hui ? Au nom du droit au blasphème, considéré comme un acquis, on est en train, ministre de la culture en tête, de faire passer un droit à l'insulte et à l'immondice, grâce à ce qu'il est convenu d'appeler l'affaire
Castellucci. La liberté d'expression mène-t-elle forcément au mépris ? »

Il est très grave de reprendre les fausses informations, les diffamations laïcistes, que cela soit fait par un « Centre » réputé « de droite » n’enlève rien, au contraire, à la gravité de la faute.

http://www.facebook.com/event.php?eid=155250227907180

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