13.2.12

En matière d'avortement il faut aussi la fraternité universelle

Une femme médecin des Asturies (Espagne) a déclaré en substance qu'un médecin n'avait pas à se transformer en bourreau pour pratiquer les avortements. Madame Smits semble approuver cette déclaration. Une loi limitant la licence d'avortement vient d'être votée en Espagne. Cette loi est un progrès par rapport à la loi précédente, mais elle n'est pas admissible comme telle. Ce qui n'empêche pas des organisations "féminisites", (mais qui militent pour l'élimination des fœtus féminins) de manifester en faveur du "droit" de mort.

Voici donc ma réponse proposée et qui est pour l'instant en attente de publication éventuelle par madame Smits :


On ne peut sous aucun prétexte souhaiter un moindre mal ou demander que quelqu'un d'autre "fasse le travail" (on ne peut souhaiter à personne de devenir tueur à gages, c'est contraire à l'égalité fondamentale des êtres humains et à la fraternité humaine universelle). Même si, bien sûr, il vaut mieux une loi moins mauvaise, mais il ne faut pas perdre de vue, ni faire silence sur le souhait d'une loi bonne, donc qui interdise l'avortement universellement.

En conséquence, je ne suis pas d'accord avec le discours de cette dame, même si je le trouve accidentellement positif, il est substantiellement inadmissible. Désolé.

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