5.7.12

AZF : le stalinisme toujours à l'œuvre

L'affaire AZF a fait l'objet en appel d'un procès fleuve médiatiquement enterré. L'affaire judiciaire avait débuté avec les déclarations du procureur de la République de Toulouse. Dès avant le début de l'enquête judiciaire cet honnête magistrat français avait déclaré à la télévision que cette explosion était accidentelle. Ces déclarations étaient en réalité une orientation donnée aux enquêteurs qui savaient dès lors ce qu'ils avaient à prouver, conformément aux vœux du parti communiste et de sa CGT et de leur ami monsieur Chirac, alors Président de la République. La Cour devrait rendre son arrêt le 24 septembre 2012 (fin de débats le 15 mars 2012).

Selon un de mes posts, le juge Bruguière avait déposé contre l'institution judiciaire française et j'avais écrit deux autres posts à ce sujet.

L'observatoire de l'islamisation relate l'existence de deux "notes en délibéré" expédiées aux magistrats pendant leur délibéré et communiquées à toutes les parties. Ces "notes en délibéré" (texte écrit envoyé aux magistrats pendant leur délibéré par les avocats de la cause). Une de ces notes insisterait sur la piste de l'acte volontaire négligé pendant l'enquête judiciaire menée, en partie, sous la direction de l'honnête magistrat en question. Les juges d'instruction s'étaient vu, par ailleurs, dépossédés par voie de fait, de leur autorité sur l'enquête.

Il est intéressant de noter la réaction stalinienne de l'avocat d'une des parties civiles (un bâtonnier), réaction relatée par l'Observatoire en ces termes :


"Le quotidien La Dépêche du Midi, qui révèle mercredi l'existence de ces notes, rapporte la vive réaction de l'avocat d'une des parties civiles «l'association des sinistrés du 21 septembre», Me Thierry Carrère. «Il serait temps que Total et sa défense respectent la douleur et la soufrance des Toulousains au lieu de l'instrumentaliser», a-t-il déclaré."


Le caractère paranoïaque du raisonnement saute aux yeux. Ce qui est plus grave, c'est que cette agressivité paranoïaque se fait aux dépens des droits de l'homme, des droits de la défense et du droit à la vérité. Ainsi fonctionne le milieu judiciaire français. Le bâtonnier Carère se présente comme un grand défenseur des droits de l'homme et des "déshérités". Il ne semble pas comprendre que la "justice" française tente de déshériter Total et son employé de leur honneur et de leurs droits à les défendre. Les droits de l'homme sont UNIVERSELS, Carère !

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