19.2.13

Le Haut conseil aux droits de l'homme de l'ONU contre les droits de l'homme

Le 4 décembre le Conseil des droits de l'homme dépendant de l'Assemblée générale des Nations unies a rendu un rapport sur la situation en France.

Ce rapport parle du droit des femmes, du droit des Roms, du droit des juifs (antisémitisme), du droit des étrangers, de la mémoire de l'esclavage, mais uniquement de l'esclavage transatlantique (comme si celui-ci avait, le seul et le plus cruel).

Les droits des hommes tués par les femmes (cela existe), la commémoration de tous les esclavagismes (l'esclavage fut une institution universelle), les droits des Français de vivre leur culture, le respect de l'intégrité physique des enfants juifs et musulmans par l'abandon de la circoncision, la liberté de l'ordre public national, sont totalement ignorées.

En réalité cette littérature ne vise pas à établir les droits universels de l'homme, mais, sous prétexte de droits de l'homme, à détruire la liberté et l'ordre public français. Elle est évidemment inspirée du marxisme.

Ce rapport encense la création du "Défenseur des droits" (article 71-1 de la Constitution issu d'une révision constitutionnelle de 2008 mise en œuvre par deux lois en 2011) qui est une institution contraire à la laïcité. La magistrature est le défenseur des droits. Elle agit au nom du peuple français. La pensée est libre, la pensée du peuple français est libre, il ne doit pas y avoir une autorité doctrinale en matière de droit, c'est contraire à l'égalité de tous les êtres humains. Chacun est libre d'exposer ses idées dans le respect, normalement assuré par la magistrature, de l'ensemble des droits de l'homme (article 30 de la Déclaration universelle des droits de l'homme) qui ne discriminent pas sous prétexte de "lutte contre la discrimination".

Arrestation de monsieur Alexandre Gabriac par les défenseurs des droits des Roms, des homosexuels...

Ce "Défenseur des droits" (1) intervient dans les procès et fausse ainsi les débats en bafouant le principe de l'égalité des parties et des droits de la défense. Que pourra faire un pauvre bougre, s'il n'est ni femme, ni juif, ni musulman, ni étranger, ni Rom, ni homosexuel que le "Défenseur des droits" désignera à la vindicte de la société ? Les principes généraux de procédure, surtout pénale sont bafoués (comme ils le sont déjà dans l'obligation de certains de prouver leur innocence et dans l'incrimination des mobiles).

La dérive actuelle du droit vers un droit de discrimination totalitaire inspirée du programme communiste est mise en œuvre. Les réformes injustes de la Constitution ne rencontrent, à ma connaissance, aucune opposition (à part sur votre blog).

La législation fragmente l'humanité en "femmes", "homosexuels", "Roms", "étrangers", "musulmans", "juifs" (antisémitisme) en abandonnant, sans le dire, l'idée de droits universels de l'homme sans distinction aucune.

Les conséquence désastreuses de cette politique se constatent par exemple dans les affaires de privation de pères par les magistrats. Ceux-ci, éduqués à la méfiance à l'encontre du mâle, violent les droits/devoirs des pères et les droits des enfants par souci de "lutte contre les discriminations"  à l'égard des femmes.

(1) Monsieur Dominique Baudis est l'actuel "Défenseur des droits". Il a été condamné pour diffamation à l'encontre d'un simple gendarme...

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