18.2.13

Le syndrome d'aliénation parentale favorisé par la « justice » française

Dans Famille chrétienne, relayé par le Salon beige, un père raconte ce que j'ai vécu, ce que j'ai judiciairement vécu :


« Que ce soit au civil devant les Juges des Affaires Familiales ou au pénal devant les magistrats qui instruisent des plaintes, les papas sont clairement victimes de discriminations. Il y a une justice à deux vitesses. Une pour les mères et une autre pour les pères. Au civil, le tarif de base pour un papa c'est de voir son enfant quatre jours par mois, c'est à dire un dixième de la garde. Et ensuite, au pénal, c'est de voir ses plaintes pour non représentation d'enfant classées sans suite. [...] La politique judiciaire française favorise la mère. Or, un enfant a besoin d'une mère et d'un père. Même s'ils sont séparés, les deux sont importants. C'est une évidence. Les mamans ne font pas des enfants toutes seules. Et un enfant, pour se construire, il a besoin de son papa, même s'il est séparé de sa maman. C'est l'évidence même, mais apparemment ça ne l'est pas pour nos magistrats. »

J'ai posté à l'époque et plus tard, sur le syndrome d'aliénation parentale qui ne se guérit que par l'intervention judiciaire, comme l'on démontré les Américains. Le juge doit s'adresser à la mère en ces termes : "- Madame, si votre enfant ne va pas voir son père, vous, vous allez aller en prison." Dès lors l'enfant, pris en otage par la mère pour se "venger" de ce que le père se soit pas soumis à elle, l'enfant dit à sa mère "- Tu sais, ce sale type qu'est papa, je vais aller le voir. Mais ce n'est pas parce que je l'aime, mais parce que je ne veux pas que tu ailles en prison." Et la maladie mentale qu'est le syndrome d'aliénation parentale s'évanouit.

En France l'incurie, voire la méchanceté, des magistrat(e)s est la règle. L'institution judiciaire fonctionne donc au rebours de sa mission. Ce n'est malheureusement pas que dans le cas cette seule matière.

Mais ce comportement est à replacer dans le cadre psycho-sociologique non sans conséquences juridiques de la suppression du père. Car le père rappelle Dieu, il tient son autorité de Dieu (comme la mère, pas plus, mais pas moins). La prière des chrétiens s'adresse à Dieu qu'ils appellent "Père" : "Notre père..."

Aucun commentaire: