27.2.13

Monsieur Bernardin démontre l'inutilité du Conseil économique et social

Les quelques 700 000 pétitionnaires ayant agi dans le cadre d'une procédure constitutionnelle ont été ridiculisés par le Président et le bureau de "Conseil économique, social et environnemental" (CESE). Monsieur Delevoye a "sorti" (probablement sur ordre de ses chefs francs-maçons) des arguments d'une mauvaise foi abrupte, bafouant la vérité dans une des procédures politiques concernant directement la Constitution, soit le cœur de la vie politique nationale au sujet d'un projet de loi relatif au centre de la vie sociale. Cette forfaiture devrait le conduire devant les tribunaux répressifs.

Cela n'a finalement entraîné que la démission d'un homme d'honneur : monsieur Bernardin. L'ensemble des acteurs politiques s'est tu.

Certains naïfs (ou complices, on ne sait) veulent trouver un sens au baratin prétendument juridique de monsieur Delevoye et s'en prennent... au rédacteur de la pétition et à ses conseils.

Cela me rappelle beaucoup de décisions de "justice". L'avocat est bien embarrassé pour expliquer l'absurdité de la décision. Il paraît être idiot de n'avoir pas vu ce que monsieur le juge explique d'un ton sans réplique et avec mépris. Alors qu'en réalité la décision est dictée depuis les coulisses et n'a aucun rapport ni avec la vérité, ni avec la loi, ni avec les faits soumis à la juridiction. Tenez, par exemple, la cour d'appel d'Aix en Provence a condamné ma mère à 500 000 € de réparations pour un bien "loué" 2 300 € par an, oui, par an. Merci, les juges français et félicitations au Syndicat de la magistrature et en général, à vos commanditaires. Un exemple parmi d'autres...



Nous sommes dans un cas analogue avec le baratin Delevoye à propos de la pétition. La différence réside en ce que monsieur Delevoye et ses amis se moquent de plus de gens. Mais le procédé est le même : on compte d'un côté sur la timidité, la faiblesse des braves gens et de l'autre sur le prestige du poste pour instiller le doute dans les esprits et, plus généralement, pour qu'il n'y ait pas de vague. Le clergé se tait et est prêt à venir saluer respectueusement monsieur Delevoye en expliquant que les éventuels révoltés sont de méchants "extrême-droite".

Mais la réalité, c'est que du haut au bas de l'échelle il n'y a pas d'Etat de droit en France. Il faudrait le rétablir.

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