9.3.13

Les vrais causes de la crise économique

Le "sophisme de la vitre cassée" est un sophisme économique. Il consiste lorsque une vitre est cassée à se rassurer ainsi : "Cela va faire marcher l'économie. Les vitriers vont être contents, ils auront du travail."

Or, ce n'est pas vrai. La vitre cassée coût à celui qui paie la facture, mais encore, elle coûte à tous. Car le vitrier aurait eu à s'employer plus utilement en améliorant l'habitat ou en participant à la construction d'habitations nouvelles.

Le moyen-âge occidental permet une expansion économique importante parce que la société est en ordre. Les factures sont payés, les juges jugent en conscience et librement, les familles sont solides, les enfants bien élevés. Les citoyens respectent le travail, ceux qui travaillent ont le goût du travail. etc.

Notre monde, malgré les éblouissant progrès techniques s'enfonce dans la crise parce que les voitures sont brûlées, les enfants sont avortés, les divorces se multiplient, il existe une assurance-maladie qui finance des vecteurs de maladies et de mal-être (la fécondation in vitro, la procréation médicalement assistée ou PMA, l'avortement, la contraception est ses suites délétères, les cotisations et les impôts sont alourdis en faveur de situations vectrices d'insécurité comme le PACS etc.). Les idéologies et religions contraires à la confiance, la confiance nécessaire au commerce et à l'industrie enseignées aux enfants sont aussi une des causes de la crise. Mentionnons pour mémoire, la prostitution, la drogue, la délinquance et la criminalité et tous les comportements contraires aux droits de l'homme qui gaspillent des milliards et des milliards d'euros au profit d'agent économique de basse qualité, voire pervers.




Voilà les vrais causes de la crise. Ce ne sont pas les "taux d'intérêts" ou les "méchants banquiers" (je ne crois pas aux méchants banquiers, ou aux méchants riches voulant s'en mettre plein les poches en pressurant le pauvre peuple), ou le "déficit budgétaire", la création monétaire. Tout cela, ce sont des effets.

La crise s'aggrave avec l'immoralité. C'est la contraception (bénie, contre la raison et la santé publique, par les évêques de l'époque) qui sonné le commencement de la fin des "trente glorieuses", c'est la contraception qui a déclenché puis l'avortement qui a aggravé la crise. Le décrochage de la croissance se situe vers 1967, époque à laquelle la société introduit la contraception (avec la complicité des évêques). Depuis cette époque, avec des hauts et des bas conjoncturels masquant une "tendance lourde", la croissance tend vers zéro, voire vers la récession, malgré les immenses progrès technologiques, sources d'importantes économies (par exemple le "téléphone mobile" économise beaucoup de déplacements, donc de consommation d'essence, de même Internet, pour les calculs grace aux machines, pour les avions à bas prix etc. toutes inventions et tant d'autres, réduisent le coût des prestations, donc économisent et masquent encore plus la gravité de la crise morale, donc économique).

Commençons par arrêter d'encourager et de financer des comportements immoraux donc anti-économiques, aidons les familles monogames et cela commencera à aller mieux.

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