26.4.13

Attroupement ne troublant pas l'ordre public : dispersion illicite, police hors la loi


Voici un extrait de l'article de "Politique magazine" sur les dispersions très musclées d'un pique-nique :


« Alors que la préfecture de police de Paris donne ordre d'utiliser sans restriction du gel lacrymogène, qu'un pique-nique très calme est violemment dispersé par les forces de l'ordre (voir article précédent) , que des jeunes filles en vélo se font encercler pour port de drapeaux de la "manif pour tous" (voir article du Salon beige) , que les gardes à vue abusives se multiplient ou qu'une agression anti-française est transformée en « agression homophobe » (voir article de Nice matin) , doit-on s'étonner des quelques débordements qui ont émaillé la manifestation hier à Paris, ou plutôt de l'absence de violences générales ? »

Selon maître Pichon, les attroupements ne troublant pas l'ordre public (sécurité, tranquillité, salubrité) ne peuvent être dispersés.


Donc les actions décrites par "Politique magazine" sont illicites et doivent être poursuivies et les victimes doivent en être indemnisées.

Ces exactions des policiers du régime sont faites pour "pousser à la faute". C'est un harcèlement destiné à faire sortir les partisans du mariage de la légalité. Il y a donc double faute des autorités.

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