30.5.13

Comparons le "statut pénal" du chef de l'État et le "mariage" gay



Monsieur Hollande, continuant l'œuvre de MM. Sarkozy et Fillon, a détruit le mariage et introduit le « genre » à l'école. Il l'a fait  pour d'autres raisons que la complaisance envers un minuscule lobby... Évidemment. La pression doit se situer au niveau international et plus probablement venir de Washington et, peut-être, de Bruxelles... Et avoir comme moyen d'action l'argent et la menace (la carotte et le bâton).

Un témoin que cette hâte ignoble affaire est téléphonée, c'est que le programme de monsieur Hollande sur le statut pénal du chef de l'État, beaucoup plus simple à mettre en œuvre (au moins du point de vue sociologique), n'est pas au programme.

En ce sens, la vidéo ci-dessus est très intéressante à voir.

Via :




C'est pourquoi le ramdam fait autour du "mariage" de Montpellier est destiné, du point de vue des médias et au moins en partie, à occulter le procès de monsieur Dallongeville. Ce procès déplorera un grand absent : monsieur Hollande protégé par l'article 67 de la Constitution, article qu'il avait promis de faire abroger.

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