"C'est une forme de prostitution infantile sous le couvert de mariage", affirme à IPS, Azza El-Ashmawy, directeur de l'Unité de lutte contre la traite des enfants au Conseil national pour l'enfance et la maternité (NCCM). "L'homme paie une somme d'argent et reste avec la fille pendant quelques jours ou l'été, ou la ramène dans son pays pour des travaux domestiques ou la prostitution".La fille est retournée à sa famille à la fin du mariage, généralement pour être mariée de nouveau."Certaines filles ont été mariées 60 fois au moment où elles ont 18 ans", indique El-Ashmawy. "La plupart 'des mariages' durent juste quelques jours ou semaines".
En France, le "mariage" homosexuel donne des droits à un individu sur un autre (théoriquement à des relations sexuelles) alors qu'elles ne sont pas de relations sexuelles normales. Supposons qu'un des "conjoints" finisse par refuser les relations sexuelles aberrantes, l'autre conjoint dispose d'un droit sanctionné par les juges à ces relations. Ce "mariage" entraîne une obligation pour les juges de sanctionner ce qui peut n'être que prostitution (peut-être gratuite ou à bas prix) d'un jeune à un vieux. Monsieur Soral dans l'une de ses vidéos m'a appris que les relations homosexuelles sont basées uniquement sur la jeunesse (et sur le sexe bestial). Les vieux (et vieilles) homosexuels (homosexuelles) n'intéressent plus personne s'ils sont désargentés.
Dès que la société ne veut plus écouter l'Église pour tout ce qui est sacré (et le mariage est sacré), on peut arriver à ce genre d'aberrations qui n'est pas réservée au monde musulman. L'État devient pervers.
Pie XI l'enseigne dans Quas primas :
« Les fruits très amers qu'a portés, si souvent et d'une manière si persistante, cette apostasie des individus et des Etats désertant le Christ, Nous les avons déplorés dans l'Encyclique Ubi arcano (40). (…) Fruits encore de cette apostasie, la paix domestique bouleversée par l'oubli des devoirs et l'insouciance de la conscience; l'union et la stabilité des familles chancelantes; toute la société, enfin, ébranlée et menacée de ruine. »
Ces aberrations ont un coût économique et humain qui provoquent la crise, comme je l'ai maintes fois expliqué sur ce blog, surtout du fait de la solidarité organisée (retraites, maladies...)
C'est pourquoi j'admire les manifestants infatigables. Leurs œuvres les suivent.
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