8.11.13

Contrat liant Monsieur Maye à l'institution Saint Projet

Monsieur Maye avait conclu un contrat avec ceux qu'il dénonce calomnieusement aujourd'hui. Le contrat de bénévolat est un contrat à titre gratuit, mais un contrat.

C'est une habitude communiste. J'ai subi les mêmes désagréments avec une secrétaire communiste du temps où j'étais avocat. Elle, elle était payée.

Elle avait d'abord invité ma famille chez elle (pensez un bourgeois architecte !) et le père, sous couvert d'"amitié",  en avait profité pour photographier mes enfants, ma femme et moi... Je me souviens d'avoir intérieurement tiqué, mais j'avais une certaine crainte de ce monsieur architecte et expert près les tribunaux. Les photographies doivent gonfler les dossiers du Parti, les dossiers concernant les "ennemis du peuple" !

Elle s'était également livrée à diverses provocations à mon encontre. Par exemple, feignant l'amitié, ses parents et elle m'avaient invité dans leur voiture et alors le père avait commencé à raconter que les arabes étaient des voleurs et des menteurs et qu'il fallait tuer tous les arabes, non sans les avoir au préalable torturés. Il avait procédé par gradation. Au début, les plaisanteries étant de mauvais goût mais tolérables, je n'avais pipé mot, n'osant trop rien dire ; mais lorsque les choses allèrent trop loin et que les propos devinrent ignobles, prenant mon courage à deux mains (car l'individu était expert près les tribunaux et architecte ! Elle est belle la "justice" française !) j'avais mis le ho là en me récriant que les propos étaient inadmissibles ! Je m'étonne encore d'avoir trouvé l'énergie pour contredire ce salopard. Tout le monde se tut.

Je compris plus tard et petit à petit ce qui s'était passé. Ces crétins devaient enregistrer et naturellement devaient attendre que je me livre à une diatribe anti-musulmane qu'ils auraient utilisée comme aujourd'hui monsieur Maye utilise ses enregistrements clandestins (dans lesquels on ne l'entend jamais). Comme ce n'était pas et que ce n'est toujours pas mes convictions, ils pouvaient attendre longtemps. Pauvre minables !

Ce qui me fit comprendre la traitrise de ces gens, c'est lorsqu'une autre employée maghrébine (elle était déjà âgée et elle est décédée depuis longtemps aujourd'hui) me révéla les curieux agissements de cette secrétaire d'un genre particulier. Je compris alors que l' « amitié » de cette famille n'était qu'hypocrisie. Lorsque je n'étais pas là, la secrétaire CGT faisait des réunions avec ses copains et copines dans le cabinet et ils se permettaient de se moquer de l'autre employée pendant qu'elle faisait son travail !

Connaissant mes opinions de lepenniste-intégriste (d'ailleurs en grande partie imaginaires) etc. elle avait tenté de me "faire parler" pour me piéger. Pauvre idiote de communiste ! Elle croyait que je voulais tuer tous les Arabes parce que son parti le lui avait dit ! Son parti de menteurs l'a induite en erreur, bien fait ! Aujourd'hui aux dernières nouvelles, même ses employeurs communistes l'ont licenciée, ils ont dû s'apercevoir que, même communiste, elle était irrécupérable.

Elle s'est bombardée "coach" en droit social... L'Ordre des avocat ne dit rien... C'est une communiste, elle a tous les droits.

Ne vous faites aucun souci pour elle, son patrimoine lui permet de vivre sans travailler.

Naturellement je fus condamné au prud'homme, mais on sait ce que valent, en général, les condamnations des tribunaux français spécialement quand on est en face de militants communistes CGT  avec des magistrats communistes ! On me condamna parce que j'avais invoqué trop de motifs de licenciement (authentique) ! N'ayant, dès cette époque, aucune confiance dans la Cour d'appel, je n'avais pas insisté.

Je raconte cela parce que j'ai rapproché l'attitude de cette demoiselle et de son père avec celle de monsieur Maye et j'y ai trouvé les mêmes procédés d'espionnage, de provocations et la même stupidité.

Aucun commentaire: