23.11.13

Crimes contre l'humanité français 1954-1996

En 1954, le gouvernement Félix Gaillard (radical socialiste), sous la présidence de René Coty, décida que la France procèderait à des essais nucléaires. Le premier essai nucléaire eut lieu le 13 février 1960. Le dernier essai nucléaire eut lieu le 27 janvier 1996.

Personne n'invita jamais le peuple français à décider de ce dossier. Le peuple ne fut même pas consulté. Ce dossier, d'une importance capitale pour l'humanité entière, ne fit même pas l'objet de débat public.

Or, la simple détention d'armes nucléaires est un crime.

Voici ce qu'une étude de maître Roland Weyl dit ce qui concerne l'arme nucléaire :

« (…) - d’abord, les vieux principes régissant le droit de la guerre résultant des conventions de la Haye et de St Pétersbourg :
 - interdiction des bombardements indiscriminés touchant les populations civiles (convention de La Haye de 1907, art 25 et 27, complétée par celle de 1923, art. 24),
 - interdiction d’user d’armes de nature à causer des maux
superflus aux populations civiles et aux combattants.(ibid. art. 2)
 - Déclaration de St Pétersbourg de 1868 selon laquelle
« l’emploi des armes qui aggravent sans nécessité les souffrances des hommes hors de combat est contraire à l’Humanité (…) »

La même étude signale la résolution 1653 de l'ONU du 24 novembre 1961 déclare l'arme nucléaire est une arme dirigée "contre l'humanité en général". La simple raison permettait de le saisir, mais il est bon que l'Organisation des Nations unies l'ait confirmé.

Depuis longtemps, la caste dirigeante française, (hommes politiques, médias, magistrats, hauts fonctionnaires divers), diplômés des prétendues "grandes écoles", n'est qu'une bande de gangsters, une bande d'hypocrites criminels contre l'humanité.

Le pire est que cette caste, bien qu'elle ne tienne aucun compte de l'avis du peuple, avilit la réputation du peuple. Si la France est (prétendument) gouvernée "par le peuple et pour le peuple", (article 2 dernier alinéa de la Constitution), alors ces gangsters entraînent tous les Français dans le naufrage de leurs réputations. Mais, en un sens heureusement, en réalité il n'en est rien. La France n'est ni une démocratie, ni un État de droit.

La situation de la France nécessite une profonde réforme des mœurs et de la culture juridique. Une des premières sources du redressement se trouve dans la doctrine sociale de l'Église. Consolation, le germe du redressement se trouve dans la fidélité (enfin !) à la devise française : liberté, égalité, fraternité et aux droits universels de l'homme. C'est-à-dire que la France par sa devise a le germe de sa purification et de son redressement intellectuel et moral.

Sans le Christ, lumière du monde, tout le monde, y compris et peut-être d'abord les grands, erre dans l'obscurité. Pour faire cesser le grand malheur qui accable la France, il est nécessaire que le peuple français confesse le Christ; qu'il déclare que par le terme de "fraternité", 1) la France confesse l'évangile, 2) qu'elle confesse qu'elle tient l'évangile du Pape 3) auquel elle veut obéir.

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