31.1.14

Le gouvernement mondial, solution au conflit isréalo-palestinien



Si la situation est vraiment telle (et rien ne permet d'en douter), il s'agit d'une urgence humanitaire. Rien ne justifie que l'on puisse ainsi s'en prendre à des populations civiles en leur ôtant leurs moyens de vivre décemment.

La solution réside dans le gouvernement mondial tel que Jean XXIII et à sa suite Benoît XVI l'ont préconisé. Ce gouvernement mondial devra œuvrer en vue du bien commun pour la justice et les droits de l'homme pour tous. J'en ai écrit plusieurs fois sur ce blog (sept posts).

Prions pour madame Bourges et sa compagne

(via le Salon beige)

Dans un pays atrocement diffamé par la propagande communiste, une femme accompagnée par une amie a engagé un jeûne de protestation pour demander la démission de François Hollande.

La démission de François Hollande ne servira pas à grand'chose sans une remise en cause du principe institutionnel historique inscrit dans le Préambule de 1946.

Le jeûne de madame Bourges, pour sympathique qu'il soit, doit s'arrêter avant d'altérer sa santé ou celle de son amie et compagne. Leurs jeûnes a un but relativement accessoire par rapport au virus qui détruit la France.

Cela dit, j'invite tous ceux qui le peuvent à témoigner de leur affection et de leur soutien à ces deux femmes courageuses et patriotes persécutées par le pouvoir policier "républicain" ; comme je leur témoigne de ma solidarité par ce post.

Mise à jour du 7 février 2014: madame Bourges a, heureusement, mis fin à son jeûne estimant avoir obtenu satisfaction.

La légende de Louis XIII autorisant l'esclavage en 1642

Il est facile d'élucubrer sur le passé « A beau parler qui vient de loin ». Un historien sérieux demandait à ses étudiants « avez-vous un texte ? »

À la suite de Montesquieu, recopiant lui-même un religieux de son siècle, on va répétant que l'autorisation de l'esclavage fut donnée par Louis XIII en 1642. C'est ce répète le site de l'Assemblée nationale qui a voté sa fameuse "loi" sur le crime contre l'humanité constitué par l'esclavage transatlantique (et lui seul !). Si sa documentation est telle sa "loi" sur l'esclavage transatlantique, ne vaut rien.

Or selon ce site, Louis XIII s'est toujours opposé à l'esclavage et n'a jamais changé jusqu'à sa mort.

« Il est souvent dit que Louis XIII aurait cédé en 1642, alors qu’il était mourant. On aurait joué sur l’argument selon lequel la mise en esclavage des Africains serait un moyen de les convertir. Cette version d’un consentement royal après réticences est donnée par le père Labat en 1722 et reprise par Montesquieu en 1748. »

Pour couper court, je demanderais à ceux qui prétendent, comme le site de l'ONU, que l'esclavage transatlantique a duré 400 ans et était une pratique légale: avez-vous un texte de loi ?

Et si l'on me sort la bulle "Romanus pontifex" du 8 janvier 1454, je dirais qu'elle est faussement traduite ("servitus" ne signifie pas esclavage, mais sujétion. C'est-à-dire que les habitants devenaient les sujets du roi du Portugal).

Si l'on me dit « Louis XIII a autorisé l'esclavage en 1642 », je réponds: donnez-moi un texte à lire !

Fêter Halloween est dangereux pour la civilisation

C'est du moins ce que l'on peut craindre en lisant l'article (en anglais) concernant un individu ayant tué sa mère et sa sœur après avoir visionné plusieurs fois un film de Halloween.

Les sépulcres sont fréquentés par les possédés du démon.


« Mt 8,28. Lorsqu'ils furent arrivés à l'autre bord, 
au pays des Géraséniens, deux possédés vinrent 
au-devant de Lui, sortant des sépulcres, 
si furieux que personne ne pouvait passer par ce chemin. »

Mathieu 8,28

http://magnificat.ca/textes/nt01_mt.rtf

Quoi qu'il en soit Halloween est étranger à la culture française et est dangereux pour la sécurité des personnes et des biens. La preuve.

30.1.14

Les espèces de madame Martre

Lu sur le blog de monsieur Daoudal à propos du vol dont madame Martre a été victime:

« Le portefeuille avait déjà été retrouvé dans une poubelle. Il y manquait ses trois cartes bancaires, dont une au nom du syndicat, et bien sûr de l’argent liquide dont, par pudeur et discrétion, on ne nous parle pas. »

Ce n'est pas comme pour les manifestants, dont la presse décline les noms et prénoms (lorsqu'il s'agit de mauvais manifestants hostiles au gouvernement). Ici, on ne sait pas combien madame Martre trimbalait dans son sac. C'est trop peu pour qu'on en parle. Et puis elle n'a rien à voir avec le révisionisme...

La magitrate du mur des c. détient la carte bleue de son syndicat


Madame Martre, celle qui n'aime pas les justiciables idiots (prouvant ainsi sa partialité), s'est fait voler son sac contenant ses papiers personnels et la carte bleue qui permet de débiter le compte en banque de son syndicat (le Syndicat de la magistrature, pas si minoritaire que cela).

Je suis très étonné qu'un individu puisse se faire délivrer une carte bleue débitant le compte d'une personne morale à but non lucratif. Cette carte bleue permet des prélèvement en espèces…

Ne serait-il pas plus logique de ne lui laisser que l'usage de chèques. Les chèques devraient rester au siège social du Syndicat.

« La femme de César ne doit pas pouvoir être soupçonnée. »

C'est-à-dire que les institutions ne doivent en aucun cas permettre même la simple naissance d'un soupçon, même injustifié.

La présence d'une carte bleue du Syndicat dans le sac de cette dame bafoue cet adage.

Madame Martre est conseillère à la cour d'appel.

Dans un État de droit, cette personne ne pourrait pas rendre la "justice" "au nom du peuple français". Elle serait mutée dans des services d'intendance, encore ne pourrait-elle exercer ses fonctions que sous le contrôle étroit de sa hiérarchie.

29.1.14

Acharnement contre Dieudonné



(Via François Desouche)

Recette n'est pas bénéfice. Rien ne prouve le montant, rien ne prouve que cette somme (si elle est avérée), chez un homme d'affaires du spectacle, lui appartient.

Je suis tout à fait d'accord avec l'avocat: la révélation dans la presse de montants saisis traduit un acharnement politique et découvre, s'il en était besoin, que la France n'est pas un État de droit. Il est manifeste que le gouvernement cherche à déconsidérer Dieudonné par tous les moyens, alors que l'action gouvernementale doit être impartiale, non partisane et dirigée en vue du bien commun.

Ces agissements gouvernementaux (qui prouvent que le fisc n'est pas impartial) sont contraires à l'ordre public.

28.1.14

Eutha-nazie, assurances-décès, assurances-vie et héritage(s)

 (Via la Salon beige)

Dans une tribune du journal Le Monde, certains de ses frères et sœurs et un neveu demandent d'exécuter monsieur Vincent Lambert.

On voudrait être sûr que ces personnes n'hériteront pas ou n'ont pas d'intérêt pécuniaire commun avec ceux qui hériteront de monsieur Lambert ou toucheront une assurance-décès ou une assurance-vie.

La France n'est pas un État de droit: nouvel exemple avec les gardés à vue du 26 janvier



Parquer des gens dans le froid, exposés aux intempéries, en pleine nuit viole évidemment les droits de l'homme à la liberté, à la sécurité, à l'intégrité physique.

Cette vidéo tournée pour des manifestants dénonce aussi ce qui doit se passer pour des gardés à vue pour motifs de droit commun qui ne jouissent pas moins des droits universels de l'homme.

Les magistrats assistent avec indifférence à ces violations graves et renouvelées des droits de l'homme.

27.1.14

Il se croit tout permis



On voit le lynchage dans cette vidéo le lynchage d'un innocent par un groupe de fanatiques de la Shoah.

« Tu me fais horreur »




« Va faire chez les Grecs admirer ta fureur,
Va, je la désavoue, et tu me fais horreur.
Barbare, qu'as-tu fait ? Avec quelle furie
As-tu tranché le cours d'une si belle vie !
Avez-vous pu, cruels, l'immoler aujourd'hui,
Sans que tout votre sang se soulevât pour lui ?
Mais parle. De son sort qui t'a rendu l'arbitre ?
Pourquoi l'assassiner ? Qu'a-t-il fait ? A quel titre ?
Qui te l'a dit ? »

(Andromaque, scène où Hermione reproche à Oreste l'assassinat de Pyrrhus)

26.1.14

Découverte des vestiges d'une église en Israël

Sous ce lien on  peut découvrir en photographies les résultats de fouilles effectués en Israël:

http://fr.ria.ru/photolents/20140124/200290181_3.html

On pourra constater que des archéologues sionistes respectent l'art. La mise à jour, si émouvante, de ces trésors, vestiges d'églises détruites après la conquête arabe (sans que l'on puisse connaître la date de la destruction, donc l'imputer à qui que ce soit), m'interdisent d'être anti-sioniste.

Bien sûr, les crimes, d'où qu'ils viennent, sont condamnables. L'œuvre de la justice, c'est la paix. Il faut donc constater que le sionisme n'est pas que négatif. La preuve.

Tradutore, tradittore: exemple de la prière du Centurion

Lu sur le blog de monsieur Daoudal que la phrase du Centurion (adaptée par la liturgie de l'Église) n'est pas:

 « Domine, non sum dignus ut intres sub tectum meum, sed tantum dic verbum, et sanabitur anima mea. »
Mais:

 « Domine, non sum dignus ut intres sub tectum meum, sed tantum dic verbo, et sanabitur anima mea. »


La traduction française:

« Seigneur, je ne suis pas digne de vous recevoir, mais dites seulement une parole et mon âme sera guérie. »
n'est pas exacte.

La traduction correcte est (selon moi) :

« Seigneur, je ne suis pas digne de vous recevoir, mais ne faites rien d'autre que parler, et, par votre parole, mon âme sera guérie. » 

C'est la parole du Seigneur qui guérit.

Le Centurion croyait que par une seule parole de Dieu fait homme, le corps de son esclave (ou serviteur, le latin ne distingue pas), serait libéré de la maladie parce que tout obéit à Dieu.

Seigneur, votre parole chasse la maladie de mon âme. Seigneur, c'est votre parole qui met de l'ordre dans mon âme.

Vie privée et ordre public (Affaires Gayet, Trierweiller et Royal)



Vie privée :

« Chacun a droit au respect de sa vie privée. »
(Première Phrase de l'article 9 du code civil)

Convention européenne des droits de l'homme:

« Article 8 – Droit au respect de la vie privée et familiale
Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance.
Il ne peut y avoir ingérence d'une autorité publique dans l'exercice de ce droit que pour autant que cette ingérence est prévue par la loi et qu'elle constitue une mesure qui, dans une société démocratique, est nécessaire à la sécurité nationale, à la sûreté publique, au bien-être économique du pays, à la défense de l'ordre et à la prévention des infractions pénales, à la protection de la santé ou de la morale, ou à la protection des droits et libertés d'autrui. »

Ce droit à la vie privée est un droit de l'homme attaché directement par Dieu à toute créature humaine.

Le problème, dans le cas du Président de la République, est la définition de la vie privée et de la limitation de ce droit. Car tout droit de l'homme s'inscrit dans un ordre public fondé sur la dignité de l'être humain.

Or les relations avec madame Trierweiller et avec madame Royal étaient officielles et relatives à un homme public. De plus une société démocratique doit permettre au peuple de connaître, dans la mesure du raisonnable, la vie privée de ses dirigeants ("droits et libertés d'autrui") afin de pouvoir juger pour élire.

La vraie nature de la notion maçonnique de "laïcité"

Selon Info-Bordeaux (via François Desouche) un parti adhérent au Front de gauche soutient la construction d'un centre "islamique" à Bordeaux. Cette construction se fera aux frais de l'ensemble de la population (Trésor public), ce qui bafoue la liberté religieuse. (Personne ne peut forcer, ni être forcé à participer à la propagation d'une foi).

Or, le Front de gauche invoque la laïcité pour lutter contre la liberté religieuse des nations d'être catholiques ou chrétiennes.

Cela découvre que la "laïcité" telle que la prônent les politiciens français et notamment monsieur Peillon n'est qu'un artifice, qu'un levier pour (tenter de) renverser le règne du Christ. Pour cela, il faut prendre une notion valable comme celle de "laïcité", qui se trouve dans la doctrine chrétienne, on la vide de son sens par le prestige d'un sophisme et on en fait une arme contre la liberté et contre la foi. Résultat: on fait taire les chrétiens et les juifs pieux.

Le subterfuge est découvert lorsque l'on constate que de l'UMP (voire du Front national) au Front de gauche, tous les laïcistes soutiennent la construction des mosquées aux frais des Français, mais aussi des Algériens, des Marocains et des Turcs (ce qui n'est pas moins injuste).

Plus profondément encore toute cette agitation maçonnique découvre que ce qui motive les sophismes autour des mots de "liberté", d'"égalité", de "droits de l'homme", de "solidarité", voire d'islam c'est la négation du règne du Christ, une pure négation.

Dès lors, il n'est pas contradictoire que le même genre de personnes s'opposent à la construction d'une église aux frais des catholiques et à leur seuls frais (donc en respectant la liberté religieuse).

La solution, c'est d'agencer justement les notions sociales. Cela se fait notamment par l'étude du Compendium et des encycliques sociales. Les papes nous enseignent que nous luttons pour le bien de tous, y compris des suppôts de Satan et de ceux qui militent contre leurs propres libertés en niant leurs destinées éternelles. Nous luttons pour le bien commun à tous les êtres humains, un bien qui n'exclut personne.

25.1.14

Jour de colère ?



Merci au Cercle des volontaires pour cette interview.

Commentaire

C'est bien de s'opposer au régime. Mais la colère n'est pas un programme. L'édification est meilleure que la dénonciation.

Si l'on a rien à dire de positif, inutile.

La laïcité, valeur judéo-chrétienne




La laïcité fut mise en œuvre dès l'Ancien Testament.

« I S 16,12. Isaï l'envoya donc chercher et le [David] présenta à Samuel. Or il était blond, beau à contempler, et d'une physionomie agréable. Le Seigneur lui dit: Levez-vous, oignez-le, car c'est lui.
I S 16,13. Samuel prit donc la corne pleine d'huile, et il l'oignit au milieu de ses frères. Et dès lors l'Esprit du Seigneur fut toujours en David. Et se levant, Samuel retourna à Ramatha. »

Extrait de : http://magnificat.ca/textes/at09_1sam.rtf

David est le laïc, Samuel le clerc.

24.1.14

L'expérience du "droit" à l'avortement



L'avortement, c'est bon pour les femmes. Bien sûr les femmes sont "libres" d'avorter.

Donc l'État socialiste est juste en utilisant l'argent de tous, pour payer de la propagande en faveur de l'avortement. Comme cela le copain de Julie, sa mère et les autres ne souffrent d'aucun sentiment de culpabilité. L'État les félicite d'avoir augmenté la liberté de Julie. Les juges français sont prêts à protéger la liberté de Julie d'avoir avorté.

Ha ! Ce n'est pas comme au Moyen Âge ! C'est le bonheur.

Elle doit se croire immortelle ?




Nous mourrons tous.


Accepter des avantages d'organisations humanitaires


21.1.14

Le Salon beige à front renversé

Les Veilleurs de Cognac sont attaqués par un membre du Front de gauche qui veut leur interdire la liberté constitutionnelle de manifester.

Le Conseil constitutionnel par sa décision du 18 janvier 1995 a reconnu la liberté de manifester ses idées :


« la liberté individuelle, de la liberté d'aller et venir et du droit d'expression collective des idées et des opinions ; »

Parce que ces individus invoquent l'affaire Dieudonné, le Salon beige, les croit sur parole et prétend que le Conseil d'État dans sa décision du 09 janvier a, lui aussi bafoué les principes constitutionnels en limitant arbitrairement la liberté d'expression "collective des idées" (droit de manifester).

Le Conseil d'État a, en réalité, en application de l'ordre public immatériel, interdit un spectacle contraire aux affirmations du Préambule de la Constitution.

À ma connaissance, le Préambule de la Constitution ne fonde pas l'institution du mariage homosexuel. Les gauchistes ont donc tort d'invoquer la jurisprudence du Conseil d'État.

Au contraire, il prévoit des droits fondamentaux égaux à la femme, ce qui suppose la distinction des sexes.

« 3. La loi garantit à la femme, dans tous les domaines, des droits égaux à ceux de l'homme. »

Le même préambule distingue la mère du père (puisqu'il prévoit des droits "notamment" à la "mère"). À aucun moment, le Préambule n'invoque la "tolérance" (mot de code maçonico-voltairien invitant à interdire l'expression de la raison universelle de l'homme).

Mais si le raisonnement du militant du Front de gauche devait être repris par la jurisprudence (car ce Préambule mêle l'arbitraire avec le droit, donc fonde l'arbitraire), alors ce serait la confirmation que ce Préambule est, sur ce point du mariage, contraire aux droits universels de l'homme. Car c'est un droit de l'homme que celui de lutter pour la perpétuation de l'humanité donc de lutter contre ce crime contre l'humanité que constitue le "mariage homosexuel".

Il faudrait constater qu'une profonde réforme institutionnelle est nécessaire pour remettre la France dans un ordre respectueux de l'État de droit universel. Il faudrait faire que le Préambule soit enfin conforme à la justice.

Quoi qu'il en soit, ici et maintenant, ceux qui crient à l'arbitraire en visant la décision du Conseil d'État du 9 janvier 2014 appuient les ennemis de la véritable liberté. Car ce n'est pas le Conseil d'État appliquant le Préambule, qui est en cause mais le Préambule de la Constitution qui établit un faux ordre public (notamment en décidant d'une matière qu'il n'est pas possible de traiter dans un texte de droit, texte qui, par définition, n'est et ne peut être que formel).

« La poigne de l'État de droit »

Invoquer le droit naturel pour mieux le bafouer, c'est ce que fait la première phrase du Préambule de la Constitution, c'est aussi ce que fait la Déclaration universelle des droits de l'homme.

Cela semble être une règle que se sont faite les relativistes depuis 1943. Car il est évident que les staliniens, au moins eux, ne pouvaient être de bonne foi en proclamant leur attachement aux droits de l'homme.

Voici en quels termes madame Najat Valaud-Belkacem justifie le maintien du remboursement de l'avortement par de l'argent prélevés sur ceux qui sont hostiles à l'avortement:

« Nous n’accepterons aucun recul. (…) Toutes les entraves, toutes les tentatives de remise en cause de ce droit fondamental, toutes les régressions se heurteront à la poigne de l’État de droit. »

Les droits fondamentaux sont des droits attachés directement à la personne humaine. C'est le droit à la liberté religieuse, c'est le droit à la vie, c'est le droit à la sûreté, c'est le droit au mariage...

Faire du droit de ne pas être enceinte au prix de la mort d'un être humain, un "droit fondamental" ne peut être relié qu'au « droit fondamental » d'être délié de la vérité et de n'obéir qu'à sa volonté arbitraire.

Cette volonté arbitraire s'imposera au nom de l'ordre public: c'est la « poigne de fer de l'État de droit ». C'est l'ordre public frelaté.

Invoquer les droits de l'homme pour les bafouer n'est qu'une étape. On aboutira, si Dieu ne fait pas se lever des hommes courageux, transcendant les partis, au service du droit fondé sur la dignité de l'homme, on aboutira et la classe dirigeante y est déjà, à l'arbitraire absolu préparant à l'islam. L'islam, où une tyrannie étatique absolue bafouant la raison, s'impose absolument arbitrairement par la violence et la terreur.

En regard, se dresse l'ordre public de Jésus: vérité, liberté, justice, droits de l'homme. Cet ordre public édifie la paix.

20.1.14

Témoignage sur le vécu de l'islam, les chrétiens apostats et une vision féminine de la doctrine chrétienne



Très intéressant. Le plus intéressant est le témoignage sur les "chrétiens", dont des évêques qui encouragent à l'apostasie et au blasphème.

18.1.14

Monsieur Zemmour et la décision du 9 janvier 2014



Intéressante intervention de monsieur Zemmour en ce qu'elle témoigne qu'il ne comprend pas ce qui est jeu. Il ne fait en l'occurrence que reprendre Jack Lang, le Salon beige, Robert Faurisson et pratiquement tout le monde (sauf le professeur de droit qui a donné une interview sybilline mais instructive  dans Le Monde).

À prendre donc comme un témoignage de personne qui parle de sujet qu'il ne comprend pas.


17.1.14

Des prières pour madame Trierweiller

http://www.parismatch.com/Actu/Societe/Urgent-Valerie-Trierweiler-Ses-proches-s-inquietent-544604

Madame Trierweiller, si les nouvelles sont fiables, veut quitter l'hôpital contre avis médical et n'est plus joignable, même par ses enfants. Cela intervient après la visite que François Hollande lui a rendue hier soir... On écrit aussi qu'elle veut aller à La Lanterne pour passer sa convalescence...

Cette femme paraît être vraiment dans la détresse. Il nous reste à prier pour elle comme nous prions pour toute personne vulnérable et/ou subissant de grandes souffrances... Que la Sainte Vierge la prenne en pitié !

L'ordre public immatériel

Le Pr. Denys de Béchillon dans son interview du 10 janvier au journal Le Monde fait observer que la jurisprudence a introduit l'ordre public immatériel depuis l'arrêt de 1995 sur les lancers de nains (arrêt de Commune de Morsang sur Orge du 27 octobre 1995).

Cette introduction d'un ordre public immatériel fondé sur la dignité de la personne humaine (la notion de dignité n'est pas une notion arbitraire, mais une notion métaphysique ferme et bien définie) est une cause d'espoir pour ceux qui sont attachés à la justice et à l'ordre public français.

Avant 1995, il semble que l'ordre public des juridictions administratives n'était que "sécurité, tranquillité, hygiène sur la voie publique": un ordre public purement matériel récusant toute métaphysique. Encore que, de nombreuses décisions avaient pris en compte, dès 1909, des critères moins matériels comme celui de « moralité publique » composante de l'ordre public. Ce n'est donc pas à proprement parler en 1995 que fut introduit l'ordre public immatériel, mais c'est en 1995 que fut introduit l'ordre public de la dignité de la personne humaine.

L'ordre public des chambres à gaz (2)

Un professeur de droit public impliqué dans des projets de révision du Préambule de la Constitution a donné une interview au journal Le Monde (via le blog de Robert Faurisson):


« Une Constitution, c'est le vecteur premier de la cohésion d'un pays. Il est donc très judicieux de rappeler que notre existence contemporaine, comme nation, s'est définie aussi dans la lutte contre la barbarie nazie, dans la conscience du génocide des juifs d'Europe, et donc dans le principe de la lutte contre l'antisémitisme (et a fortiori le négationnisme). »

Ce professeur confirme bien mon analyse tout en passant sous silence ce qui est en jeu dans le fond: les droits universels de l'homme. Évidemment, MM. Faurisson et Reynouard ne sont pas capables de comprendre, eux non plus, ce qui est en cause. Les révisionnistes et les gaullistes fragmentent l'humanité. Les uns, probablement francs-maçons, en récusant les droits universels de l'homme qu'ils confondent avec le problème des chambres à gaz et les autres en confisquant à leur seul profit une notion universelle pour imposer un ordre public authentique solidarisé avec des prises de position incompatibles avec l'ordre public des droits de l'homme.

16.1.14

Humble supplique au Pape François à l'occasion de la visite de François Hollande

« Pétition à l’attention de: Au Pape François
Très Saint Père, (Les passages entre crochets sont de moi. Ils ne figureront donc pas dans la pétition que vous êtes invités à signer)

« Vous avez accordé audience au Président de la République Française que vous recevrez au Vatican le 24 janvier prochain.
C’est avec confiance et espérance que nous nous tournons vers votre Sainteté pour lui demander de bien vouloir se faire, auprès de Monsieur François Hollande, l’interprète du profond malaise et de l’inquiétude grandissante de nombreux catholiques de France.
Malaise, car les catholiques de France qui se sont levés en masse l’an dernier pour crier leur opposition à la loi dite du «  mariage pour tous », loi injuste qui prive délibérément l’enfant de son droit élémentaire à avoir un père et une mère, et qui ouvre la voie à la marchandisation du corps humain, n’ont pas été écoutés par Monsieur François Hollande. Ces manifestations, bien que non violentes, ont été réprimées dans des conditions indignes dénoncées d’ailleurs par le Conseil de l’Europe dans sa résolution 1947.
Malaise car, depuis un an, les catholiques de France sont l’objet d’une campagne médiatique de dénigrement d’une rare violence.
Les profanations d’églises se sont multipliées récemment à l’initiative d’un groupe féministe radical, les Femen. Ces profanations n’ont quasiment trouvé aucun écho dans les médias ; aucun membre du gouvernement ou responsable politique de la majorité gouvernementale n’a jugé utile de condamner ces profanations qui nous blessent ni même de nous exprimer son soutien. Les suites judiciaires ont toutes été étouffées. Beaucoup de catholiques de France ne peuvent s’empêcher de faire le rapprochement avec la sévérité unanime et justifiée des réactions lorsque ce sont d’autres communautés religieuses qui sont attaquées en France.
Malaise enfin, car les moqueries et les attaques de la part des plus hautes instances pleuvent. Sur une grande radio nationale, il y a quelques mois, le Ministre du Travail tournait en ridicule la Sainte Eucharistie en déclarant « Nous ne sommes pas dans les invocations. On n’est pas à la messe à faire des prières. Nous on est dans l’action. » Sur les réseaux sociaux, l’attaché parlementaire d’un sénateur socialiste, rapporteur du projet de loi ouvrant le mariage aux homosexuels , en appelait à tirer sur la foule des manifestants opposés à la loi Taubira et recevait le soutien inconditionnel de ce sénateur. [La « justice » française a ignoré ces graves crimes]  Les exemples, hélas, pourraient être multipliés à loisir. Les catholiques de France sont las d’être un groupe religieux de qui l’on puisse se moquer en toute impunité.
Inquiétude, car ces attaques contre les catholiques vont de pair avec la promotion par le gouvernement de régressions majeures de droits fondamentaux de la personne humaine, sous les coups de boutoirs de la culture de mort.
En juillet dernier, l’Assemblée Nationale a assoupli les conditions de recherche sur les embryons humains. Les catholiques de France réaffirment leur rejet d’une conception de l’enfant dans laquelle ce dernier n’a pas de droits en propre, hors du projet de ses parents sur lui.
Récemment, le délit d’entrave à l’avortement a été étendu à la simple expression d’une parole critique de l’avortement et de ses conséquences auprès d’une femme venant chercher conseil. Les catholiques de France seront ainsi empêchés pour l’avenir d’exprimer leur opposition aux politiques de promotion de l’avortement, au mépris de la liberté d’expression qui était jusqu’à présent le fondement de notre démocratie.
Le gouvernement pose des jalons pour faire voter une loi autorisant l’euthanasie ; à cette fin tous les membres du Comité National Consultatif d’Ethique ont été changés par Monsieur François Hollande et plus aucun représentant des autorités religieuses n’y siège.
Enfin, le Ministre de l’Education Nationale qui est le promoteur actif de la théorie du Gender à l’école a affirmé clairement sa volonté d’« arracher l’élève à tous les déterminismes », en ce compris les déterminismes familiaux. C’est ainsi le droit des parents à élever leur enfant conformément à leurs convictions qui est menacé. [Cette campagne bafoue le Pacte relatif international aux droits civils et politiques dans son article 18.4 ratifié par la France, personne ne l'a relevé]
Très Saint Père vous saurez, bien évidemment, trouver mieux que nous, les mots pour exprimer notre malaise sur l’ensemble des sujets évoqués ci-dessus, mais nous vous prions instamment avec confiance et gratitude, de bien vouloir faire officiellement état à Monsieur François Hollande de la terrible inquiétude de nombreux catholiques de France, lors de sa visite auprès de votre Sainteté le 24 janvier prochain.
Nous avons l’honneur d’être, avec le plus profond respect de Votre Sainteté, les très humbles et dévoués serviteurs.
Un collectif de catholiques de France.

Pour signer, c'est ici:

http://www.citizengo.org/fr/2663-visite-f-hollande-au-vatican-lettre-ouverte-au-pape?m=5&tcid=1048062


15.1.14

Le Salon beige soutient Jack Lang

Sans surprise le Salon beige comme Nouvelles de France soutiennent ceux qui critiquent sans discernement la décision du 9 janvier du Conseil d'État statuant en matière de référé (affaire Dieudonné M'bala M'bala).

Voici un extrait du genre de littérature sur ce thème (auteur le Pr. Jack Lang):

« "L'autorité administrative doit veiller au respect de la tranquillité, de la salubrité et de la sécurité. Selon une jurisprudence qui remonte aux années 1930, elle ne peut interdire une manifestation, un spectacle ou une oeuvre qu'en raison d'un trouble matériel à l'ordre public. Depuis, le juge administratif s'en est tenu strictement à cette lecture. Il s'est toujours considéré comme protecteur de la liberté d'expression, et s'est constamment opposé aux interdictions se fondant sur des raisons autres que la menace à l'ordre public (...) »

Alors que la décision du 9 janvier est substantiellement un progrès dans l'analyse de la notion d'ordre public. L'ordre public, c'est aussi la vérité de la dignité de la personne humaine et la cohésion nationale. L'ordre public ce sont des valeurs qui ne sont pas que matérielles (sécurité, tranquillité, hygiène). Le lecteur intéressé pourra lire parmi mes posts précédents sur les ordonnances des 9 et 11 janvier. Il constatera que je ne suis pas d'accord avec les conclusions de ces ordonnances (mais ces conclusions sont cohérentes avec la Constitution), alors que, cependant, j'y relève un progrès très intéressant dans l'analyse de la notion d'ordre public.

Il est amusant, et triste aussi, de constater que le Salon beige et Nouvelles de France communient avec Jack Lang, Frédéric Poisson, le Syndicat de la magistrature et tutti quanti dans la condamnation rétrograde de ces intéressantes (surtout celle du 9 janvier) décisions de justice.

14.1.14

Madame Trierweiller s'apprête à rendre "coup pour coup"

Selon le site du Figaro (qui a interviewé sa biographe), madame Trierweiller s'apprête à rendre "coup pour coup" à François Hollande.

Si elle lui rend des coups aussi forts que ceux qu'elle a reçus, cela va vraiment chauffer. Mais F. Hollande a sans doute les moyens de la calmer...

Monsieur Poisson n'a rien compris

Affaire Dieudonné une déclaration de monsieur Poisson lue sur le Salon beige (extraits)

« Cette remise en cause de notre pacte social est plus difficile à percevoir dans l'affaire Dieudonné. Les décisions ultimes prises par le Ministre de l'Intérieur sont pourtant lourdes de sens. Il a choisi de faire prévaloir une vision élastique du "trouble à l'ordre public", voire du trouble "potentiel", sur le principe, lui très solide, de la garantie de la liberté d'expression. Quel que soit le caractère abject des spectacles visés, cette démonstration de force porte en germe toutes les interdictions possibles, tout rassemblement de plus de trois personnes portant en lui la potentialité d'un "trouble à l'ordre public". Les veilleurs et manifestants de tout poil contre le mariage en ont quelques souvenirs, parfois musclés... Et pour couronner le tout, le Ministre de l'Intérieur déclare vouloir interdire désormais "tous les mots qui divisent la République" (sic).  Ça pourrait en faire quelques-uns, et nous attendons la liste avec impatience. Potentiellement en tous cas, tout discours d'opposition au Gouvernement, toute critique du Chef de l'Etat ne peuvent-ils pas être regardés - par un œil certes peu bienveillant - comme des "mots qui divisent la République" ? Nous sommes ici bien plus dans un numéro de lyrisme mal assis que dans le maintien de l'ordre et le respect des libertés fondamentales. De là à considérer que nous sommes entrés dans la partialité et le parti pris, dans le seul but de bâillonner les opposants, il y a bien peu. (…) ? »

Monsieur Poisson n'a rien compris aux décisions des juges relativement à l'affaire Dieudonné. Il n'a pas compris que l'ordre public ce sont des valeurs sociales ainsi que l'a confessé le juge du Conseil d'État. L'ordre public ce sont donc les valeurs qui fondent la société: vérité, liberté, justice, droits de l'homme. En ce sens la jurisprudence de la formation de référé du Conseil d'État est valable.

Monsieur Poisson ne semble pas avoir compris non plus que le Préambule de la Constitution était appliqué par les juges et qu'il avait un côté d'ordre public ferme et clair. Ce Préambule, mêlé de vrai et de faux, permet de fragmenter l'humanité, certes, mais il la fragmente sous le seul rapport de l'histoire de la deuxième guerre mondiale seulement. Ce préambule viole les droits de l'homme au nom des droits de l'homme. C'est cela qui est inquiétant. Ce n'est pas la décision des juges. Aucun des risques que monsieur Poisson évoque n'est donc réel.

Pour en sortir prenons de la hauteur grâce au Compendium. La justice doit être inspirée par la miséricorde. Miséricorde à l'égard de tous (Compendium 204):

« 204 Entre les vertus dans leur ensemble, et en particulier entre les vertus, les valeurs sociales et la charité, il existe un lien très fort qui doit être toujours plus profondément reconnu. La charité, souvent réduite au domaine des relations de proximité, ou limitée aux seuls aspects subjectifs de l'agir pour l'autre, doit être reconsidérée selon sa valeur authentique de critère suprême et universel de l'éthique sociale tout entière. Parmi toutes les voies, y compris celles recherchées et parcourues pour affronter les formes toujours nouvelles de l'actuelle question sociale, la « meilleure de toutes » (1 Co 12, 31) est la voie tracée par la charité. »

Or le Préambule de la Constitution est un préambule sur le sujet de la deuxième guerre mondiale est un texte de haine et d'exclusion.

Notre droit d'ailleurs est en partie fondé sur la haine et l'exclusion. Par exemple par l'imprescriptibilité des crimes contre l'humanité dont on n'a pas commencé à constater combien elle est contraire à la justice, au droit à un procès équitable, combien elle fractionne l'humanité. Mais cela est encore une autre histoire...

Lisons par exemple l'accord de Londres du 8 août 1945 (à peu près au même moment où le gouvernement américain lançait des bombes atomiques sur le Japon - 6 et 9 août - massacrant des centaines de milliers de civils, bébés, enfants, femmes, malades...), accord conclu entre le Gouvernement provisoire de la République française (qui n'avait aucune légitimité démocratique) et, entre autres, le gouvernement de Staline.

« Considérant que la Déclaration publiée à Moscou le 30 octobre 1943 sur les atrocités allemandes en Europe  occupée a spécifié que les officiers et les soldats allemands et les membres du parti nazi qui sont responsables d'atrocités et de crimes, ou qui ont pris volontairement part à leur accomplissement, seront renvoyés dans les pays où leurs forfaits abominables ont été perpétrés, afin qu'ils puissent être jugés et punis conformément aux lois de ces pays libérés et des Gouvernements libres qui y sont établis ; »

Peut-on ne pas voir que ce texte fragmente l'humanité en désignant une catégorie d'homme jugés criminels non par un jugement mais par un texte général les condamnant d'avance ? De plus ces textes fragmentent l'humanité puisqu'ils sont rédigés par les ennemis des accusés. Un ennemi ne peut juger équitablement son ennemi, je m'excuse de le rappeler.

Donc si l'on ne remet pas en cause ces textes (dont celui de Moscou de 1943, qui ne fut pas signé par des Français, mentionne par allusion le massacre de Katyn, en réalité perpétré par des staliniens), on n'est pas en dehors de l'« ordre public » de haine. Mais si on remet en cause ces textes, on est en dehors de l'«ordre public » de la haine. C'est cela qui est reproché à Dieudonné, de se mettre en dehors de l'anti-ordre public de 1943  et de 1945 confirmé plusieurs fois par la suite. Il n'y a pas de risque pour ceux qui ne remettent pas en cause cet « ordre public » formé de l'anti-valeurs de haine assurant, prétendument, la cohésion républicaine (Il n'y pas de danger par exemple pour les défenseurs de la vie, les défenseurs du mariage, les défenseurs de la liberté religieuse). Du moins pas de risque fondé sur ces textes et cette jurisprudence. Les décisions de jurisprudence du Conseil d'État et l'interprétation de l'ordre public par monsieur Valls ne sont pas arbitraires, elles sont précisément fondées sur des textes nationaux et internationaux, mais étrangers à la charité universelle et à la justice (ne serait-ce qu'en faisant du droit pénal, un droit commun d'application nécessaire, alors qu'il est un droit d'exception, strictement limité, non absolument nécessaire et destiné à disparaître avec le temps).

13.1.14

Pour La Croix, Dieudonné est une « bactérie »

Les bons apôtres de La Croix perdent leur sang froid lorsqu'ils écrivent sur Dieudonné M'bala M'bala.

Voici ce qu'ose écrire monsieur Frappat et ce qu'ose publier le journal de l'épiscopat:

« Tel est, hors de la scène où il débite ses rigolades antisémites, le but de cet homme : en finir avec les juifs. C’est une bactérie, à sa manière. Une bactérie qui menace les esprits, l’intelligence, le cœur et la mémoire. Là, décidément, vigilance rouge : le principe de précaution doit s’appliquer sans faiblesse. »

Bruno Frappat accuse Dieudonné M'bala M'bala de vouloir exterminer les juifs. Il vient de charger sa conscience d'une diffamation, péché aussi grave que celui qu'il impute mensongèrement à Dieudonné. Ce qui n'est pas rien.

Il le traite de "bactérie". Il ne traite pas son discours de "bactérie", non il traite l'homme de bactérie. Je ne crois pas solliciter le texte lorsque je constate qu'il suggère que les bactéries se traitent à l'eau de javel. On lit cela dans le journal de l'épiscopat. Sans qu'aucun évêque ne proteste.

Si l'on désirait une confirmation que le "pacte républicain", les "valeurs républicaines" impliquent la haine d'une partie de l'humanité, cet article nous en fournirait une. Comme d'habitude le "pacte républicain" consiste à nier les droits de l'homme au nom des droits de l'homme.

Heureusement que je sais par mon aumônier de lycée qu'il faut distinguer la doctrine catholique et l'Église des hommes qui se réclament d'elles. Merci cher abbé Combaluzier !

« Mt 18,7. Malheur au monde à cause des scandales!  Car il est nécessaire qu'il arrive des scandales; mais malheur à l'homme par qui le scandale arrive! »


http://magnificat.ca/textes/nt01_mt.rtf