28.2.14

L'ordre nouveau de Robert Jackson



Robert Jackson  (TMI vol. XIX p. 415, à 11" environ de la vidéo) énonce un fait généralement adroitement dissimulé encore aujourd'hui. Ce fait, c'est  le "caractère unique et remarquable de cette assemblée" (le TMI qui fonde l'ordre public de 2014, voir la loi Gayssot). Cet ordre public nouveau rend les institutions existantes depuis cette époque étrangères  "aux mécanismes constitutionnels d'aucune des nations signataires" (selon les mots même du Procureur Robert Jackson). Nous sommes donc devant un ordre institutionnel nouveau et hétérogène à toutes les institutions préexistante (selon Jackson du moins). Étranger donc aux cultures anglo-saxonne, française et soviétique. C'est l'ordre public des chambres à gaz.

Ce sont les préambules (1946, 1948) qui énonceront l'ordre nouveau d'un droit non plus de justice mais d'agression d'une partie de l'humanité.

C'est un ordre nouveau qui date de cette époque, un ordre de guerre perpétuelle contre la culture et les peuples européens, y compris la culture révolutionnaire de 1789. Le terme de "guerre" n'est d'ailleurs pas adéquat, car il s'agit d'agression perpétuelle et unilatérale. Cet ordre nouveau prétend se rattacher à l'ordre des droits de l'homme, mais en réalité, c'est un arbitraire, un pur relativisme existentialiste. Conforme au mot d'ordre cartésien, cet ordre nouveau "avance masqué" derrière les droits de l'homme qui sont pourtant son contraire.

Merci en tous cas à monsieur Reynouard de nous permettre d'accéder à ces documents généralement occultés et de réfléchir ainsi à l'aspect institutionnel des problèmes qui se posent à nous en 2014.

Pour moi, il est évident que le national-socialisme de monsieur Reynouard n'est en aucun cas à même de répondre à cet ordre nouveau. Il est incapable de rétablir la justice. Au contraire, il semble bien, involontairement et inconsciemment, le renforcer ne serait-ce qu'en occultant les vrais problèmes et par sa négation des droits universels de l'homme et sa fausse conception du bien commun.

Seul un ordre public universel, ferme, catholique fait de vérité, donc d'impartialité, de droits de l'homme, justice et solidarité universels serait susceptible de rétablir l'ordre et la paix.

27.2.14

L'arrêt de vie ou de mort du Conseil d'État contre Vincent Lambert

Le Conseil d'État a rendu le 14 février 2014 une décision concernant monsieur Vincent Lambert. Voici un extrait du communiqué publié par ledit Conseil d'État en commentaire à sa propre décision:


« Elle [la décision du Conseil d'État] juge que les dispositions du code de la santé publique issues de la loi du 22 avril 2005 relatives à l’arrêt de traitement en cas d’obstination déraisonnable s’appliquent que le patient soit ou non en fin de vie et peuvent donc concerner l’état dit pauci-relationnel dans lequel se trouve M. Vincent Lambert.
Elle juge également que l’alimentation et l’hydratation artificielles de M. Vincent Lambert constituent un traitement au sens de cette loi.
Elle juge enfin qu’il appartient au juge du référé liberté d’exercer ses pouvoirs de manière particulière lorsqu’il doit concilier les deux libertés fondamentales que sont le droit à la vie et celui de ne pas subir un traitement traduisant une obstination déraisonnable. Cette conciliation implique qu’il s’assure, en étant éclairé sur la situation médicale du patient, de ce que la décision médicale d’interrompre le traitement relevait bien des hypothèses prévues par la loi. »

Voici les termes de la décision sur l'arrêt des traitements :

« [Les actes de soins ne doivent pas être] poursuivis par une obstination déraisonnable et qu’ils peuvent être suspendus ou ne pas être entrepris lorsqu’ils apparaissent inutiles ou disproportionnés ou n’ayant d’autre effet que le seul maintien artificiel de la vie, que la personne malade soit ou non en fin de vie ; »

Or les termes de la lois sont les suivants (article L110-5 du Code de la Santé publique) :

« Ces actes ne doivent pas être poursuivis par une obstination déraisonnable. Lorsqu'ils apparaissent inutiles, disproportionnés ou n'ayant d'autre effet que le seul maintien artificiel de la vie, ils peuvent être suspendus ou ne pas être entrepris. Dans ce cas, le médecin sauvegarde la dignité du mourant et assure la qualité de sa vie en dispensant les soins visés à l'article L. 1110-10. »

Le terme de "déraisonnable" désigne pourtant qu'un des termes d'appréciation est la mort imminente. Il n'est pas déraisonnable de maintenir des soins qui ne sont ni inutiles, ni disproportionnés par rapport au recul de l'échéance décisive (la nourriture par voie parentérale n'est pas un soin disproportionné), ni un maintien "artificiel" de la vie. Le Conseil d'État ment.

La désignation d'un collège d'experts telle qu'elle est présentée par les médias, n'est donc rien qu'une tromperie, car le Conseil d'État a déjà décidé contre la loi positive, contre le droit naturel et contre les droits/devoirs de l'homme.

Enfin il n'y a pas, il ne peut y avoir en matière de droits de l'homme de conflits de droits. Les droits de l'homme sont un bloc. Le droit à la vie est aussi un devoir de vivre. Ce devoir de vivre, comme tout droit de l'homme, n'est pas absolu. Tout droit de l'homme doit s'insérer harmonieusement dans l'ensemble des droits éclairé par le principe de la dignité de l'être humain (destinée transcendante de l'être humain). C'est pourquoi il est licite de cesser les traitements extraordinaires (opérations longues et exceptionnelles par exemple ou soins très douloureux). Le traitement exceptionnel reste licite, même s'il n'est pas obligatoire, sauf cas particuliers.

Le droit positif (même si on considère généralement que cette Déclaration ne fait pas partie du droit positif, je considère qu'elle en fait partie) exprime cette vérité en des termes particulièrement clairs dans la Déclaration universelle des droits de l'homme :

« Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un groupement ou un individu un droit quelconque de se livrer à une activité ou d'accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés qui y sont énoncés. »

(Article 30 de la Déclaration universelle des droits de l'homme)

Les experts qui participent à ce déni de droit/devoir de l'homme ne sont pas moins coupables que les juges qui se sont fondés sur ce déni pour les nommer. Un homme digne de ce nom devrait refuser de participer à cette tromperie. Le Conseil d'État n'a aucun titre à se constituer juge de la vie ou de la mort d'un citoyen innocent.

26.2.14

La justice n'est pas la guerre par d'autres moyens, la justice, c'est la paix

Monsieur Reynouard dans sa vidéo cite cette déclaration du procureur américain:

« Les alliés sont encore techniquement en état de guerre contre l’Allemagne, quoique les institutions politiques et militaires de l’ennemi aient disparu. En tant que Tribunal Militaire, nous poursuivons l’effort de guerre des nations alliées. En tant que Tribunal International, nous ne sommes pas attachés au raffinements positifs de procédure de nos systèmes constitutionnels ou juridiques respectifs (…) »

TMI vol. XIX p. 415 Procureur Jackson 26 juillet 1946

Il faut certes tenir compte du fait que cette citation est extraite des réquisitions du Ministère public qui n’est pas neutre dans un procès, ce dont ne s’aperçoit sans doute pas monsieur Reynouard. Mais il reste qu’il n’a semble-t-il pas été contredit et semblait ne faire que constater un état de fait.

D’une part, il est absurde de prétendre rendre la justice en se déclarant l’ennemi des accusés (le parquet n’est pas l’ennemi des accusés, il est là pour faire appliquer la loi et requérir une JUSTE peine). Si l’état de guerre subsistait, il était impossible à une nation de juger impartialement et sereinement les dirigeants de la nation à laquelle elle faisait la guerre.

D’autre part, la forme emporte le fond. L’abandon des formes de procédure protectrice des droits de l’homme invalidait et invalide toujours les décisions du tribunal Militaire international de Nürnberg.

Aujourd'hui la guerre unilatérale de la Ve République contre les régimes qui ont « tenté d’asservir les êtres humains » n’est toujours pas terminée. La Ve République continue de mener la guerre contre la France traditionnelle sous couvert de lutte pour les droits de l’homme. Un des organes de cette guerre est l'autorité judiciaire française.

Mais il faut choisir entre la guerre et la justice. La justice, c’est la paix, ce n’est pas la guerre par d’autres moyens. "L'œuvre de la justice, c'est la paix."

Vincent Reynouard pense que la guerre continue depuis 1939



Les documents de monsieur Reynouard sont intéressants. Ils démontrent, entre autres éléments intéressants, que les droits de la défense n'étaient pas respectés par la magistrature française, dès cette époque. Les dialogues en Jean Hérold en attestent. Cela n'a pas changé d'ailleurs (brutalité et impossibilité pour l'accusé de s'expliquer sans contrainte).

Mais le rejet passionné des droits de l'homme empêche monsieur Reynouard de voir l'incohérence de ceux qui prêchent les droits universels de l'homme pour mieux en exclure une partie de l'humanité. Curieusement d'ailleurs dans votre vidéo vous vous fondez sur certains droits de l'homme (voire sur la doctrine des droits de l'homme) en faisant remarquer le viol du principe du contradictoire, les viols des droits de la défense dans les divers procès qu'il évoque.

La guerre continue en effet avec pour instrument les institutions politiques et judiciaires. Mais monsieur Reynouard refuse de voir qu'elle est inscrite dans les institutions de 1943 à 1948 (en passant pas 1946) voire jusqu'à nos jours. Inscription qui est incohérente avec la doctrine exprimée dans les mêmes documents un peu plus bas...

Le droit ne distingue pas entre les hommes. Or en jugeant des événements historiques (nécessairement unique, constituant "l'océan de l'histoire") et par conséquent des hommes nécessairement coupables et d'autres nécessairement innocents (Préambule de 1946 par exemple), ces textes s'écartent de ce qui constitue des textes législatifs respectueux des droits de l'homme. Ils ne sont donc pas des lois car ils n'ont pas la nature de loi. La Déclaration des droits de l'homme du 26 août 1789 stipule avec raison "[La loi] doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse." Or une loi qui déclare certaines catégories d'humains coupables et certaines autres innocentes n'est pas la même pour tous. C'est une des incohérences du Préambule de 1946 (Préambule qui fonde la guerre contre Dieudonné).

Monsieur Reynouard a besoin d'incohérences puisqu'il défend une politique, selon moi indéfendable, justement par refus des droits de l'homme. Vos adversaires ont aussi besoin d'incohérences pour continuer leur guerre et refuser les droits de l'homme à leurs "ennemis".

La sentence qui inspire maître Sylvia Stolz




Voici la phrase de maître Stolz que je transcris :

« In diesen Satz wird der Kern des menschlichen Wesens, des Menschs Seins da gestellt « Denken was wahr und füllen was schön und wollen was gut ist darin erkennt der Geist das Ziel des vernünftigen Lebens » Das ist en Satz von Johan Gottfried von Herder.

Voici la traduction personnelle que je propose de la sentence qui semble inspirer la vie de cette avocate peu ordinaire:

« Je crois qu’en cette sentence, réside l’authentique essence de l’être humain. « Penser ce qui est vrai, sentir ce qui est beau, et vouloir ce qui est bon, c’est que l’esprit reconnaît être le but de la vie rationnelle. » (1) C'est une sentence de Johan Gottfried von Herder. »


À rapprocher de la citation de l'Imitation de Jésus-Christ que j'ai proposée: être affranchi de toute erreur, de toute laideur morale, et de tout désir désordonné, c'est ce à quoi nous devons tendre. Nous n'avons pas trop d'une vie pour y parvenir.

Les hommes parfaitement libres sont ceux qui

« supérieurs aux biens du temps, ne cèdent point à leur attrait mais plutôt les forcent de servir au bien, selon l'ordre établi par Dieu, le régulateur suprême, qui n'a rien laissé de désordonné dans ses oeuvres. »

La justice allemande a mis maître Stolz en prison pendant 3 ans et 3 mois. Un autre avocat, avec lequel elle est en "relation de couple", maître Horst Mahler, condamné à 11 ans de prison pour révisionnisme est incarcéré depuis le 25 février 2009...

(1) Herder, franc-maçon, adepte du Sturm und Drang (Assaut et pulsion ou assaut et désir ou tempête et instinct) qui inspira les nationaux-socialistes (voir Vérité et liberté du cardinal Ratzinger revue Communio mars-avril 99) parle de "l'esprit". Je dirais plutôt "raison universelle de l'homme". La "raison universelle de l'homme" ne condamne pas la croyance parce qu'elle est croyance. Elle condamne en conséquence le rationalisme. Le rationalisme qui est l'enfermement de la raison, le refus d'ouverture de la raison vers ce qui la dépasse sans la contredire.

24.2.14

« En parfait Israélite, affranchi de toute servitude » (réponse à monsieur Reynouard)

dans cette vidéo




Monsieur Reynouard récuse l'autorité des droits universels de l'homme qu'il oppose aux sociétés d'ordre. Il y a du vrai dans ce qu'il dit: les droits de l'homme ne sont pas nécessairement liés à la démocratie (choix des dirigeants politiques par élection au suffrage universel). Il omet toutefois de dire que l'autorité, si l'on réfléchit bien aux implication de l'égalité des êtres humains, ne peut ressortir de l'arithmétique (pas plus d'ailleurs dans la supériorité de son détenteur). Elle n'est fondée qu'en Dieu. Les hommes, les êtres humains, sont en effet égaux et personne, à part Dieu, ne peut faire plier leur volonté.

Comment les droits universels de l'homme seraient-ils un relativisme ? C'est impossible, au contraire, ils établissent la vérité métaphysique de l'homme. La vérité de la liberté, la vérité de l'égalité et la vérité de la fraternité interdisent le relativisme.

Autre chose. À force de nier que la liberté soit la liberté de mal faire (ce qui est exact, dans une certaine mesure car il existe un droit à faire le mal, dans certains cas) il finit par nier la liberté tout court. La liberté suppose la possibilité de choix (un des trois éléments constitutifs de la liberté). Sans possibilité de choix, il n'y a pas de liberté. Le mauvais choix n'est pas une liberté mais un asservissement à quelque chose qui n'est pas l'homme qui est extérieur à la nature de l'homme (voler est un asservissement à la passion pour l'argent, ce n'est pas une liberté ; diffamer est un asservissement à la haine de l'autre à qui l'on tente de nuire ou à qui on nuit effectivement en lui enlevant sa réputation). L'homme vraiment libre est le seul homme vertueux. C'est pourquoi votre combat contre la diffamation est respectable. Il défend les droits de l'homme.

Imitation de Jésus-Christ Comment il faut se conduire dans les choses extérieures et recourir à Dieu dans les périls:

« 1.Jésus-Christ: Mon fils, en tous lieux, dans tout ce que vous faites, en tout ce qui vous occupe au-dehors, vous devez vous efforcer de demeurer libre intérieurement et maître de vous-même, de sorte que tout vous soit assujetti et que vous ne le soyez à rien. Ayez sur vos actions un empire absolu; soyez-en le maître et non pas l'esclave. Tel qu'un vrai Israélite, affranchi de toute servitude, entrez dans le partage et dans la liberté des enfants de Dieu qui, élevés au-dessus des choses présentes, contemplent celles de l'éternité; qui donnent à peine un regard à ce qui passe et ne détachent jamais leurs yeux de ce qui durera toujours; qui, supérieurs aux biens du temps, ne cèdent point à leur attrait mais plutôt les forcent de servir au bien, selon l'ordre établi par Dieu, le régulateur suprême, qui n'a rien laissé de désordonné dans ses oeuvres. »

http://idjc.free.fr/ijc_3_38.htm

Le national-socialisme est issu des grands courants modernes (lisez-donc Liberté et vérité du cardinal Ratzinger) et il les rejoint. À force de vous définir par rapport  à ses adversaires (fut-ce en rejetant tout chez eux), monsieur Reynouard finit par leur ressembler. Car, eux aussi, refusent tout chez lui.

Il faut s'efforcer de devenir un parfait Israélite affranchi de toute propagande, qui cherche la justice universelle et conduit sa vie librement sous le regard de Dieu.

23.2.14

Peut-on être catholique sans avoir la foi ? Malhonnêteté des sondages


Un "sondage" nous affirme que 90 % des "catholiques" seraient favorables au "droit" à l'avortement.

Or, la foi catholique nous dit que le pape est infaillible en matière de mœurs, même si les vérités qu'il énonce sont accessibles à la raison.

Mais qui est catholique ? C'est celui qui a la foi catholique, il me semble. Il croit donc l'Église lorsqu'elle enseigne. Il est juridiquement libre de croire ou de ne pas croire, c'est la liberté religieuse.

On devient membre de l'Église par la foi:

« Ce peuple, dont on devient membre par la foi au Christ et par le Baptême, » (Compendium du catéchisme)

Enseignement de Gaudium et spes (51,3) sur l'avortement:

« La vie doit donc être sauvegardée avec un soin extrême dès la conception : l’avortement et l’infanticide sont des crimes abominables. »

Comment peut-on déclarer avoir la foi et d'autre part récuser l'autorité de l'Église ? C'est incohérent.

Donc ne pas relever cette incohérence et faire croire que l'Église n'est pas un objet de foi, donc sacrée pour l'homme, pour tout homme, est malhonnête.

22.2.14

Le drame des chrétiens palestiniens selon le P. Madros, prêtre palestinien



Homélie du Père Madros, prêtre palestinien. Il nous ouvre les yeux sur les problèmes des chrétiens palestiniens. L'appel du muezzin est un crime contre la liberté religieuse commis 5 fois par jour.

En effet, les chrétiens, comme les autres, comme tous les hommes, sont libres de croire sans que personne ne s'empare de leurs croyances pour les combattre en leurs croyances arbitrairement. Vive le la liberté de croire, sans être agressé par personne !

Ces chrétiens palestiniens espèrent en la France.

Pour ne pas les décevoir, il n'existe qu'une seule solution: le Christ-Roi, le Christ qui est roi de France.

La France est malade de l'hypocrisie des soi-disant défenseurs des droits de l'homme, aussi bien d'ailleurs que de l'extrême-droite traditionaliste. Une solution pour nous sortir de nos péchés: le Christ-Roi. Il nous demande, par son vicaire, un ordre public ferme protégeant les droits de l'homme (Pacem in terris). Au premier rang des droits de l'homme: la liberté religieuse (Dignitatis humanæ), droit-pivot de tous les droits de l'homme.

La doxa maçonnique sur le Salon beige (à propos de Jules II)

La doxa anti-catholique s'étale sur le Salon beige :

« Giuliano della Rovere, né le 5 décembre 1443, fut élu pape de 1503 à 1513 sous le nom de Jules II (en latin Julius II). Il veut faire de l'État pontifical une grande puissance, ce qui lui vaut le surnom de Jules César II par ses admirateurs. Pour cela, il n’hésitera pas à utiliser les armes spirituelles contre ses ennemis du moment et à participer personnellement aux campagnes militaires de ses armées en tant que général en chef. Il rétablit son autorité sur les États de l'Église, oblige César Borgia à restituer ses forteresses, à l'Italie. Sous son pontificat, Jules II convoqua le Ve concile du Latran, créa la Garde suisse en 1505, posa la première pierre de l'actuelle basilique Saint-Pierre de Rome, que commence Bramante, fit de Raphaël son peintre favori, favorisa également Michel-Ange, qui peignit les grandes fresques de la Sixtine. »

Comme tous les textes maçonniques ou para-maçonniques, ce texte décrit un pape comme un pur machiavélien qui utilise les « armes spirituelles » dans des buts purement humains de puissance et de gloire humaine. Jules II aurait donc été un monstre, épris de richesse, de puissance et de beaux-arts favorisant ses artistes favoris (aurait-il été homosexuel ?)

Un simple oubli sans doute, Jules II réunit le cinquième concile du Latran en 1512.

Voici ce qu'on trouve sur le site magnificat à propos du dernier acte du concile:

« Ve Session. Cette session fut tenue le 16 février 1513, et l'on y décerna de la part du pape et du concile, des peines très sévères à l'effet d'empêcher la simonie dans le futur conclave. Cent trente-cinq prélats, ou cent trente-cinq mitres, comme parlent les actes, assistèrent à cette session, et ce fut la dernière du vivant de Jules II. Elle se termina par la lecture d'une lettre du pape malade, où il rappelait les deux affaires remises à des commissions spéciales, la réforme détaillée de la cour romaine, puis la discussion et le jugement à intervenir sur la pragmatique sanction de France. Et pour que cette dernière affaire se traitât avec toute la maturité convenable, il voulut qu'on citât de nouveau les fauteurs de la pragmatique à comparaître devant le pape et le concile, afin d'y produire les raisons qu'ils prétendaient avoir de la soutenir. Tous les Pères, sans exception, approuvèrent la proposition du pape. »

Ce pape lutta donc contre le luxe et les mœurs relâchés, il lutta aussi pour les droits de Jésus-Christ et par conséquent de son vicaire contre les gallicans hostiles à la liberté religieuse.

Jules II était un héros et un saint attaqué par les puissances européennes en voie de laïcisation par refus d'obéissance au pape.

Le Salon beige n'est parfois qu'une courroie de transmission anti-catholique, anti-Christ-Roi.

21.2.14

Rendre l'homosexualité sacrée (but de l'actuelle législation selon Bruno Gollnisch)



Ce n'est pas la décadence qui est en cause, mais les droits de l'homme et le tout premier: le droit à la vérité sur l'être humain.

Maître Sylvia Stolz, le prix de la vérité

Le prix de la vérité :



Dans cette interview (en allemand), l'interviewer fait remarquer à maître Sylvia Stolz qu'elle a payé cher (3 ans et demi de prison !) le droit de dire la vérité. Elle répond que la vérité n'a pas de prix.

Ce qu'il y a de remarquable chez cette révisionniste (ou négationniste, comme on veut), c'est qu'elle est aussi une philosophe.

C'est d'ailleurs une réponse philosophique à l'arrêt de la Cour européenne des droits de l'homme dans l'affaire Garaudy (24 juin 2003) qui stipulait:

« Or, il ne fait aucun doute que contester la réalité de faits historiques clairement établis, tels que l'Holocauste, comme le fait le requérant dans son ouvrage, ne relève en aucune manière d'un travail de recherche historique s'apparentant à une quête de la vérité. L'objectif et l'aboutissement d'une telle démarche sont totalement différents, car il s'agit en fait de réhabiliter le régime national-socialiste, et, par voie de conséquence, d'accuser de falsification de l'histoire les victimes elles-mêmes. Ainsi, la contestation de crimes contre l'humanité apparaît comme l'une des formes les plus aiguës de diffamation raciale envers les Juifs et d'incitation à la haine à leur égard. La négation ou la révision de faits historiques de ce type remettent en cause les valeurs qui fondent la lutte contre le racisme et l'antisémitisme et sont de nature à troubler gravement l'ordre public. Portant atteinte aux droits d'autrui, de tels actes sont incompatibles avec la démocratie et les droits de l'homme et leurs auteurs visent incontestablement des objectifs du type de ceux prohibés par l'article 17 de la Convention. »

La cour ment lorsqu'elle prétend que les fait sont clairement établis. D'ailleurs des faits, même clairement établis, peuvent se révéler faussement établis. Staline fut considéré par une partie importante de l'humanité comme un génie et un bienfaiteur de l'humanité en tous cas un interlocuteur valable par Roosevelt, Churchill et de Gaulle. Aujourd'hui il est clairement établi qu'il fut un tyran.

La cour ment, car Garaudy, communiste puis catholique, puis musulman (et jamais national-socialiste), n'avait pas pour objectif de réhabiliter le national-socialisme. Les juges le savaient. D'ailleurs aurait-il eu pour but de réhabiliter, même partiellement, les Allemands, et leur régime de 1933 à 1945, personne ne pourrait l'interdire, car la Convention protège les droits UNIVERSELS de l'homme et non les droits de l'homme, sauf ceux des "nazis". Donc le droit à la réputation des "nazis" est un objectif possible licite et même honorable.

Les juges accusent enfin Garaudy de diffamation des « victimes »: on ne voit pas comment on peut diffamer une victime en disant qu'elle a succombé à autre chose qu'un crime particulier…

La vérité est la vérité. La recherche de la vérité est la recherche de la vérité. Les juges n'ont pas à l'interdire sous le prétexte que leurs prix seraient trop élevés (selon eux) pour certains (toujours selon eux).

La vérité ne doit pas être utilisée pour diffamer, mais l'éventuel mauvais usage de la vérité ne doit pas interdire la vérité, ni la recherche de la vérité.

La vérité est une notion transcendante qui n'est de l'ordre, ni de l'utile, ni de l'inutile, ni du nuisible.

17.2.14

Le jugement contre les moines de Fontgombault et la loi électorale

Un jugement (lien vers l'article du Figaro), rendu à la demande de quelques militants de gauche, a ordonné la radiation des listes électorales de certains moines de l'abbaye bénédictine de Fontgombault.

Du fait du jugement les moines ne voteront nulle part puisque l’inscription sur les listes électorales est close, pour 2014, depuis le 31 décembre 2013.

http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F1372.xhtml

Si le juge est un militant de gauche, il était donc juge et parti, mais il est interdit au peuple de savoir si le juge est de gauche.

Ce jugement fait d’autre part passer les moines pour des fraudeurs, coup double… voire coup triple puisque les moines ne pourront plus voter du tout.

Si le juge avait respecté la loi et alors que les moines ne sont partis que depuis l’automne, et d’ailleurs provisoirement, il aurait rejeté la demande :

« Soit à la mairie de votre résidence si vous y résidez de manière effective et continue depuis au moins 6 mois, »

http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F1367.xhtml

Donc les moines ne pouvaient pas voter du tout selon le juge impartial (?) Mais le jugement respecte-t-il la loi ? Car il est contraire au suffrage universel que des citoyens ne puissent pas voter du tout.

Mohamed Merah est mort présumé innocent

On dit la loi Gayssot est fondée sur un jugement d'un tribunal. C'est vrai mais elle est aussi fondée sur l'accord de Londres de 1945.

Mais un jugement pénal peut toujours être révisé, et cela d'autant plus que les crimes contre l'humanité sont imprescriptibles, le droit à la révision est imprescriptible (comme le droit à un procès équitable).

Cela dit, à propos de Mohamed Merah, mort dans des conditions non élucidées, on va répétant comme le fait la manif "Jour de colère" :

« Outre qu’ils constituent une accusation sans preuve particulièrement grave, les propos de Madame Martin ne peuvent qu’évoquer d’autres accusations lancées à Toulouse il y a quelques mois, lors de la sanglante équipée du terroriste islamiste Mohamed Mehra. »

Les accusations contre Mohamed Merah sont également sans preuve. Mohamed Merah n'a jamais été condamné pour les crimes qu'on lui impute. Mohamed Merah, sa mémoire du moins, c'est à la présomption d'innocence qu'elle a droit.

Sur la bombe atomique et sur les bombardements de Dresde (et en général de l'Allemagne)

Lu dans le Catéchisme de l'Église catholique:

« 2314 " Tout acte de guerre qui tend indistinctement à la destruction de villes entières ou de vastes régions avec leurs habitants, est un crime contre Dieu et contre l’homme lui-même, qui doit être condamné fermement et sans hésitation " (GS 80, § 4). Un risque de la guerre moderne est de fournir l’occasion aux détenteurs des armes scientifiques, notamment atomiques, biologiques ou chimiques, de commettre de tels crimes. »

Les bombardements de l'Allemagne par les Anglo-Saxons étaient bien des crimes contre l'humanité, même si la résistance absurde de Hitler (la "guerre totale") constitue une circonstance atténuante à ces crimes qui n'en restent pas moins des crimes contre l'humanité.

De François Asselineau à Ordre nouveau (et retour)

http://www.youtube.com/watch?v=nmtCEetxjJE

Dans une vidéo, ininsérable sur mon blog, le président fondateur de l'Union pour la République (UPR), monsieur François Asselineau, s'en prend à la famille Le Pen.

Il prétend que madame Le Pen ne voudrait pas sincèrement sortir de Union européenne car elle veut renégocier les traités à 27. Selon lui la probabilité d'arriver à un accord est la même que celle de toucher le jackpot en jouant sur des machines à sous.

Il attaque aussi Ordre nouveau qui fut un des membres fondateurs du Front national. Voici ma réponse sur cette vidéo :


« C'est votre affirmation ridicule d'environ 27 ou 28'. Vous comparez les négociations humaines avec les résultats d'une machine à sous de casino. On voit l'estime que vous avez pour l'être humain, pour sa raison et pour sa liberté. Finalement vous êtes bien représentatif de la caste des hauts fonctionnaires grassement payés à dire des bêtises. D'ailleurs votre affirmation selon laquelle Ordre nouveau voulait une "Europe blanche" est aussi fantaisiste que vos comparaisons avec les machines à sous. Ordre nouveau était dirigé par un ami de monsieur Pasqua (Charles) tellement ami qu'il a fini par épouser une jeune fille membre de la famille Pasqua... Ordre nouveau avait pour ambition de lutter contre la terreur gauchiste issue des événements de 1968. C'est tout. »

Chasse aux moines à Fontgombault



La presse a commencé une campagne contre les moines. Un avocat et un juge s'en mêlent...

Le chant des moines pendant ce temps-là réjouit l'âme.

Le droit de chanter et de prier selon des formules choisis librement (dans les limite de l'ordre public), sont une conséquence de la liberté religieuse de l'homme.

16.2.14

Les fondements de la "loi" Gayssot: un bien particulier et pas le bien commun

Lu dans la Somme Théologique:

« Isidore de Séville déclare "La loi n'est écrite pour l'avantage d'aucun particulier, mais pour l'utilité commune des citoyens. »
Ce que confirme d'ailleurs la Déclaration des droits de l'homme et du citoyens de 1789 (26 août):

« [La loi] doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. »

Or le Préambule de la Constitution est écrit dans l'intérêt de certains et contre d'autres.

« 1. Au lendemain de la victoire remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté d'asservir et de dégrader la personne humaine, »

Par cette phrase l'État français, fragmente l'humanité: "les peuples libres" qui ont remporté une victoire en 1945 (événement historique contingent).

Ce texte n'est pas écrit pour l'utilité de tous, mais pour l'utilité de… ceux qui ont rédigé ces textes... ainsi que leurs ayant droit.

Ce texte parmi les "peuples libres", les peuples atrocement asservis par le stalinisme...

Or, cette première phrase du Préambule fonde tout l'ordre juridique français depuis 1946. Elle fonde la loi Gayssot et les décisions telles que celle du Conseil d'État de février 2014 (formation des référés) à l'encontre du spectacle de Dieudonné. Il est donc important et urgent d'en demander la suppression comme contraire à la raison universelle de l'homme, donc à la justice et à l'impartialité nécessaire de la loi.


L'usage de la liturgie ancienne est un droit de l'homme



Selon Mgr Jan Graubner, Président des évêques tchèques (qui viennent d'être reçus par le Pape), certains évêques se seraient inquiétés du sort à réserver à ceux qui réclament l'usage d'un ancien missel édité par le Saint-Siège.

En substance, le Pape, leur a répondu que l'usage de l'ancienne liturgie était un phénomène de mode à traiter comme tel: par le mépris.

« Quand je me pose la question plus concrètement – a ajouté le pape – je conclus que c’est une sorte de mode. Et puisque c’est une mode, c’est une chose qui passera, à laquelle il ne faut pas tellement faire attention. Mais il faut garder de la patience et de la bienveillance envers ceux qui sont tombés dans cette mode. »

Mais l'usage d'une formule de prière éditée par un pape et d'un rite expressément permis par un pape n'est pas laissée à l'appréciation d'un nouveau pape ou des nouveaux évêques. C'est un droit de l'homme. C'est un droit fondé sur la liberté religieuse et sur la foi catholique (je l'ai soutenu plusieurs fois sur ce blog).

Comme l'enseignait en substance le cardinal Newman à qui l'on demandait à qui il porterait un toast: ce n'est pas le Pape qui est le plus important, mais la conscience. Le pouvoir du Pape doit respecter les droits universels de l'homme conférés directement par Dieu à tout homme.



75 % des Français pensent que la justice fonctionne mal

Selon le site du journal Le Monde qui relaie les résultats d'un sondage non anonyme (sondés recrutés par téléphone et interrogés par Internet):

« Les trois quarts des Français (75 %) estiment que la justice fonctionne mal dans le pays »

Or, si les trois quarts des personnes interrogées déclarent publiquement qu'elles ont une mauvaise opinion de la justice, c'est qu'en réalité personne n'a plus confiance dans la "justice" française.

C'est parce que les gens ont constaté la partialité et l'amateurisme des magistrats qu'ils pensent cela. Même ceux qui gagnent (parce qu'il y a eu un bon coup de fil donné au bon moment) savent que c'est injuste... Il s'agit d'une opinion fondée. La justice française foule aux pieds les droits de l'homme par habitude.

14.2.14

SOS TOUT-PETITS au service de nos frères non-nés


Pour un désarmement nucléaire unilatéral et complet

Voici ce qu'enseigne le Catéchisme de l'Église catholique à propos de la guerre, rappelant la Déclaration Gaudium et spes :

2314 " Tout acte de guerre qui tend indistinctement à la destruction de villes entières ou de vastes régions avec leurs habitants, est un crime contre Dieu et contre l’homme lui-même, qui doit être condamné fermement et sans hésitation " (GS 80, § 4). Un risque de la guerre moderne est de fournir l’occasion aux détenteurs des armes scientifiques, notamment atomiques, biologiques ou chimiques, de commettre de tels crimes. »

Ce sont véritablement des crimes contre l'humanité.

Or posséder l'arme nucléaire c'est se mettre en mesure de perpétrer de si horribles crimes contre Dieu et contre l'humanité. Ne parlons pas du coût financier de ces abominables armes.

La conclusion est donc évidente: désarmement nucléaire unilatéral et sans condition. Ce désarmement devra se combiner avec une exigence de désarmement nucléaire universel et la revendication d'un gouvernement mondial.

Je m'étonne ou ne m'étonne pas d'entendre un aumônier militaire catholique contredire cette évidence selon un article de Le Monde:

« Si l'Eglise appelle à un « désarmement mondial, multilatéral, progressif et simultané », l'aumônier catholique a affirmé « qu'en l'état du monde d'aujourd'hui, le nucléaire et la dissuasion sont nécessaires ».

En réalité, l'Église demande un gouvernement mondial. Et je le demande à sa suite pour la paix universelle. Il semble que deux associations chrétiennes, Pax Christi et Justice et paix, demandent un désarmement unilatéral « et prophétique ».

De ce fait, je me sens moins seul. Ce n'est pas ma foi, c'est la raison qui me dicte ces conclusions.

Quand Daoudal reprend des légendes anti-chrétiennes

Daoudal dont le blog n'est pas toujours sans mérite, reprend la légende selon laquelle Gélase 1er avait "interdit" les fêtes des lupercales (qui auraient été célébrées vers le 15 février)...

Comme si le pape pouvait interdire une fête à des adeptes d'une autre religion que la religion catholique... On rappelle que les États pontificaux étaient un refuge pour les juifs persécutés. C'était donc des États où ils pouvaient célébrer leur culte et réciter leurs prières.

Il colporte ainsi les légendes laïcistes des Papes autoritaires prenant des décisions qu'ils imposaient au peuple par la force. Dégueulasse...

Daoudal qui entretient, comme c'est son droit, un silence sépulcral sur mon blog (il préfère discuter de "maître Éolas" et, comme le Salon beige soutient monsieur Jack Lang, monsieur Daoudal admire l'œuvre de monsieur Frédéric Mitterrand...). C'est son droit... si l'on veut car je sais que mon blog apporte des éléments inédits et intéressants. Affecter de m'ignorer n'est donc pas innocent même pour le public...

Mise en danger de la vie d'autrui à Nancy par un drone


L'auteur de la vidéo ferait l'objet de poursuites selon le Dauphiné.



Mise en danger de la vie d'autrui ? Je ne vois pas. D'autant que ce délit virtuel qui fait appel à l'imagination sur les conséquences éventuelles de faits avérés ne me semble pas conforme au droit naturel.

Le droit pénal doit rester un droit d'exception, la répression est une anomalie nécessaire.

Contre le rite de Paul VI

Lu sur Paix liturgique :

« On n’est plus aujourd’hui (du moins généralement) à l’époque de la guerre liturgique ouverte, mais il y a encore bien des arrière-pensées de part et d’autre, (…) Car il faut bien se souvenir que c’est l’existence de ces prêtres « spécialisés », et souvent exclusivement, dans la célébration de la messe traditionnelle, qui a permis historiquement à celle-ci de perdurer de 1969 à 2007. » 
Il faudra bien le dire un jour: le rite de Paul VI imposé avec violences et mensonges contre la liberté religieuse des fidèles et d’autre part en lui-même une abomination religieuse et culturelle. Par exemple la suppression de la bénédiction de l'eau, la purification du calice avec de l'eau ordinaire et sans vin etc.

La communion dans la main est aussi une abomination directement contraire à la foi dans la présence réelle du Christ. D’ailleurs quel progrès ce rite de la communion dans la main a-t-il apporté ?

Le rite de Paul VI, dont il serait exagéré de dire qu'il ne porte aucun progrès, est historiquement contemporain de l’explosion de la pédophilie parmi le clergé. C’est un signe.

13.2.14

Le Père Fropo fait le point sur la situation de la France

(via le Salon beige et l'Observatoire de la "christianophobie")

La christianophobie est une notion qui bafoue les droits universels de l'homme... mais bon...

"Homme trop lâche pour s'engager avec une femme..." etc. Ce sont des paroles particulièrement importantes car prononcées par un homme qui sait ce que diffamation, médisance veulent dire, qui ne parle pas en public à la légère...

« Ils ont semé le vent, ils moissonneront la tempête » (Osée 8,7)

Sur les bombardements de Dresde de février 1945:

J’ai eu le récit indirect d’une déportée communiste française présente à Dresde lors du bombardement. La plus jeune de l’abri anti-aérien, on lui proposa de se mettre la figure dans la cuvette des w-c pour échapper aux gaz mortels qui se répandaient du fait des bombes. Elle eut de ce fait la vie sauve alors que ses compagnes et compagnons moururent. Communiste elle avait été, communiste elle était, communiste elle resta.

Je donne ce récit comme on me l’a donné ne pouvant en garantir l’authenticité, mais il paraît vraisemblable.

La question se pose dès lors du nombre de juifs morts dans les bombardements et notamment celui de Dresde…

Cela dit, ne pas oublier que les Allemands ont mitraillé les routes de l’Exode en 1940. Ils mitraillaient les femmes, les enfants, les éclopés… Le film Jeux interdits rappelle cette épisode. Ils ont aussi bombardé Londres tant qu’ils le purent… Ils ont ensuite asservi la France la découpant en 5 zones en déportant des centaines de milliers de Français, en retenant en Allemagne 2 000 000 de prisonniers français (parmi lesquels des juifs) pendant quatre ans. Il perpétrèrent des massacres de civils français en France… etc. Cela aussi, c’était criminel. Qui sème le vent, récolte la tempête (Osée 8,7).

Ne pas oublier non plus qu'en décrétant la « guerre totale » en février 1943, les nationaux-socialistes ont commis un crime contre leur propre peuple et contre l'Europe. Du fait de cette résolution, ils poursuivirent une lutte sans espoir mais horrible et très coûteuse sur tous les plans.

Il n’y a pas un camp du bien, et un camp du mal (par exemple le fils de Kérillis fut assassiné par la Milice http://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_de_K%C3%A9rillis#cite_ref-2), il y a eu la Guerre des trois fous (selon le titre d’un ouvrage de Bernard Faye). Faye désignait comme fous Hitler, Rossevelt et Staline… Mais il n’y avait pas que ces trois là de déraisonnables, hélas… Je trouve malsain de désigner des gens comme « fous »… Jésus demande de s’abstenir de ce genre d’invectives (Mt 5,22).

Contrairement à ce que semble soutenir monsieur Reynouard, il n'y a pas d'un côté les bons, de l'autre, les méchants. Monsieur Reynouard commet une faute symétrique de celle des actuels gouvernants français (magistrats et détenteur du pouvoir exécutif). Il y eut des méchants des deux côtés et quelques bons qui n'étaient pas au pouvoir...

Lorsque Benoît XVI critiquait Jean-Paul II

Lu sur Nouvelles de France:

« Dans Lumière du Monde, publié en 2010, Benoît XVI déclarait : « Quand un pape en vient à reconnaître en toute clarté que physiquement, psychiquement et spirituellement, il ne peut plus assumer la charge de son ministère, alors il a le droit et, selon les circonstances, le devoir de se retirer ».

Cette constatation ne peut être qu'une critique implicite de Jean-Paul II.

Qui ne se souvient en effet de Jean-Paul II, qui fut miné à partir d'environ 10 ans avant sa mort (2 avril 2005, premier samedi du mois) par la maladie de Parkinson. Bien que miné progressivement et terriblement par cette maladie il n'abdiqua pas ?

Il est manifeste que pendant ces années où le cardinal Ratzinger, futur Benoît XVI était le proche collaborateur du pape polonais, le futur Benoît XVI se posait la question théorique de l'obligation pour le Pape de démissionner si son état de santé ne lui permettait plus de régner utilement. Le cardinal, in petto, y répondait en désapprouvant l'attitude de Jean-Paul II.

Pourtant Benoît XVI béatifia Jean-Paul II. Benoît XVI a donc jugé que Jean-Paul II avait pu, en conscience, prendre une décision contraire à son devoir théorique.

Leçon à tirer de ces épisodes : Ne jugeons personne sévèrement, même lorsque nous désapprouvons certaines décisions...

12.2.14

Condamnation judiciaire violant les droits de l'homme (affaire Dieudonné)

Rappelant le "contexte plus général des déclarations" de Dieudonné, "dont certaines lui ont valu des condamnations pour injure, diffamation et provocation à la haine antisémite", le juge

La justice française a rendu une ordonnance contre Dieudonné M'bala M'bala au sujet de sa vidéo 2014 sera l'année de la quenelle. Voici ce que l'on peut lire sur le site de l'Express à ce propos:


« Marc Bailly [le magistrat qui a rendu l'ordonnance] a estimé qu'il "ressort bien de cette formulation (...) une contestation" de crime contre l'Humanité. Dans son ordonnance, le magistrat considère que "l'humour invoqué" par la défense de Dieudonné "n'apparaît que comme le moyen de véhiculer publiquement des convictions en "testant les limites de la liberté d'expression" - en l'espèce dépassées - et non comme le ressort d'un sketch comique et provocateur dont les excès pourraient être admis". »

On déduit un délit d'une simple proposition de rendez-vous. Le magistrat déduit des condamnations passées du Pr. Faurisson l'interdiction de proposer de discuter avec lui.

La "justice" française va très loin dans le mépris de l'ordre public, de la présomption d'innocence et de l'égalité des êtres humains. Cela confirme que nous ne sommes pas dans un État de droit.

La loi Gayssot est d'ailleurs contraire à la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen:

« [ La loi ] doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. »

Il ne peut donc y avoir de présomption de culpabilité encore moins de déclaration irréformable de culpabilité pour une catégorie d'humains. La loi est la même pour tous, sinon, ce n'est plus une loi.

Notre frère le soleil vu de plus près comme jamais nos ancêtres ne l'on vu



(Via le journal Le Monde, le soleil vu depuis un satellite d'observation de la NASA)

« Laudato sie, mi’ Signore, cum tucte le tue creature, spetialmente messor lo frate sole, lo qual è iorno, et allumini noi per lui. Et ellu è bellu e radiante cum grande splendore, de te, Altissimo, porta significatione. »

Saint François d'Assise.

Traduction française:

« Loué sois-tu, mon Seigneur, avec toutes tes créatures,
spécialement, monsieur frère Soleil,
lequel est le jour, et par lui tu nous illumines.
et il est beau et rayonnant avec grande splendeur,
de toi, Très-Haut, il porte la signification. »

11.2.14

400 prêtres...



On peut signer une pétition contre l'agression (à ma connaissance sans précédent) par un organisme de l'ONU (Comité des Nations unies des droits de l'enfant) contre l'Église catholique.

On apprend dans le texte de la pétition que Benoît XVI a obligé 400 prêtres à démissionner.

« En ce qui concerne la réponse de l'Eglise aux abus sexuels, le rapport a omis de mentionner que le pape Benoît XVI avait fait démissionner plus de 400 prêtres. »

Certes, c'est très bien, mais cela prouve que 400 personnes s'étaient introduits dans le clergé sans vocation et avaient pu arriver jusqu'à la prêtrise où ils avaient perverti de nombreux jeunes... et qu'il a fallu attendre Benoît XVI pour que le clergé soit un peu purifié...

J'y vois une corrélation avec l'affreux rite de Paul VI, si peu respectueux de l'eucharistie et imposé au clergé et aux fidèles en violation de la liberté religieuse conférée par Dieu à tout être humain.

À propos: quel progrès représente la communion en rang d'ognon et dans la main ? Commencer donc par respecter la liberté religieuse et la liberté de la culture dans l'Église en arrêtant d'agresser les fidèles.

Le mensonge généralisé conduit au mépris des institutions


Invoquer les droits de l'homme pour les bafouer, ressasser la culpabilisation à propos de faits inventés conduit à ce constat :


« institutions dévalorisées, personnel politique méprisé, sentiment d’échec absolu partagé, pessimismes ravageurs, déclinisme triomphant, amertume noire vis-à-vis de la société, demande pressante d’autorité, nostalgie du chef charismatique. »

(Alain Duhamel, selon le blog Salon beige)

Ne prenons pas cette description au pied de la lettre. Elle comporte elle aussi bien des mensonges et des diffamations anti-françaises dont le prétendu "déclinisme", ainsi que la nostalgie du chef charismatique... alors que la France, inspirée par la doctrine de l'Église, recèle des trésors de jeunesse face à un monde qui radote ("chambres à gaz", "chambres à gaz", "chambres à gaz").

Mais en ce qu'elle recèle de vrai, elle décrit le mépris, le juste mépris, du peuple pour les soi-disant "élites" vectrices des diffamations institutionnalisées.

Ils croyaient que le peuple obéirait à la schlague vaincu par la culpabilité et le respect des "chefs", ils voient avec stupeur que le peuple les voit nus et les méprise.

7.2.14

À Oradour, il fallait obtempérer… sinon c'était la mort

Lu à la rubrique Oradour sur Glane de wikipedia:
 « Les Allemands vont aussi chercher des habitants des hameaux voisins. Les cultivateurs doivent abandonner leurs travaux en cours. Plusieurs personnes qui n'obéissent pas aux ordres sont abattues. »

Pourquoi donc les juifs ne se sont-ils pas portés aux secours des Français menacés de mort ?

Cette question est aussi intelligente que les discours du traitre Chirac (et de moult individus du même genre) accusant les Français de la Shoah.

Purifier les documents institutionnels d'après guerre de la haine (2)

Un autre élément impliqué par les déclarations de 1943 (Moscou), 1945 (Londres), 1946 (Préambule), 1948 (Déclaration universelle préambule) est la sacralisation du droit pénal, d'où l'imprescriptibilité des crimes, le radotage et la haine perpétuelle.

Or le droit pénal ne peut être qu'un droit d'exception: il n'est pas naturel qu'un homme inflige une peine à un autre homme. On ne doit infliger des peines qu'avec crainte et tremblement. Il vaut mieux laisser libre un coupable que condamner un innocent. D'où: les décisions fondées sur le droit pénal doivent s'effacer avec le temps, car si la peine est une anomalie nécessaire, dès que la nécessité a disparu, elle doit disparaître et avec elle tout l'appareil répressif.

Jésus a prêché que la répression n'est pas d'une absolue nécessité:
Jn 8,1. Or Jésus se rendit sur la montagne des Oliviers.
Jn 8,2. Et, de grand matin, Il vint de nouveau dans le temple, et tout le peuple vint à Lui; et S'étant assis, Il les enseignait.
Jn 8,3. Alors les scribes et les pharisiens Lui amenèrent une femme surprise en adultère; et ils la placèrent au milieu de la foule.
Jn 8,4. Et ils dirent à Jésus:  Maître, cette femme vient d'être surprise en adultère.
Jn 8,5. Or Moïse, dans la loi, nous a ordonné de lapider ces femmes-là.  Vous donc, que dites-Vous?
Jn 8,6. Ils disaient cela pour Le tenter, afin de pouvoir L'accuser.  Mais Jésus, Se baissant, écrivait avec Son doigt sur la terre.
Jn 8,7. Et comme ils persistaient à L'interroger, Il Se releva, et leur dit: Que celui d'entre vous qui est sans péché lui jette la pierre le premier.
Jn 8,8. Puis, Se baissant de nouveau, Il écrivait sur la terre.
Jn 8,9. Mais, ayant entendu cela, ils se retirèrent l'un après l'autre, en commençant par les plus âgés; et Jésus demeura seul avec cette femme, qui était debout au milieu.
Jn 8,10. Alors Jésus, Se relevant, lui dit:  Femme, où sont ceux qui t'accusaient?  Personne ne t'a-t-il condamnée?
Jn 8,11. Elle dit:  Personne, Seigneur.  Jésus lui dit:  Moi non plus, Je ne te condamnerai pas; va, et désormais ne pèche plus.

Les gens qui cherchent "coincer" Jésus lui amènent la femme adultère. Moïse a ordonné d'infliger la peine de mort à l'adultère. Les Romains interdisent aux Juifs d'appliquer la peine de mort qu'ils se sont réservée. Donc, si Jésus dit: appliquez la peine de mort, il aura des ennuis avec les Romains. S'il dit: n'appliquez pas la peine ; on le dénoncera comme impie méprisant la loi de Moïse. « Face, je gagne, pile tu perds... »

Jésus, en réponse, leur donne une leçon de droits de l'homme, et plus spécialement, de droit pénal. Moïse, le grand Moïse, avait promulgué une loi pénale. Jésus, qui aime et admire Moïse, fait observer que l'application de la peine n'est jamais obligatoire, elle ne doit s'appliquer que lorsqu'elle est nécessaire.

Le droit naturel éclaire les lois positives.

Les évêques violent la liberté religieuse dans l'Église, pires que les femens


Dans ce post un intervenant du "Forum catholique" recense l'enseignement des rédacteurs de la "nouvelle traduction liturgique de la Bible". Les passages mis entre guillemets semblent extraits de ce livre intitulé "La Bible, traduction officielle (sic) liturgique" dont on peut consulter des extraits sur googlebooks.

Selon ce livre le Pentateuque n'est pas de Moïse. Tout le Pentateuque est une invention de faussaires juifs du temps de l'exil à Babylone. Les évêques sont donc des rationalistes extrémistes, car même le Larousse (pourtant réputé rationaliste) est plus modéré qu'eux.

Il est évident pour un croyant que les élucubrations des traducteurs actuels n'ont aucune valeur, car fondées sur des déductions très hasardeuses contre des traditions certaines attestées par les catholiques, les orthodoxes et, semble-t-il, les juifs.

Mais enseigner ces absurdités comme des vérités certaines à un peuple hébété par l'obéissance (entendue comme obéissance servile) viole la liberté religieuse, surtout lorsqu'elle ne sont pas contrebalancées par des mises en garde et des relativisations, mais présentées comme des vérités certaines et absolues.

Avec l'imposition de l'affreux rite de Paul VI au sujet de la liturgie, l'imposition des vérités rationalistes par l'épiscopat au sujet de la Bible, violent la liberté religieuse du peuple chrétien. En lui cachant que ses ancêtres étaient fondés à croire que Moïse est l'auteur (principal, même s'il était aidé dans sa tâche par des secrétaires) du Pentateuque, l'épiscopat se pare de fausses qualités pour violer les droits naturels des croyants. Il n'hésite pas à contredire Jésus-Christ lui-même. Jésus aurait été, si on comprend bien, un benêt juif (par exemple: Mt 17,3, 19,7, 19,8).

D'ailleurs si le Pentateuque est l'œuvre d'habiles faussaires (idée qui flatte les antisémites du XXIe siècle... les juifs... des imbéciles menés par des faussaires), qui auraient écrit un récit dix siècles après les faits, le récit n'a plus aucune valeur, pas plus que toute la Bible en général d'ailleurs.

L'apparition des Femens est d'une terrible logique. Les évêques violent les droits des croyants. Elles sont bien moins coupables que notre épiscopat, voire que le Pape qui ne les désapprouve pas.

Liberté religieuse, liberté culturelle ! C'est Dieu qui nous a conféré les droits de l'homme, pas les évêques, pas même le Pape, ils n'ont aucun droit à abuser de leurs vocations pour bafouer les droits des fidèles.

Grave insécurité en prison

http://www.leparisien.fr/faits-divers/eysses-violence-en-prison-un-detenu-entre-la-vie-et-la-mort-07-02-2014-3568883.php

Mercredi 5 février, les gardiens ont retrouvé un détenu entre la vie et la mort dans un atelier. Probablement, d'autres détenus l'avaient passé à tabac.

Il faut rappeler à la magistrature française qu'elle ne peut envoyer les gens en prison que si elle est sûre de la sécurité de ceux qu'elle y envoie. Je ne mésestime pas l'immense difficulté de la tâche des magistrats. Ils doivent concilier plusieurs devoirs ; mais il vaut mieux libérer les gens que de leur faire courir un risque du fait des décisions de la "justice". J'ai posté plusieurs fois sur ce thème.

Les droits de l'homme au service de l'idéologie



Dans cette vidéo, conformément au programme Rose-Croix, Moïse et ses dix commandements confirmés par Jésus-Christ, et les luttes des papes à leur suite, sont passés sous silence. Or c'est bien la confirmation de la loi naturelle inscrite par Dieu Lui-même, dans tous les cœurs et confirmée par Moïse qui est le fondement des droits universels de l'homme.

Un des premiers droits de l'homme est le droit à la vérité.

Admirons les Pharisiens

Dans un précédent post j'ai transcrit l'épisode de la femme adultère. Cet épisode sert souvent à se moquer des Pharisiens. On connait la rengaine sur les méchants Pharisiens orgueilleux et hypocrites.

Mais lisons bien l'épisode. Alors qu'ils sont venus (malins comme des singes) pour coincer Jésus en instrumentalisant une situation lamentable, Jésus les humilie et leur fait comprendre que pour prétendre appliquer une loi pénale implacablement, il faudrait être sans péché. Alors que, Lui seul, qui est véritablement sans péché, Il ne lance pas la première pierre.

Voici la réaction des Pharisiens:

« Jn 8,7. Et comme ils persistaient à L'interroger, [Jésus] Se releva, et leur dit: Que celui d'entre vous qui est sans péché lui jette la pierre le premier.
Jn 8,8. Puis, Se baissant de nouveau, Il écrivait sur la terre.
Jn 8,9. Mais, ayant entendu cela, ils se retirèrent l'un après l'autre, en commençant par les plus âgés; »

Ils sont admirables ces Pharisiens. Humiliés par Jésus, ils sont suffisamment intelligents et cultivés pour s'apercevoir qu'insister encore ne ferait que les condamner eux-mêmes. Donc ils acceptent l'humiliation et en tirent les conséquences... en silence. J'aimerais bien être aussi humble et intelligent qu'eux.

Les "femens" contre les droits de l'homme

Les femens utilisent les lieux sacrés, les personnes sacrées, les symboles sacrés pour leur propagande contre ceux qui croient à la sacralité de ces lieux et de ces personnes.

Mais ces lieux ne sont sacrés, ces personnes ne sont particulièrement sacrées, ces symboles ne sont sacrés qu'en raison de la croyance de certains.

Ceux qui utilisent ces symboles qui n'acquièrent valeur sacrée que par la croyance de certains, utilisent donc les croyances de leurs semblables qui croient en vue de les humilier.

Les femens discriminent donc les hommes selon le critère de leurs croyances. Elles bafouent la liberté religieuse, droit pivot de tous les droits de l'homme.

Elles la bafouent avec l'aide du gouvernement et de la magistrature qui trahissent leur charge qui consiste en poursuivre le bien commun impartialement.

Corruption de la magistrature

(Via Nouvelles de France)

La corruption commencerait à reculer si la franc-maçonnerie était interdite. Ma famille, très pénétrée par la franc-maçonnerie, est, elle aussi, victime de la corruption des magistrats français.

6.2.14

Trouver les observations conclusives sur la pédophilie et le Saint-Siège (2013-2014)

On peut trouver sous ce lien les observations conclusives du Comité pour les droits de enfants (en anglais) sur le rapports du Saint Siège :

http://tbinternet.ohchr.org/Treaties/CRC/Shared%20Documents/VAT/CRC_C_VAT_CO_2_16302_E.pdf

(Il s'agit donc des conclusions commentant un rapport du Saint-Siège)

Les conclusions tancent le Saint-Siège avec arrogance. D'autre part, les auteurs du rapport de l'ONU semblent considérer comme acquises des conclusions justement discutées.

Il est cependant certain que depuis que Françoise Dolto (article par ailleurs contestable, par exemple sur la notion de "majorité sexuelle"), accompagnée de quelques complices, a pu tenir une conférence à Rome, sans aucune observation du Pape (Paul VI) ni des évêques français de l'époque, alors qu'elle militait pour la dépénalisation de la pédophilie, la pédophilie a pu s'introduire plus facilement dans le clergé. Mais de cela l'Église n'est pas responsable.

La liberté d'Alain Soral



Même le chat est parti...

Monsieur Soral, comme beaucoup d'enfants maltraités, a quelque chose à prouver. Il a à prouver que ce que disait les parents ("tu es un incapable", "tu es méchant") n'est pas vrai.

Famille éclatée, absence de famille, probablement une des sources de la dissidence d'Alain Soral. Quand on a pas de famille, on n'est pas obligé par elle. On devient libre de dire ce que l'on pense.

Depuis cette émission les rapports entre le frère aîné et la sœur se sont distendus, jusqu'à disparaître. C'est le lot des enfants maltraités que de se maltraiter mutuellement. La racaille judiciaire et fiscale française n'a toujours pas compris cela.

Purifier les Déclarations des droits de l'homme


La dignité de l'homme réside en la pensée. Il est de ce fait une image de Dieu. Sa destinée transcende ce monde visible et passager. Les droits de l'homme sont conférés directement par Dieu, ils sont conférés à égalité à tout être humain quel qu'il soit.

La loi qui proclame cette vérité ne peut en même temps priver une partie de l'humanité de la présomption d'innocence en proclamant la culpabilité cette partie de l'humanité.

Une preuve manifeste de l'incohérence de ces textes (1943, 1945, 1946, 1948) est qu'ils innocentent les staliniens... qui ne reconnaissent aucun droit à l'homme.

Ce n'est donc pas en niant les droits de l'homme, sous prétexte qu'ils sont confisqués par un parti, mais en purifiant la doctrine juste et bonne des droits de l'homme (qui présuppose évidemment des devoirs: il y a des créanciers, il y a donc des débiteurs) que l'on œuvre pour le bien commun. Car un texte général ne peut fragmenter l'humanité ni présenter certains partis comme innocents, "légalement" innocents et d'autres partis comme coupables "légalement" coupables. La loi ne distingue pas et ne peut distinguer entre les partis:

« [La loi] doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les Citoyens [sont] égaux à ses yeux (…) » Déclaration de 1789.

Aucune loi ne peut donc condamner un parti ou un camp, seuls des jugements individuels rendus après des procès équitables (donc devant des juges impartiaux), faisant abstraction des engagements partisans, religieux (etc.), peuvent condamner pénalement des personnes physiques (et jamais des personnes morales, ce qui bafouerait les droits de l'homme). 


5.2.14

Nous avons gagné donc... les autres ferment leurs bouches



C'est donc bien ce que dit mon blog (et lui seul), depuis 1946 (Préambule en particulier) la devise "liberté, égalité, fraternité" est détournée et confisquée au profit d'un parti.


« Article 30 [de la Déclaration universelle des droits de l'homme]
Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un groupement ou un individu un droit quelconque de se livrer à une activité ou d'accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés qui y sont énoncés. »

Tout n'est pas permis et tous les droits de l'homme sont insérés, non pas dans une nasse partisane arbitraire, mais dans la raison universelle de l'homme sur laquelle les droits universels de l'homme sont fondés. Le droit à l'expression est universel, en revanche dire "nous avons gagné [la guerre], donc fermez votre bouche" bafoue la raison.

5 février journée nationale de prévention du suicide




Puis dans l'État, respectons la devise française: Liberté, égalité, fraternité.

Commençons donc par exiger la suppression des comités "maîtres-penseurs" pour redonner confiance en eux, en leurs jugements aux êtres humains.

J'ai connu un ancien avocat qui s'est suicidé à la suite d'une décision de la Cour d'appel d'Aix-en-Provence. Telle que je connais la magistrature, je ne sais si cette décision n'avait pas été "téléphonée"... pour être tout à fait sincère, j'ai un doute...

La décision défavorable ne fut sans doute que la "goutte d'eau qui fit déborder le vase."

Je me souviens que quelques mois avant son suicide à la soirée des avocats, il avait tenté de me parler et m'avait dit des paroles aimables en me parlant sur ma situation familiale, comme on ne me parlait jamais (il parlait franchement). Étant lefebvriste à l'époque, j'avais coupé court, car je pensais que je ne pouvais communiquer (le lefebvrisme fragmente l'humanité, comme l'islam) ; de plus, pour moi, il était bien plus heureux que moi. Il parait qu'un professeur de philosophie de lycée Thiers de Marseille enseignait à ses élèves lors du dernier cour de l'année « Souvenez-vous que les gens vous paraîtront toujours plus heureux qu'ils ne le sont en réalité. »  Quand j'ai appris son suicide, j'ai regretté (et je regrette encore) de ne pas lui avoir parlé... Mais un ancien avocat, haut fonctionnaire territorial... comment deviner qu'il songeait au suicide ?

Soyons donc très délicats envers tous, usons de fraternité universelle.

Rappelons-nous que nous avons été appelés à la vie sans notre consentement, que nous ne devons la quitter qu'à l'appel de Celui qui nous a appelé, quelque pénible qu'elle soit.

2.2.14

Le gouvernement au service d'un parti


Madame Delaunay est ministre "déléguée aux personnes âgées" du gouvernement Eyrault.



Monsieur Valls proclame de son côté:

« Face à ce phénomène, la droite républicaine a donc une responsabilité : se démarquer clairement des mouvements qui n'acceptent pas la démocratie et les choix du Parlement", insiste le ministre de l'Intérieur. »

Il veut interdire la liberté d'expression sous couvert de "République" et de respect de "la démocratie".

Cette référence "républicaine" s'en réfère elle-même implicitement au Préambule de la Constitution de 1946. Ce Préambule, qui n'est pas et ne peut pas être une loi (une loi ne décide pas du particulier), désigne une partie de l'humanité comme mauvaise, nécessairement mauvaise, et une autre comme bonne, nécessairement bonne.

Contre cela, j'invoque les droits universels de l'homme.

La mission du gouvernement n'est pas d'appliquer le programme d'un parti en tentant de bafouer les droits universels de l'homme en ses adversaires, mais d'abord de rechercher le bien commun à tous.

1.2.14

Le Ministre de l'Intérieur contre la fraternité universelle

Le 30 janvier, dans les locaux du ministère, le ministre de l'Intérieur, qui est le ministre des cultes, est venu présenter ses vœux aux francs-maçons.

Le ministre des cultes d'une part interdit à la raison universelle de l'homme et à la culture nationale de juger des croyances et des religions, mais va présenter ses vœux à la franc-maçonnerie pour laquelle il n'a qu'éloges. Il solidarise d'autre part l'idéologie maçonnique avec la République française (ce qui est un mensonge, car la devise de la République contredit le relativisme maçonnique).



L'article rappelle, comme incidemment, que le Grand orient de France prêcherait l'incompatibilité de l'appartenance à la franc-maçonnerie en même temps qu'à l'extrême-droite ; alors qu'il est notoire que de nombreux francs-maçons peuplent l'extrême-droite (comme des francs-maçons peuplaient l'entourage de Hitler). Dissimulations permanentes pour ses adeptes (devant les "profanes", ils font souvent semblant de ne pas se connaître, alors qu'ils se connaissent très bien), embrouilles diverses, mensonges à tiroirs sont consubstantiels à la franc-maçonnerie.

De ce seul fait, l'existence de la franc-maçonnerie est contraire à la fraternité universelle et devrait être universellement interdite.