30.1.15

Le crime comme moyen du pouvoir politique

Vincent Nouzille publie un livre intitulé Les Tueurs de la République. Si j'en avais les moyens sans doute l'achèterais-je pour le feuilleter. Il y dévoile, selon la présentation de ce livre, que l'Élysée entretien un cellule de tueurs aux ordres du Chef de l'État.

Il serait secondé dans cette « tâche » par le son chef d'état major particulier.

La peine de mort est donc abolie, sauf « légalement » pour les bébés dans le ventre de leurs mères (mise à mort encouragée par l'État et financée par le Trésor public), sauf également pour ceux que le chef de l'État a dans le nez, ceux qu'il décide de faire tuer par une décision arbitraire et secrète.

L'auteur prétend que les tueurs des Présidents n'opèrent que sur des étrangers hostiles à la France (de Kérillis était plus circonspect). On est libre d'y croire. On peut aussi penser que les cibles peuvent être choisies sur d'autres critères. Dans le secret et l'arbitraire, tout est possible.

La morale de cette affaire, c'est qu'il se confirme que nous ne sommes pas dans un État de droit. Les Présidents de la République sont donc des criminels impunis et non poursuivis. Pendant ce temps-là, la magistrature continue de pontifier et de nous fourguer sa marchandise avariée qui justifie le vol (j'ai en tête un post sur cette question), l'assassinat (des enfants dans le ventre de leurs mères, des malades incurables etc.), le pillage du Trésor public en faveur de la sodomie etc.

« Enlevez la justice, les États deviennent des bandes de brigands », c'est ce qu'écrivait saint Augustin, si mes souvenirs sont bons. Or comment les relativistes qui ne croient en rien et encore moins en la justice et la vérité, pourraient-ils ne pas être des brigands ?

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