29.1.15

Michel Cymès fragmente l'humanité

Michel Cymès prétend que l'Université de Strasbourg garderait "dans ses murs" certains restes de cadavres de juifs, tués, selon lui, par les "médecins nazis". Il ne s'interroge pas pour savoir si d'autres cadavres par hypothèse de non-juifs ou de juifs ayant donné leurs corps à la science sont gardés, non. En effet, le corps enseignant médical utilise le corps de ceux qui donnent leur corps à la science.

Il sous-entend que les Français non-juifs sont antisémites et se délectent de garder des morceaux de cadavres juifs "tués par les "nazis".

Procédé habituel : culpabiliser les Français, les présenter comme des monstres sadiques. C'est alors une discrimination positive qui, utilisant le levier de l'émotion, a pour effet d'inciter à l'indignation et à la violence contre la civilisation française. Plus de 70 ans après les faits cela fait revivre la Shoah...

Psycho-sociologiquement, la culpabilisation entraîne la dépression nerveuse, don l'inaction. De plus ceux qui sont occupés à se disculper gaspillent leur temps pour démentir les accusations au lieu de l'utiliser à des choses plus utiles.

Du point de vue du droit, ce qui est présenté comme lutte contre la discrimination est en réalité une discrimination dans la jouissance des droits universels de l'homme dont le droit à la réputation nationale.

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