31.3.15

Mon embrouille en deux minutes




Décryptage: on commence par la propagande pour le "don" d'organe. Ces opérations très lucratives pour le corps médical "sauveraient des vies".

Mais, mais... Le nombre de malades en attente de "dons" d'organes (donc de morts des "donneurs") "ne cesse d'augmenter". On ne saura rien concrètement de ces chiffres qui "ne cessent d'augmenter".

Le "doctorant" nous explique que devant les chiffres en constante augmentation (formule incantatoire) de demandeurs en attente de mort de leur prochain, l'"agence de la biomédecine" (qui sert de conscience rémunérée à l'État, alors que seule l'Église peut être la conscience de l'État, voir mes posts sur ces "consciences" rémunérées et inégalitaires de la République) a décidé que les "médecins" réanimateurs pourront provoquer la mort de patients en laissant le cœur s'arrêter pour "prélever" des organes vitaux.

On se demande comment on peut ainsi augmenter le nombre de "donneurs" sans assassiner les "donneurs". Mais depuis que l'on peut ne pas faire repartir un cœur, on en assassine plus qu'avant. On est passé d'un chiffre inconnu à 6 %. Ce n'est pas suffisant, il faut tous les massacrer (car 40 %, cela veut dire tous). Comme en Angleterre. Ah ! Les Anglo-Saxons, nos guides, nos lumières !

Il faut donc imiter les Anglais et passer à quelque chose de plus hard.

Car la loi Léonetti interdirait de provoquer directement la mort. En réalité, elle "autorise" à provoquer la mort (par privation de nourriture et de boisson). Donc la mort par abstention oui, mais pas par action.

Mais alors, comme le "prélèvement" provoque la mort puisqu'on ne peut pas dépecer un cadavre empoisonné, finalement on provoquera la mort encore plus souvent tout simplement en dépeçant le vivant (allez vivre sans cœur !)... Cela se pratique, mais cela se pratiquera plus ouvertement.

En conclusion le "doctorant" dit benoîtement que les "garde-fous" ne sont inscrits dans la "loi" qu'à des fins psycho-sociologiques. Pour faire en sorte que les gens ne s'interrogent pas sur le sort de leur fils, de leur fille ou de leur conjoint s'il venait, jeune, à être victimes d'un grave accident. Ce corps meurtri, mais vivant, car il faut qu'il soit vivant pour le prélèvement entraînant la mort, aiguise la cupidité du corps « médical ».

Le mot "dignité", incompréhensible dans le contexte, n'est qu'un de ces mots sans portée, utilisé dans le seul but de rassurer psychologiquement les familles... Sa "dignité" (lien vers un de mes posts sur la dignité de l'homme) a été préservée... Mensonge, embrouille !

Cette vidéo obscure à souhait prend probablement place dans une campagne préalable à un changement des "lois" de "biomédecine". Elle a pour but l'extension des cas d'assassinats à but lucratif payés par l'« assurance maladie » et pudiquement dissimulés sous le terme de "dons d'organes".

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