26.6.15

L'ordre public de Nürnberg s'oppose à la proposition de Jean-Frédéric Poisson

Exposé des motifs d'une proposition de loi constitutionnelle de Jean-Frédéric Poisson:

« Pour toutes ces raisons, les signataires de cette proposition de loi constitutionnelle invitent à modifier la Constitution en son article 55 afin de lui donner une valeur supérieure aux engagements internationaux de la France, y compris en matière des droits de l’homme et d’imposer à tous les juges, constitutionnel, administratifs et judiciaires le respect de cette primauté de la Constitution." »
Ne soyons pas des pigeons

Si cette disposition était adoptée, cela signifierait la fin de l'ordre public de Nürnberg c'est-à-dire que l'ordre public ne comprendrait plus l'accord de Londres du 8 août 1945. Cela entraînerait un bouleversement du désordre et de l'incohérence introduite par cet accord dans l'ordre public.

Il est donc inefficace de proposer cette réforme sans avoir au préalable saisi que nous sommes gouvernés par un ordre caché et public. Voir mon post à ce propos ainsi que mes divers posts sur l'ordre public de Nürnberg et l'ordre nouveau subrepticement installé depuis 1945, voire avant (Déclaration du Palais Saint James du 13 janvier 1942). C'est pourquoi, en l'état, la proposition de monsieur Poisson n'a aucune chance d'être discutée sérieusement et encore moins adoptée.

25.6.15

Taisez-vous, méfiez-vous les murs ont des oreilles !

Mon titre retranscrit un slogan qui figurait sur une affiche française du temps de la première guerre mondiale. Il semble que l'auteur en est Alexandre Millerand (lors ministre de la guerre). Alexandre Millerand, socialiste, fut Président de la République (1920-1924). L'image représentait des personnes discutant entre elles au café au-dessus desquelles une oreille gigantesque sortait du mur. Il invitait les familles des soldats et les soldats à ne pas parler de leurs mouvements, ni de l'organisation militaire.

Aujourd'hui ce n'est plus seulement au café que les murs ont des oreilles, c'est chez vous, dans votre voiture, au bureau...

La loi sur la surveillance généralisée dite loi sur le renseignement vient d'être "adoptée" par le Parlement-croupion. Cette loi, selon Le Figaro, n'est prise que pour légaliser des pratiques illégales :

« Le projet de loi, qui donne un cadre légal aux différentes pratiques des agences de renseignement, »
Cette "loi" n'est pas intégralement définitive puisque des recours devant le Conseil constitutionnel sont prévus.


Cloître des Jacobins (dominicains) Toulouse


Les écoutes téléphoniques, les ouvertures de lettres furent pratiquées au XIXème siècle et au XXème siècle, y compris par le pouvoir gaulliste. L'article 8 de la Convention de sauvegarde des droits fondamentaux de l'homme protège, du moins en théorie, la vie privée. En pratique les violations du secret des correspondances par l'État n'ont jamais cessé depuis l'entrée en vigueur de cette Convention.

Avec Internet et avec le téléphone portable (encore plus personnel que le téléphone filaire qui peut être familial, le portable vous traque dans vos déplacements, comme le GPS suit votre voiture) la surveillance de masse est encore approfondie et étendue.

Voûtes d'une salle donnant sur le cloître des Jacobins (Toulouse)


Dans cette interview, Fabrice Epelboin affirme que les technologies que nous employons sont presque toutes d'origine américaine et conçues pour faciliter la surveillance par les Américains. Il affirme d'autre part que des accords existent (dont un important datant de 2010) sur les échanges de données entre Américains et Français. Où naturellement par rapport au super-géant américain, les Français ne peuvent être que des vassaux obéissants.

Cloître des Jacobins, Toulouse, vu, selon mon souvenir, du réfectoire (que les révolutionnaires avaient transformé en infirmerie pour les chevaux militaires)


Alcatel assurait une certaine importance et indépendance de la France dans les technologies de communications. Malheureusement Lucent, un géant américain, à "fusionné" avec Alcatel. Nous n'avons donc plus d'entreprise française indépendante dans le domaine des télécommunications depuis 2006 (présidence du gaulliste Chirac).

Méditons cela dans la perspective de la guerre que nous livrent les USA et de l'ordre public de la charte des Nations unies pour lesquelles, l'état de guerre perdure depuis 1941 contre les nations insoumises à l'ordre yankee relativiste et cryto-marxiste. La vérité des droits de l'homme sert de prétexte aux intérêts impérialistes négateurs de tout ordre permanent (donc des droits de l'homme).

Voir mes posts sur la charte des Nations unies.

EN MARGE:

En marge de cette interview dont la transcription laisse à désirer, on peut lire: "En entrant de plein pied dans la société de surveillance...". Il serait difficile d'entrer de vide pied. Le transcripteur a voulu écrire "de plain-pied".

Le Figaro bénéficie d'un budget de millions ou dizaines de millions d'euros (à mon niveau cela n'a aucun sens millions, dizaines ou centaines de millions). Moi qui ai un budget égal à zéro pour ce blog et un patrimoine négatif, ayant été spolié par la magistrature française, je me permets de faire cette correction... d'un texte écrit par infiniment plus riches que moi.

23.6.15

Monsieur Soral raconte son audience


Les gens pressés peuvent passer les premières 13'.

Ce n'est pas le grand-père de monsieur Aziza, mais l'arrière-grand-père du témoin non assermenté qui serait mort à Auschwitz.

Ce que dit ensuite monsieur Soral est fort intéressant. Notamment dans le fait que la magistrate fait semblant de ne pas maitriser la logique. Un grand truc des magistrats est de jouer les idiots. Beuzit par exemple fit semblant de ne pas comprendre les termes clairs de l'article 600 du code civil.

Jésus condamné à mort et exécuté. Mort par justice il est descendu de la croix.


Jouer l'idiot est un des procédés du harcèlement moral.

Il est ensuite très intéressant que le "président" ait intimé l'ordre à monsieur Soral de se taire. C'est un grand classique de la magistrature française. Beuzit, Tatoueix m'ont intimé l'ordre de me taire, une magistrate a tenté de m'interdire de me défendre et je n'ai dû de pouvoir parler qu'à... l'avocat adverse outré par l'attitude de la "présidente"... le Pr. Faurisson s'est vu interdire de parler, Vincent Reynouard... Quand on est malhonnête on ne supporte pas les discours honnêtes.

Dans un État de droit le jugement (surtout le jugement pénal) où l'on aurait interdit au prévenu de s'exprimer devrait conduire à la nullité de la décision. De toute façon même si cet arrêt n'est pas annulé, il est nul en vertu du droit naturel et de l'ordre public. Cette audience est la honte de ceux qui l'ont tenue et elle témoignera contre eux devant les hommes jusqu'à la fin du monde.

Madame Saal, de la haute administration

La presse se fait l'écho de détournements de fonds publics par une certaine Agnès Saal. Les services de répression des fraudes en auraient découvert pour 400 000 €.

Madame Saal est diplômée de l'École nationale d'administration. Elle est officier de la Légion d'honneur et officier dans l'Ordre national du mérite.

Madame Saal est issu de la promotion "Solidarité" de 1983. Ha ! Ha ! Ces anciens élèves de "grandes écoles" avec leur solidarité, de grands humoristes ! La solidarité, c'est de prendre dans la poche des pauvres pour nourrir le faste des anciens élèves de l'École nationale d'administration.

Elle est officier de la Légion d'honneur comme le nommé Beuzit magistrat à la cour d'appel de Rennes.

Je rappelle que des magistrats français ont condamné ma mère (95 ans à l'époque) à verser 500 000 € de réparations à une locataire qui avait pris à bail un bien pour 2 300 € par an, par an... J'ai bien dit par an (arrêt du 24 juin 2008 de la cour d'appel d'Aix-en-Provence, présidée par le célèbre Chalumeau). Ce n'est qu'un exemple. Comme on le dit plaisamment en regardant les promus dans l'Ordre de la Légion d'honneur : "Ils ont fait une descente de police ?"

21.6.15

Quand Ordre nouveau demandait l'application de la loi républicaine que les magistrats violent

21 juin 1973, meeting d'Ordre nouveau et manifestations illégales des trostskistes:



(Via Contre-info)

Ordre nouveau demandait l'application de la loi française...

Les trotskistes voulaient, eux, interdire l'expression légale non pas d'une opinion, mais d'une revendication pacifique et relative à l'ordre public.  Demander l'application de la loi est une obligation pour tout citoyen. Pourtant Ordre nouveau était bien seul...

Ordre nouveau, selon moi, était largement souhaité par le pouvoir de de Gaulle. On peut même penser que ce pouvoir gaulliste fut à l'origine de la création de ce mouvement qui, dans une logique machiavélique, faisait contre-poids aux groupes communistes et anarchistes de diverses obédiences.

Comme ancien militant de ce mouvement, les militants communistes déguisés en magistrats m'ont fait payer et me font payer encore mon engagement de jeunesse.

20.6.15

À quoi sert de regarder la télé ?



Ce "reportage" est intéressant en ce qu'il manifeste le caractère de pure propagande mensongère des émissions d'information de la télévision.

Vincent Reynouard par exemple explique qu'il ne paiera pas d'amende s'il est condamné pour « contestation de crimes contre l'humanité ». Il l'explique parce qu'il est poursuivi pour appel au public en vue de payer des amendes. Il entend prouver ainsi qu'il ne peut être coupable d'un délit dont le but lui est étranger. On lui fait dire qu'il ne paiera jamais aucune amende en général. On le fait passer pour un rebelle absolu.

Il semble avoir été poursuivi (du moins c'est ce que je crois deviner) pour avoir utilisé des photographies authentiques publiées sur Internet, mais de les avoir reprises dans un contexte illicite. Dès qu'il fut mis au courant, il semble avoir flouté les visages. Reynouard, c'est un individu sans fortune donc sans conseil juridique qui a rectifié dès qu'il fut mis au courant... Mais il me semble qu'il est surtout poursuivi pour deux vidéos sur la seconde guerre mondiale et pas pour avoir utilisé les photos des enfants publiées par ailleurs.

Naturellement seuls ses ennemis ont la parole. Etc. (1)

Celui qui aura regardé le "reportage" sera persuadé que Reynouard est un fou pervers dont les délires "insupportables" doivent le conduire en prison. Ce n'est pas très cohérent. S'il est malade, il faut le soigner et de ses délires, on se moque éperdument...

Si la cour (et non le tribunal) ne lui a pas infligé d'amende, c'est, vraisemblablement, parce que Reynouard est totalement insolvable.

Il n'est que de regarder les vidéos de Reynouard pour s'apercevoir qu'il n'est pas fou, qu'il n'est pas pervers et que ses vidéos sont d'une haute tenue intellectuelle et morale, découvrant des documents fondamentaux (comme par exemple la lettre de Rosevelt de 1939 aux gouvernements britannique et français). Même si je ne suis pas d'accord avec lui sur le fond (je ne suis ni nationaliste, ni socialiste, ni hitlérien et considère que les crimes hitlériens, qu'il est fautif d'imputer à tout hitlérien, furent la conséquence des idéologies modernes que les nationaux-socialistes partageaient avec Roosevelt, de Gaulle, Churchill et Staline).

Donc regarder la télé, c'est perdre son temps et polluer son esprit de nombreux mensonges et diffamations.

(1) Mise à jour du 21 juin : monsieur Reynouard me fait savoir qu'en réalité, la cour n'était pas saisie des faits de publication de photos de mineurs. Ces photos n'étaient que reprises d'un site où elles étaient publiées à l'origine. Il n'y avait donc aucune infraction. C'était trop évident. Les autorités de poursuite avaient abandonné la partie avant l'audience. Les affirmations fantaisistes de la télé ne sont donc là que pour mêler dans l'esprit du téléspectateur Reynouard avec mineurs et actes interdits...

19.6.15

Il nous a été ordonné de dominer les créatures

Genèse traduction Fillion:
« Gn 1,27. Dieu créa donc l'homme à Son image; Il le créa à l'image de Dieu, et Il les créa mâle et femelle.
Gn 1,28. Et Dieu les bénit, et Il leur dit: Croissez et multipliez-vous, remplissez la terre, et assujettissez-la, et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel et sur tous les animaux qui se remuent sur la terre.
Gn 1,29. Dieu dit encore: Je vous ai donné toutes les herbes qui portent leur graine sur la terre, et tous les arbres qui renferment en eux-mêmes leur semence chacun selon son espèce, afin qu'ils vous servent de nourriture, »



Certes, l'homme doit toujours agir raisonnablement. Il ne peut donc agir en irresponsable à l'égard des animaux, des plantes et des minéraux. Mais il ne reste pas moins vrai éternellement et à titre de principe qu'il a le droit et le devoir de dominer tous les êtres inférieurs à lui pour qu'ils le servent.

15.6.15

Le parallèle entre foi et Shoah n'est pas valide

http://www.dailymotion.com/video/x2ivamu_partie-2-vincent-reynouard-francois-hollande-serviteur-des-juifs_webcam&start=750


Monsieur Reynouard, à l'exemple de son maître le Pr. Faurisson, fait un parallèle entre la Shoah et la religion.

La thèse exposée par monsieur Reynouard dans cette vidéo est que de même que les catholiques "anti-libéraux" s'opposaient à l'école laïque en lui reprochant le silence sur la croix (selon ce que prônent les Rose-Croix) et voulaient imposer la doctrine catholique à tous en prenant prétexte de la vérité de Dieu et que faire silence sur ce sujet serait nier Dieu, de même François Hollande impose l'enseignement de la Shoah à l'école pendant dix années scolaires de suite parce que faire silence sur la Shoah serait la nier.

Mais ce parallèle n'est pas valable. Il faut remonter aux droits de l'homme pour trouver la clé. Les parents ont un droit directement conféré par Dieu sur l'éducation de leurs enfants. Un individu ou un groupe qui s'oppose à cette liberté parentale qui fait partie des droits universels de l'homme commet une faute morale.

Il est donc évident, lorsque l'on y songe, que l'école laïque financée par l'État viole ce droit des parents à éduquer leurs enfants en prélevant des impôts sur les parents auquel on impose une éducation qu'ils n'ont pas choisie.

Cela vaut aussi pour les parents juifs naturellement puisque les droits des parents et des enfants sont universels.

Cette liberté des parents, comme toute liberté, n'est pas illimitée mais s'inscrit dans l'ordre public. Comme tous les droits de l'homme (article 30 de la Déclaration universelle).

Ce droit des parents est reconnu par la Déclaration universelle des droits de l'homme dans son article 26.

« 3. Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d'éducation à donner à leurs enfants. » (1)

On le voit donc, ce n'est pas un problème religieux, mais un problème de raison universelle et de droits universels, un problème d'ordre public qui se pose. Un problème qui se règle par la règle d'or contenue (entre autres) dans la Bible catholique et le Talmud: ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu'ils te fassent.

Or, enseigner comme un mantra qu'oublier l'histoire est se condamner à la revivre ou que l'antisémitisme est "sans limite" est contraire à la raison universelle de l'homme, à la liberté de pensée et d'expression, donc à la laïcité de l'État. Voilà le véritable contre-argument.

De plus, monsieur Reynouard, qui est un scientifique, donc un logicien, devrait se méfier des comparaisons. En effet comparaison n'est pas raison. Autrement dit, on a rien démontré en opérant un parallèle. En l'occurrence ceux qui sont enfermés dans leurs catégories, ce sont monsieur Reynouard et son maître, le Pr. Faurisson. En voulant faire entrer de force dans un même moule intellectuel deux situations historiques nécessairement uniques, tous les événements historiques sont uniques, ils commettent une faute intellectuelle.

(1) L'ajout du terme "par priorité" n'est pas pleinement satisfaisant car on pourrait croire que les parents sont en concours avec d'autres pour choisir l'éducation à donner à leurs enfants. Or ils sont seuls à être titulaires de ce droit. L'État n'a qu'un rôle subsidiaire en cas de problème grave dans la famille.

13.6.15

L'ordre nouveau caché et public de 1945


Voici mon commentaire sur la "reddition sans condition":

Cher monsieur Reynouard,
Il faut préciser que la reddition sans condition ne met pas fin à la guerre. Elle met fin aux hostilités ouvertes. C'est une sorte d'armistice où l'une des parties se réserve la faculté de continuer les hostilités par n'importe quels moyens Elle laisse la place aux assassinats discrets, aux institutions judiciaires mises au service d'une idéologie, aux attentats sous fausse bannières et surtout à la diffamation d'État et à la terreur sous couvert de lutte pour la "liberté". Naturellement cet armistice sans condition et unilatéral (seule une des parties s'engage finalement) ne signifie nullement que la menace des bombardements est finie. À tout moment les bombardements peuvent reprendre. Dans le cas où un gouvernement voudrait faire le malin, jouer au rebelle par exemple...
Ce que j'écris est inscrit dans les institutions, notamment la charte des Nations unies (articles 53 et 107 toujours en vigueur). C'est aussi inscrit implicitement dans un grand nombre de textes nationaux et internationaux.
Inutile de préciser que ces dispositions sont contraires aux principes d'égalité et de fraternité, aux principes reconnus par les nations civilisées et finalement aux droits de l'homme (droits à la vie, à la culture, à la liberté de la culture, à la liberté de pensée).
Alors que sont les droits de l'homme universels, immuables et inamissibles dans cet ordre nouveau de 1945 ? Les droits de l'homme, vérité immuable en vérité, sont une superstructure qui permet de continuer une lutte barbare sous couvert de civilisation. Une tromperie qui comme tout tromperie contient des éléments vrais. Vous le savez les droits de l'homme sont pour moi une vérité permanente.
Il y a donc du vrai dans ce que vous dites, même si vous le savez pour moi Hitler n'était qu'un provocateur et un complice des alliés. C'est tout ordre naturel qui parle de Dieu qui est visé par les institutions incarnant l'ordre nouveau à la fois caché et public de 1945.
Cordialement.

Le sectarisme de la Cour européenne des droits de l'homme

Dans son très long arrêt, la Cour européenne des droits de l'homme dissèque les jurisprudences et les avis au sujet de la mise à mort de Vincent Lambert.

Elle fait semblant d'ignorer que le Vatican a donné son avis fondé sur la raison universelle de l'homme.

Par exemple sur la notion de traitement elle écrit:

« 155.  La Cour note que le « Guide sur le processus décisionnel relatif aux traitements médicaux en fin de vie » du Conseil de l’Europe aborde ces questions : le guide précise que les traitements recouvrent non seulement les interventions visant à améliorer l’état de santé d’un patient en agissant sur les causes de la maladie, mais également celles qui n’agissent pas sur l’étiologie de la maladie mais sur des symptômes, ou qui répondent à une insuffisance fonctionnelle. Le guide relève que la nutrition et l’hydratation artificielles sont apportées au patient en réponse à une indication médicale et supposent le choix d’une procédure et d’un dispositif médical (perfusion, sonde entérale). Le guide observe qu’il existe des différences d’approche selon les pays : certains les considèrent comme des traitements susceptibles d’être limités ou arrêtés dans les conditions et selon les garanties prévues par le droit interne ; les questions posées les concernant sont alors celles de la volonté du patient et celle du caractère approprié du traitement dans la situation considérée. Dans d’autres pays, elles sont considérées comme des soins répondant à des besoins essentiels de la personne que l’on ne peut arrêter à moins que le patient, en phase terminale de sa fin de vie, en ait exprimé le souhait (paragraphe 61 ci-dessus). »

Finalement, vu qu'aucune unanimité ne se dessine la cour décide de ne pas décider et de laisser les États décider. L'ennui c'est que la Cour est instituée pour décider.

Or pour décider, elle a une aide très précieuse en l'enseignement du Vatican. Je l'ai relayé dans ce post.



Son arrêt s'apparente donc à un déni de justice.

Pour être tout à fait juste, il faut se demander si la Cour n'applique pas quelque logique tirée de la Convention ?

Comme le souligne Vincent Reynouard dans ses vidéos sur les droits de l'homme, ce ne sont pas les droits de l'homme libre, mais les droits de l'homme démocrate (voir notamment le paragraphe 5 du préambule de la Convention de sauvegarde des droits de l'homme) que protège la Convention. Dans ce cadre la liberté est conçue comme pur arbitraire. Cet arbitraire n'est tempéré que par des affirmations de droits valables (les droits de l'homme), mais finalement sans portée pratique absolue.



Cet arbitraire libertaire entraine cette conséquence paradoxale d' interdire simplement énoncer les opinions d'experts (Paul VI demandait que l'on écoute l'Église comme experte en humanité) dès lors qu'ils se présentent comme religieux même s'ils n'exposent que des vérités rationnelles. Évidente absurdité.

11.6.15

La dignité inamissible de Vincent Lambert

Lu sur le site du Vatican cette réponse à propos de la nourriture et de l'hydratation par des personnes en état véritablement « végétatif permanent » (non pauci-relationnel comme l'est Vincent Lambert):

« Seconde question : Peut-on interrompre la nourriture et l’hydratation fournies par voies artificielles à un patient en "état végétatif permanent", lorsque des médecins compétents jugent avec la certitude morale que le patient ne reprendra jamais conscience ?
Réponse : Non. Un patient en "état végétatif permanent" est une personne, avec sa dignité humaine fondamentale, à laquelle on doit donc procurer les soins ordinaires et proportionnés, qui comprennent, en règle générale, l’administration d’eau et de nourriture, même par voies artificielles. »


Habitués à tenir ses mains prêtes à soulager et soigner les infirmités des corps mais s'efforçant de maintenir le cœur et l'esprit unis à Dieu, priant sans cesse. 


Du moment que l'administration de nourriture ne cause pas de souffrances extraordinaires, il faut continuer à la nourrir et à l'hydrater.

L'état de Vincent Lambert qui aurait récupéré récemment la déglutition est bien supérieur à celui de ceux qui sont dans un « état végétatif permanent ».

Saint Jean-Paul II a lui aussi traité de ce problème ici. (Via Riposte catholique)

Vincent Reynouard gravement menacé par les magistrats français


On se souviens que j'ai été gravement agressé verbalement par un magistrat lorsque j'ai voulu défendre mes droits dans l'héritage de ma fille Hélène. Joints à d'autres très cuisants souvenir, je confesse n'avoir aucune confiance dans la magistrature française.

Souvenir de lecture: dans Les Misérables, Victor Hugo met en scène Causette qui vent ses dents incisives pour l'extraction et leurs transplantation dans la bouche d'une riche bourgeoise. Il la montre édentée avec une bouche sanguignolente.

Cela devait donc se pratiquer dans l'extrême misère au XIXème siècle.

Voici mon commentaire sur Youtube:

Si vous allez en prison, que les magistrats parjures et malhonnêtes sachent qu'ils chargeront leurs consciences d'un nouveau crime !
Ils agiront ainsi contre le premier des droits de l'homme qui est la liberté d'expression.
Déclaration des droits de l'homme et du citoyen:
Art. 5.  La Loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la Société. (...)
Art. 8. La Loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, (...)
Art. 10. Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi.
Ce dernier article voit son sens détourné par un tour de passe-passe: le jugement du 1er octobre 1946 est inséré à l'ordre public tout en occultant l'ordre public humain, alors que l'ordre public c'est vérité, justice, droits de l'homme, liberté, égalité, fraternité et pas un jugement contingent et manifestement nul et de nul effet par défaut de forme. 
Bref, vous êtes poursuivi par des criminels qui bafouent le bien commun.
J'ajoute :

« Art. 11. La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi. »

Il n'y a aucun abus dans votre cas. Au contraire vos vidéos sont très instructives. Elle détruisent l'enchantement de la propagande communiste et américaine. Parfois elles constituent une invitation à de profondes réflexions.

10.6.15

« La forme emporte le fond » portée de cette sentence sur l'ordre public de Nürnberg



Commentaire sous la vidéo de Vincent Reynouard:

L'axiome judiciaire "la forme emporte le fond." est fondé sur le caractère d'ordre public des règles de procédures pénales. En matière pénale, il s'agit d'infliger une peine à un homme (être humain). C'est donc un droit exceptionnel, un droit contraire au but de la société qui est l'entr'aide. Il est fondé sur l'idée que la faute se rachète par la souffrance, que la souffrance rétablit l'ordre. Toutes les précautions doivent être prises pour ne pas commettre une erreur judiciaire. C'est pourquoi la forme emporte le fond. Si un jugement est rendu à la suite d'une procédure nulle, il est nul. Si on dit dans un texte d'institution "le tribunal n'aura pas à se soucier des preuves." "Le tribunal devra entendre la défense avant l'accusation" (ce qui est absurde et oblige à l'absurdité). Ce texte est nul et les jugements rendus sur le fondement de ces textes sont nuls. Les juges qui se sont compromis en jugeant dans un tel contexte "juridique" se sont à jamais déshonoré devant les hommes. Je comprends le procureur juif dont vous parlez dans une de vos vidéos qui a préféré démissionner plutôt que de continuer à participer à l'œuvre de "justice"  (avec traitement) en se déshonorant. Il rappelle ce juge de Jeanne d'Arc qui après avoir protesté a préféré s'éclipser pour demeurer étranger à la parodie de justice à laquelle on lui demandait de participer.

Aujourd'hui on pose le procès de Nürnberg en mètre-étalon de l'ordre public. Les juges français doivent le respecter et le faire respecter. On ne doit pas s'étonner s'ils sont de moralité très douteuse. (Par exemple, ils ont condamné ma mère de 95 ans à payer 500 000 € de réparation sur un bien qu'elle "louait" 2 300 € par an, par an, j'ai bien dit par an. Tout cela parce qu'ils avaient des copains dans le camp de la "locataire". Il s'agit d'un arrêt de la cour d'appel d'Aix-en-Provence du 24 juin 2008. Ma mère est morte depuis. On comprend que cette décision ne lui a pas prolongé la vie. Ce n'est qu'un exemple d'escroquerie judiciaire avec acte de barbarie).

L'horreur de la mort par déshydratation

Madame Jeanne Smits met en ligne une photo saisissante du cadavre de Terry Schindler morte de soif après plus de dix jours de lutte. Ce sont les "magistrats" américains qui,  sur les instances de son mari le nommé Schiavo, avaient condamné à mort cette femme. À mort de cette mort horrible.

Elle aussi était dans un coma pauci-relationnel. C'est-à-dire qu'elle pouvait communiquer quelques sentiments par le regard et la mimique. Elle vivait donc, elle comprenait, elle communiquait, même si son âme était enfermée par les lésions de son corps.

Cette photo est horrible. Elle évoque le Christ au tombeau de Hans Holbein le jeune.

L'arrêt de la Cour européenne des droits de l'homme n'en est que plus révoltant. Il évoque en effet la façon de juger de Ponce-Pilate: "Cette affaire est trop compliquée. Je m'en lave les mains. C'est votre affaire." C'est-à-dire en définitive: permis de tuer, permis de torturer au nom des droits de l'homme !



Ils sont trop lâches pour le tuer, alors ils le font mourir sous la torture de la soif.

Si Vincent Lambert meurt comme cela il rejoindra la cohorte de ceux morts de soif par une injuste condamnation des "magistrats". Cette cohorte a à sa tête le Père Kolbe, mort de soif à Auschwitz. Mise à jour du 3 août 2015: je rectifie le Père Kolbe a bien subi la torture de la soif, mais comme il n'était pas mort après quinze jours de privation de boisson, les tortionnaires du bagne l'ont assassiné au moyen d'une injection létale. Ses compagnons étaient tous mort de soif, eux. En tous cas le P. Kolbe a bien subi la torture de la soif pendant quinze jours.

L'invocation de l'ordre public de Nürnberg n'est pas une croyance




L'invocation de l'arrêt de Nürnberg n'est pas une croyance, n'est pas un prétexte pour intimider (vers 6' dans la vidéo). Il est rendu obligatoire par l'ordre nouveau de l'accord de Londres.

https://www.icrc.org/applic/ihl/dih.nsf/INTRO/350?OpenDocument

Ou plutôt par la charte des Nations unies du 26 juin 1945. Les "États ennemis" sont expressément exclus de la protection internationale et des droits communs à tous les hommes.

http://www.un.org/fr/documents/charter/pdf/charter.pdf

Voir notamment les articles 53 et 107 de la charte.

Il est vrai que cette volonté bafoue la raison universelle de l'homme, notamment dans ses implications juridiques. Mais un positiviste n'est pas un croyant. Il applique la "loi" parce que c'est la loi quelle qu'elle soit. Il se moque de la justice dont il ne croit pas à l'existence.

Or la loi Gayssot est une conséquence nécessaire de l'accord de Londres, notamment de son article 1er présomption de culpabilité (confirmée à plusieurs reprises dans l'accord et le statut annexé), culpabilité individuelle pour des actes accomplis indépendamment par d'autres (article 6 du statut) , d'où les délits actuels de "provocation" sans provocation. Condamnation pénale sans que la personne ait même été simplement entendue (article 9 du statut), caractère irrévisable des condamnations arbitraires (article 10), caractère d'ordre public avec interdiction de discuter ces règles (article 13), possibilité d'interdire certains arguments à la défense (article 18), interdiction arbitraire des moyens de preuve de la défense (article 20), condamnation sans preuve (article 21) dans la logique de la présomption de culpabilité, "défense" des accusés avant l'exposé de l'accusation (absurdité folle de l'article 24, texte particulièrement nauséabond), caractère irrévisable de la future décision du Tribunal (article 26).

Ne parlons pas des définitions des crimes a posteriori. Ne parlons pas de ces définitions lâches, compliquées et embarrassées de super-crimes créés tout exprès contre les "nazis", définition bafouant le droit pénal (le plus grand crime juridique, c'est l'assassinat).

Ne parlons pas du devoir absolu et sacré de la répression et de la "lutte contre l'impunité", alors que la répression n'est pas une obligation et ne doit être entreprise qu'en cas de stricte nécessité. On commet et l'on prône des crimes au nom de la lutte contre le crime.

Dans sa rage athée, monsieur Faurisson veut y voir une volonté religieuse. Cette affirmation occulte le véritable vice de ces législations.

Moi j'y vois une volonté arbitraire, un volontarisme absolu et positiviste qui imprègne tout notre droit notamment pénal depuis cette époque et qui ne cesse d'étendre ses effets tous les jours à notre époque.

On ne s'aperçoit pas parce que c'est à la fois affirmé et occulté par les institutions officielles, mais pourtant cet ensemble de textes monstrueux est au centre, avant même les droits de l'homme, au centre de la vie sociale et juridique de 2015.

Ces textes sont au centre de la vie sociale et juridique universelle. Sans une étude philosophique et juridique attentive de ces textes, on ne comprend rien à la "loi" Gayssot, ni même notre époque d'ailleurs.

C'est pourquoi la lutte des juges français contre monsieur Reynouard est si ardente. Il veut dynamiter l'ordre social issu de la seconde guerre mondiale et sans même se rendre compte de ce qu'il fait, il s'en donne les moyens.

En prison, vite, vite ! En prison le juif révisionniste Reynouard, qu'il se taise ! Ou plutôt qu'on ne l'entende plus !

La liberté religieuse nous autorise à vénérer de la matière

http://www.fdesouche.com/616709-leglise-de-chelles-77-vandalisee-un-acte-isole-commis-par-un-desequilibre

L'attaque d'une église donne l'occasion au curé de Chelles de préciser des raisons de notre droit à vénérer des objets matériels:

À « travers le culte des images, c’est la reconnaissance de l’Incarnation du Fils unique de Dieu qui est affirmée ».

Contrairement à ce qui se passait dans l'Antiquité, aujourd'hui le risque de prendre de la matière pour Dieu, voire pour un dieu, est inexistant. Aucun peuple, aucun groupe aucun individu ne pratique l'idolâtrie. C'est le progrès de l'esprit humains. Ceux qui accusent les catholiques d'idolâtrie sont obligés de déformer leur doctrine pour les accuser d'idolâtrie.

Déposition de croix, détail, œuvre de Fra Angelico actuellement visible au museo diocesano de Torino (Piémont, Italie)


En revanche nous vénérons des statues et des images. Ici l'abbé de Kergolay m'apprend quelque chose.

L'homme est un microcosme, le résumé de la création : à la fois minéral, végétal, animal et spirituel. Or Dieu s'est incarné en Jésus-Christ. Donc Dieu s'est fait matière... C'est ce qui nous autorise à vénérer des objets matériels qui évoquent des réalités spirituelles.

C’est notre liberté de le croire et personne au monde ne peut nous empêcher de le croire. La liberté religieuse, c’est notre droit.

9.6.15

Diffamation de l'Église antéconciliaire par l'hebdomadaire Le Point (à propos du "déicide")

Voici ce que Le Point écrit à propos du projet de béatification du P. Dehon:
« Dans son Catéchisme social de 1898, Léon Dehon avait écrit que le peuple juif « a conquis notre or et nous tient asservis. Il tient la presse et fait l'opinion. Il remplit nos grandes écoles publiques et vise à s'emparer de l'administration et de la magistrature. C'est une conquête entamée et déjà bien avancée », avait-il encore écrit. La congrégation avait fait valoir qu'à l'époque de leur fondateur « cette pensée judéophobe était largement partagée ». Les quelque 2 200 « déhoniens » présents dans une trentaine de pays à travers le monde oeuvrent principalement dans le domaine social et l'enseignement. Le concile Vatican II (1962/65) avait rompu avec l'attitude anti-juive de l'Église catholique, qui voyait dans le peuple hébreu le peuple « déicide » pour avoir fait crucifier Jésus. Les derniers papes, dont François, ont beaucoup insisté sur les liens et l'amitié entre chrétiens et juifs. »

Le Bric froid (sommet à droite sur la photo)


Cette histoire de "déicide" que l'on ressort partout et toujours est un mensonge. Le "déicide" n'a jamais figuré dans les articles de foi catholique. Bien plus, l'Église a expressément condamné ces allégations au moins depuis le concile de Trente.

J'ai écrit à plusieurs reprises sur ce sujet et mes lecteurs pourront lire mes anciens posts sous ce lien.

http://denismerlin.blogspot.fr/search?q=d%C3%A9icide

Le pape ne regarde plus la télévision depuis 1990

Selon Le Figaro, le pape ne regarde plus la télévision depuis 1990.

« Expliquant que l'usage de télévision et des ordinateurs pouvait «porter atteinte à la vie communautaire, sociale, à la vie familiale», le souverain pontife a ensuite dénoncé le «contenu» de certains programmes, notamment ceux «pornographiques ou semi-pornographiques, vides de sens ou sans valeurs» et ceux «relativistes, hédonistes, consuméristes».
Lors de sa rencontre avec les jeunes, le pape François leur a alors transmis un dernier message: «Regarder la télévision, utiliser l'ordinateur, mais pour les belles choses. Les grandes choses, les choses qui nous font grandir. (...) »

Mont Viso


Comme lui je ne regarde pas la télévision depuis très longtemps. En revanche j'utilise l'ordinateur indispensable au travail et Internet qui est une source incroyable de renseignements et d'accroissement des connaissances.

La télévision, ce n'est presque que de la propagande soigneusement planifiée. Je ne la regarde jamais parce qu'ils m'ennuient.

6.6.15

Coontinuons à soutenir Vincent Lambert dans sa lutte pour la vie !




Signez et faites signer la pétition pour la vie de Vincent !


La Vérité n'est ni pour ni contre, elle est

Lu sous la vidéo de Vincent Reynouard:

« La vérité n’est ni pour ni contre. La vérité est seulement la vérité. Elle est contre pour ceux qui vivent du mensonge, aiment le mensonge, ont besoin du mensonge pour vivre. "
"J'ai mal de la Terre" - Roger Dommergue Polacco de Menasce

 Cité par TheZzzz1 qui a une chaîne sur youtube.


Roger Dommergue se montre ici excellent philosophe. La vérité, la beauté et la bonté sont des transcendentaux. Ces notions transcendent l'utilité. Elles sont d'un autre ordre, un ordre supérieur.

Les vraies raisons de l'explusion de monsieur Mérah, père de Mohamed ?

Je lis que le père de Mohamed Mérah est expulsé de France et renvoyé en Algérie.

Monsieur Mérah, juste après la mort de son fils, avait pris une avocate. Il contestait la version officielle qui attribue à son fils, contre toute vraisemblance, les assassinats de mars 2012. Depuis, on entendait plus parler de rien. Il est vraisemblable que l'on ait expliqué à monsieur Mérah qu'insister serait de mauvais goût. Il s'était fait discret. Cela ne suffisait sans doute pas.



Je rappelle que Mohamed Mérah n'a jamais été jugé ni même entendu à propos de ces crimes. Les lui imputer est aller contre la présomption d'innocence.

Je soupçonne les autorités d'avoir expulsé monsieur Mérah parce qu'il n'est pas d'accord avec la version officielle, version officielle pour moi hautement invraisemblable et de toutes les façons irrespectueuse des droits fondamentaux de l'homme.

Respect du caractère religieux des obsèques

À propos d'un incident au cours duquel le curé d'une paroisse a coupé l'électricité pour interdire aux élus municipaux de faire des speechs dans l'église lors d'obsèques. Cet incident est remonté jusqu'à l'évêque qui a décidé de nommer un prêtre en remplacement  mais seulement pour les obsèques.

Un prêtre me disait récemment qu'il baptisait des enfants contre le droit canon, parce qu'autrement "ce serait la guerre." Il disait au parent: "Je ne peux baptiser votre cadet (ou cadette) puisque votre aîné(e) n'est pas allé(e) au catéchisme après son baptême." Ils lui répondaient "Nous n'avons pas le temps." Et... Le prêtre cédait... par peur de "la guerre".



Une dame qui signe "Sofia" a laissé sur Riposte catholique, un commentaire particulièrement pertinent. J'en livre des extraits:

« Il y a plus qu’assez de voir faire n’importe quoi dans les cérémonies
Une église est lieu de prière et un espace sacré et non pas une tribune pour incroyants à la recherche d’un auditoire pour se valoriser. (...)
Son devoir de prêtre était d’interrompre la cérémonie. »

« Collet se sert de la justice, moi je sers la justice » (Vincent Reynouard)

Vidéo très intéressante de monsieur Reynouard:



Je suis tout à fait d'accord avec lui: inutile de se défendre devant les tribunaux. Si vous êtes sur la liste noire, vous n'avez aucune chance qu'on vous rende justice.

Les magistrats français m'ont spolié plusieurs fois. Par exemple, ils m'ont condamné à payer une amende de 800 € à l'occasion de la mort suspecte de ma fille. De gros délicats les magistrats français ! À cette occasion ils m'ont spolié des biens qu'elle m'avait laissés.

Ils ont condamné ma mère, dont je suis l'héritier, ma mère de 95 ans et qui allait mourir à payer 500 000 € de réparation sur un bien qu'elle "louait" 2 300 € par an, par an, par an.

Ne pas oublier non plus l'affaire Vincent Lambert où ils se sont rendus coupables de complicité d'assassinat par actes de torture et actes de barbarie.

En matière d'escroqueries, de vols, de torture et d'assassinats les magistrats français s'y connaissent.



J'ajoute que poursuivre monsieur Reynouard pour appel au public en vue de faire payer ses amendes découvre une nouvelle fois, s'il en était besoin, l'extrême mauvaise foi des magistrats français.

Si quelqu'un peut aider monsieur Reynouard à vivre, qu'il le fasse. Dans l'état de détresse où l'a mis la magistrature, l'aider n'est pas charité, c'est probablement justice (1). De plus son action en faveur de l'éducation et du bien commun mérite une aide, surtout lorsque cette action gratuite est contrée  dans des conditions de cruauté extrême par les autorités chargées de rendre la justice.


(1) Rerum novarum « Mais dès qu'on a accordé ce qu'il faut à la nécessité, à la bienséance, c'est un devoir de verser le superflu dans le sein des pauvres. "Ce qui reste, donnez-le en aumône" (18). C'est un devoir, non pas de stricte justice, sauf les cas d'extrême nécessité, mais de charité chrétienne, un devoir par conséquent dont on ne peut poursuivre l'accomplissement par l'action de la loi. »
Les mots soulignés l'ont été par moi.

L'original latin  porte: «  Non iustitiae excepto in rebus extremis » Donc, il y a plutôt écrit "dans les cas extrêmes" que "dans les cas d'extrême nécessité". Cas extrêmes, à mon sens, est plus large que "cas d'extrême nécessité".

Je laisse mes lecteurs décider en conscience si monsieur Reynouard est en un cas extrême. Je pense qu'il est possible de le croire.

5.6.15

Quand Kariger se mêle de la vie privée des gens

Le sinistre Kariger vient de faire une déclaration à propos du projet d'assassinat de Vincent Lambert:

« 13 H 11 : l’ancien médecin traitant de Vincent Lambert au CHU de Reims, le docteur Eric Kariger, a salué "la décision sage et courageuse" de la CEDH de valider l’arrêt des soins autorisé par le Conseil d’Etat. "C’est une décision sage et courageuse", qui constitue "un petit pas pour Vincent Lambert, son épouse et ses proches qui respectent ses volontés mais un grand pas pour l’humanité !", a-t-il déclaré. "Dans ces circonstances de l’extrême limite de la fragilité, le plus grand geste d’amour, c’est de laisser partir celui que l’on aime !", a poursuivi le médecin. »


Moi, j'aurais écrit "médecin" entre guillemets.

On pourrait demander à Kariger de cesser de se mêler de la vie privée des gens et par la même occasion d'insulter une mère.

Tu n'as aucun titre, vieux salaud, à te mêler des décisions de la mère d'un patient et encore moins à les condamner "moralement".

T'as pas honte Kariger ?

Le définitif suicide de la CEDH (affaire Lambert)

La CEDH qui dépend du désordre public de Nürnberg vient de rendre un arrêt définitif approuvant les décisions "judiciaires" françaises de mise à mort par torture de Vincent Lambert victime d'un "accident de la circulation" non-élucidé.

Les juges français, comme ceux de la CEDH, comme ceux ayant siégé à Nürnberg ne méritent que le profond mépris de l'humanité entière. Hommes sans honneur et sans aveu (1), seul un silence éternel peut les accompagner et les enveloppera à jamais.

Ils sont beaux, nos "antinazis" qui profanent le drapeau français !


Je vous méprise trop, vieilles canailles "judiciaires", pour continuer à espérer la justice de vos décisions.

La maman de Vincent a annoncé qu'elle continuerait à se battre. Mes respects, madame ! Voilà une femme qui aime son fils et ne veut pas se retrouver complice de ses assassins.

Vidéo où l'on peut voir madame Lambert déclarer qu'elle continuera à se battre:

http://www.ledauphine.com/france-monde/2015/06/05/la-cedh-valide-l-arret-des-soins-a-vincent-lambert






(1) Sens figuré selon le Trésor de la langue française : « individu sans moralité, dont l'activité et les revenus sont inavouables » En effet, ils escroquent leurs traitements et ont comme activité la complicité d'homicides volontaires et crapuleux en série, en grande série. Une activité et des revenus inavouables donc.

4.6.15

La place de la CEDH dans le dispositif post Nürnberg

Ceux qui croient qu’ils vont pouvoir se libérer de la tyrannie facilement, ne s’aperçoivent pas que tout dépend directement ou indirectement de l’ONU, instrument des Américains, qui depuis 1945 est encore en guerre contre la France traditionnelle, même républicaine... en 2015.

C’est inscrit dans les textes, dans la charte du 26 juin 1945. Il faudrait donc déjà s’en apercevoir pour demander une réforme des textes. Mais comme ma petite voix est bien seule dans le monde…

Charte des Nations unies :
« Article 107 Aucune disposition de la présente Charte n’affecte ou n’interdit, vis-à-vis d’un Etat qui, aucours de la seconde guerre mondiale, a été l’ennemi de l’un quelconque des signataires dela présente Charte, une action entreprise ou autorisée, comme suite de cette guerre, parles gouvernements qui ont la responsabilité de cette action. »

http://www.un.org/fr/documents/charter/pdf/charter.pdf

La France traditionnelle peut facilement être assimilée à un « État ennemi » par nos « amis » de Washington et de New-York. Même si, je le concède, ce n’est pas clairement proclamé dans la charte. Un flou menaçant.

Les bombardements peuvent donc reprendre… Avis aux sales Français de souche.

La CEDH dépend du chapitre 8 de la charte des « Nations unies »…



Les bombardements peuvent reprendre et il ne faut pas croire qu’ils ne continuent pas insidieusement. L’attentat contre Germanwings est un avertissement aux gouvernements allemand, espagnol et français: ne faites pas les malins. Vous n’êtes que des merdes. Nous vous massacrerons sans pitié comme nous massacrons 150 personnes au dessus de Barcelonette venant de Barcelone et se rendant en Allemagne. Si vous n’obéissez pas, nous passerons à des choses beaucoup plus sérieuses…

C'est dans la lignée des fous de Pont-Saint-Esprit...

Ne faites pas les malins. Le "mariage" homosexuel est décidé.


Le discours de Hollande à propos de cet « accident » fut un modèle de discours à triple sens. Le message adressé aux assassins était: « Nous avons compris. Nous tenons compte de l’avertissement. Nous nous soumettons sans condition. » En effet, le jour même de l’ « accident » Hollande recevait le chef de l’État espagnol.

Dès lors il est illusoire d'avoir espoir dans la Cour européenne des droits de l'homme. Certes elle rend parfois des arrêts conformes à la morale et au droit qui peuvent constituer d'authentiques progrès. Mais elle ne remettra jamais en cause l'injustice fondamentale de l'ordre de Nürnberg.

3.6.15

Message à monsieur Reynouard sur la Charte des Nations unies et la notion d'État ennemi

Monsieur Reynouard est très intéressant lorsqu'il nous remet sous les yeux des données historiques occultées par la propagande alliée. En cette matière il est très intéressant. C'est en raison de la publication du fruit de ses recherches qu'il est poursuivi par la magistrature et la police et qu'il fut mis en prison pendant 9 mois.

Pourtant je ne suis pas d'accord avec lui fondamentalement. Je ne suis ni nationaliste, ni socialiste. Je suis donc opposé au national-socialisme qui n'est qu'une forme de la modernité (euthanasie, notion d'utilité à propos de l'homme, irrespect des droits fondamentaux de l'homme au profit de l'utilité sont communs aux "nazis" et aux actuels législateurs et juges).

Dans la charte des Nations unies (unies contre le "nazisme" ?) il se trouve une notion particulièrement intéressante, celle de "État ennemi".

Voici le message que je lui ai envoyé à ce propos en espérant que ce message lui parvienne avant qu'il ne soit arrêté.

Cher monsieur,
Il est une notion contenue dans la Charte des Nations unies qui mérite une attention particulière: c'est la notion d'« État ennemi ».
La définition de l'"État ennemi" se trouve à l'article 53.2 de la Charte.
Il prive tout "État ennemi" de tous les droits reconnus aux "Nations unies" (article 107). [Toutes les actions de guerre sont justifiées et incontestables contre les État ennemis.]
Hercule terrassant le lion de Némée ou Samson terrassant un lion (Juges 13,6) ? Plus probablement Samson. Chateau de Vizille (Isère)


Les "Nations unies" sont donc toujours en guerre contre les "États ennemis". Vous-même en vous faisant le défenseur des "États ennemis" vous devenez l'ennemi des Nations unies, ou du moins vous vous les mettez à dos.

À travers la notion d'« États ennemis », une partie de l'humanité se trouve privée des droits universels de l'homme. Notamment du droit à la liberté de pensée et d'expression s'exerçant sur l'appréciation de la démocratie, sur la contestation de cette affirmation que toute autorité découle nécessairement de l'arithmétique (alors que, par exemple, l'autorité des parents vient directement de Dieu et n'est pas une autorité déléguée par l'État). 
Certes, la Déclaration de 1948 n'a pas de valeur juridique (une simple valeur morale). Mais la charte en faisant référence aux "droits de l'homme" vise implicitement l'organisation démocratique de toute société, y compris naturellement la société politique (article 21.3 de la Déclaration universelle des droits de l'homme). Puisque le peuple a seul autorité pour établir des lois, les droits de l'homme sont niés en même temps qu'ils sont affirmés. Car en réalité toute autorité vient de Dieu (saint Paul Rm 13,1) ce qui est un puissant frein à la tyrannie. Ce que ne sont qu'imparfaitement les déclarations des droits. Il y a donc à la fois l'affirmation d'un ordre immuable (l'autorité universelle des immuables droits de l'homme) et d'un arbitraire (toute autorité politique, donc en définitive toute autorité en raison de l'autorité de la loi, vient du peuple).


Parc du château de Vizille (Hercule ?)


Le Vatican a choisi, par une décision purement prudentielle, de fermer les yeux sur ces contradictions pour ne mettre en avant que l'ordre immuable des droits de l'homme affirmé à juste titre (mais de façon incohérente) par la Charte des Nations unies du 26 juin 1945 et la Déclaration du 10 décembre 1948.
Pourtant cette incohérence a des conséquences particulièrement graves puisqu'elle prive une partie de l'humanité de ses droits fondamentaux. Cette partie de l'humanité sont les "nazis" et tous ceux qui leur sont assimilés.
Cordialement
Denis Merlin 

Désigner ainsi des "États ennemis", déclarés comme tels sans limitation de temps et proclamer que ces États ennemis ne jouissent pas des droits des autres États, exclut en pratique des hommes de l'extension de l'humanité, donc des droits de l'homme par ailleurs proclamés "universels". A fortiori, cette notion exclut certains hommes de la fraternité universelle pourtant proclamée comme devoir à l'article premier de la Déclaration universelle de 1948.

2.6.15

Traduction liturgique contre Vulgate: un exemple avec un extrait du livre de Tobie

Le haut clergé propose ou plutôt impose une "version liturgique" de la Bible. Voici un extrait de la traduction du Livre de Tobie telle que l'on peut la trouver pour aujourd'hui sur le site L'Évangile au quotidien:

Tobie chapitre 2:

Pendant ce temps-là, ma femme Anna, pour gagner sa vie, exécutait des travaux d’ouvrière, qu’elle livrait à ses patrons, et ceux-ci lui réglaient son salaire. Or, le sept du mois de Dystros, elle acheva une pièce de tissu et l’envoya à ses patrons ; ils lui réglèrent tout ce qu’ils lui devaient et, pour un repas de fête, ils lui offrirent un chevreau pris à sa mère. 
Arrivé chez moi, le chevreau se mit à bêler. J’appelai ma femme et lui dis : « D’où vient ce chevreau ? N’aurait-il pas été volé ? Rends-le à ses propriétaires. Car nous ne sommes pas autorisés à manger quoi que ce soit de volé ! » 
Elle me dit : « Mais c’est un cadeau qu’on m’a donné en plus de mon salaire ! » Je refusai de la croire, je lui dis de rendre l’animal à ses propriétaires, et je me fâchai contre ma femme à cause de cela. Alors elle me répliqua : « Qu’en est-il donc de tes aumônes ? Qu’en est-il de tes bonnes œuvres ? On voit bien maintenant ce qu’elles signifient ! » 

Si Anna, la femme de Tobie travaillait chez elle à des travaux de tissage, elle n'était pas vraiment ouvrière, mais plutôt artisane. Elle facturait à des clients.

Tobie était un saint. Il est incroyable qu'il se comporte aussi grossièrement avec sa femme.

Voici la traduction  Fillion (Vulgate) [Tobie est aveugle depuis quelques temps. Il ne peut plus travailler]:

« Tb 2,19. Mais Anne, sa femme, allait tous les jours faire de la toile, et apportait du travail de ses mains ce qu'elle pouvait gagner pour vivre.
Tb 2,20. Il arriva donc qu'ayant reçu un jour un chevreau, elle l'apporta à la maison.
Tb 2,21. Et son mari, l'ayant entendu bêler, dit: Prenez garde qu'il n'ait été dérobé; rendez-le à ses maîtres, car il ne nous est pas permis de manger ou de toucher ce qui a été dérobé.
Tb 2,22. Alors sa femme lui répondit avec colère: Il est évident que votre espérance était vaine, et voilà le résultat de vos aumônes.
Tb 2,23, C'est ainsi, et par d'autres paroles semblables, qu'elle lui insultait. »

Dans cette traduction (Fillion) Tobie ne se met pas en colère contre sa femme. Il ne se méfie pas de ce que lui dit sa femme. Il comprend, je ne sais pourquoi, peut-être l'excessive valeur du don, que le chevreau est le butin d'un vol (les voleurs "arrosent" leurs entourages pour fermer les bouches). En revanche, Anna se met en colère contre son mari parce qu'il est honnête. Elle lui dit à peu près: « Voilà où nous en sommes avec vos idées d'honnêteté et de générosité ! Nous sommes dans la gêne ! » Etc.

Dans la Vulgate voici le passage :

19 Anna vero uxor eius ibat ad textrinum opus cotidie et de labore manuum suarum victum quem consequi poterat deferebat
20 unde factum est ut hedum caprarum accipiens detulisset domi
21 cuius cum vocem balantis vir eius audisset dixit videte ne forte furtivus sit reddite eum dominis suis quia non licet nobis ex furto aliquid aut edere aut contingere
22 ad haec uxor eius irata respondit manifeste vana facta est spes tua et elemosynae tuae modo paruerunt
23 atque his et aliis huiusmodi verbis exprobrabat ei
Charlotte la petite anesse
Voici la traduction que je propose:
« 19 À la vérité Anne, sa femme, allait tous les jours tisser de la toile ; et, du travail de ses mains, rapportait ce qu'elle pouvait du nécessaire pour vivre.
20 Ce qui explique, qu'ayant reçu un chevreau, elle l'apporta à la maison.
21 Son mari entendant le chevreau bêler lui dit : « Méfiez-vous que ce chevreau ne fasse partie d'un butin. Ainsi rendez-le à son propriétaire parce qu'il ne nous est pas permis de manger ni même de toucher le fruit d'un vol. »
22 Sa femme se mit en colère et lui répondit : « Il est évident que votre espérance est vaine et qu'apparaît au grand jour la démesure de vos aumônes. » 
23 Et elle lui faisait des reproches par ces mots et par d'autres. »
La femme de Tobie l'attaque sur sa foi et son espérance.

Au lieu d'imposer ces traductions bizarres, probablement tirées de la version massorétique, laquelle est un faux selon monsieur Doaudal, les évêques, respectant la liberté religieuse, pourraient au moins signaler les différences fort importantes entre les deux versions: la traditionnelle et la moderne. Nos pères dans la foi n'étaient pas des imbéciles à qui l'on doit le mépris.