18.3.16

L'inénarrable maître André Soulier, mon ennemi

Voici la lettre légèrement anonymisée que j'ai adressée au bâtonnier de l'ordre des avocats de Lyon:


Denis Merlin
(adresse)
Monsieur le bâtonnier
Ordre des avocats
4 rue Bonel
69003 Lyon

XX, le 19 février 2009


Aff. Denis Merlin

Monsieur le Bâtonnier,
Vous trouverez ci-joint une copie d’une assignation délivrée à la demande de Maître Soulier à mon encontre.
J’ai le regret de relever dans cette assignation des termes inadmissibles qui constituent des infractions au serment de l’avocat.
Passons sur les considérations totalement inutiles sur l’acceptation et sur bien d’autres sujets comme l’adresse de son client.
Passons sur les fautes de français « ensuite » employé pour « en suite »… « parachever » pour « achever »…
Ce qui en revanche devient inadmissible ce sont deux choses :
1) dans mon adresse maître Soulier mentionne « dans les locaux qui dépendent aujourd’hui des successions de Joseph X, André X et vve Merlin née Marguerite Auran » Cette mention totalement inutile et malveillante est une infraction à la délicatesse et à l’humanité. Je suis en effet propriétaire indivis, ce que malicieusement maître Soulier ne mentionne pas.
2) Dans le « par ces motifs » maître Soulier demande qu’il soit « constaté le décès de Madame veuve Merlin ». Faire de la mort de ma mère survenue le 5 décembre 2008 un objet de contentieux à la demande d’un frère contre un autre frère, comme si cela était contesté, constitue un manque évident d’humanité. C’est atroce pour moi.
C’est pourquoi je demande que maître Soulier retire ces termes de son acte et me le fasse savoir, ce dont je le remercie à l’avance.
Je vous remercie de bien vouloir intervenir auprès de maître Soulier dans ce sens.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Bâtonnier, l’expression de mes respectueux sentiments. »


Comme j'aurais dû m'y attendre, le bâtonnier me répondit qu'il ne faisait même pas part de ma lettre à l'illustre maître Soulier tellement ma lettre était sans intérêt.

Maître Soulier m'a assigné pour faire constater le décès de ma mère. C'est ridicule et c'est odieux. Mais il est vrai qu'il le faisait avec l'argent volé à la succession avec la complicité des magistrats... et que je ne suis que le spolié et que je ne suis pas un ami de monsieur Jean-Claude Gaudin que donc ce que j'écris est sans intérêt.

Si je m'amusais, ayant des biens à partager avec lui, à assigner le bâtonnier pour faire constater la mort de sa mère, ce ne serait pas la même musique pour moi.

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