23.2.17

Décès de Monsieur Denis Merlin


Madame Denis MERLIN, son épouse ;

ses enfants, gendres et belle-fille ;

ses petits-enfants

ont la douleur de vous faire part du rappel à Dieu de 


Denis MERLIN

pieusement décédé dans sa 69e année

le mardi 21 février 2017


La messe d'enterrement a eu lieu en l'abbatiale de Solignac (87), 

Le 25 février 2017 à 14h30



Requiescat in pace ! 

2.2.17

L'ordre public secret du Conseil constitutionnel (2).

Voici la suite de mon précédent post sur la déclaration d'inconstitutionnalité du Conseil constitutionnel. Le Conseil a annulé la disposition de "loi" sur la contestation de crime contre l'humanité n'ayant donné lieu à aucune condamnation judiciaire ("génocide arménien", "déportation des Noirs" par les seuls Blancs et par nul autre).

Voici l'attendu selon moi décisif du Conseil sur ce point:

« 196. En troisième lieu, et compte tenu de ce qui est rappelé au paragraphe précédent, le seul effet des dispositions du dernier alinéa du 2° de l’article 173 est d’imposer au juge, pour établir les éléments constitutifs de l’infraction, de se prononcer sur l’existence d’un crime dont la négation, la minoration ou la banalisation est alléguée, alors même qu’il n’est pas saisi au fond de ce crime et qu’aucune juridiction ne s’est prononcée sur les faits dénoncés comme criminels. Des actes ou des propos peuvent ainsi donner lieu à des poursuites au motif qu’ils nieraient, minoreraient ou banaliseraient des faits sans pourtant que ceux-ci n’aient encore reçu la qualification de l’un des crimes visés par les dispositions du dernier alinéa du 2° de l’article 173. Dès lors, ces dispositions font peser une incertitude sur la licéité d’actes ou de propos portant sur des faits susceptibles de faire l’objet de débats historiques qui ne satisfait pas à l’exigence de 41 proportionnalité qui s’impose s’agissant de l’exercice de la liberté d’expression.

197. Il résulte de ce qui précède que le législateur, en réprimant la négation, la minoration et la banalisation de certains crimes n’ayant fait l’objet d’aucune condamnation judiciaire préalable, a porté une atteinte à l’exercice de la liberté d’expression qui n’est ni nécessaire ni proportionnée. Le dernier alinéa du 2° de l’article 173 est donc contraire à la Constitution. »

Il résulte de ce texte que les condamnations pour négation de crime contre l'humanité ne peuvent faire l'objet de discussion dès lors qu'ils ont fait l'objet de condamnation(s) judiciaire(s). Parce que dans ce cas, l'atteinte à la liberté d'expression est nécessaire et proportionnée "au but poursuivi" sans autre précision. Je ne trouve pas quel est concrètement l'"objectif poursuivi" qui fonderait l'interdiction de tout débat public sur un "crime contre l'humanité" ayant donné lieu à une condamnation par la juridiction de Nürnberg, nulle d'une nullité absolue tant dans son institution que dans la procédure qui s'en est suivie (20 novembre 1945 - 1er octobre 1946).

Quel est cet "objectif poursuivi" dans le cas de la "loi" Gayssot ? On ne sait pas. Du moins le malhonnête Conseil constitutionnel ne l'énonce pas.

Or justement ce qui fonde la limitation de la liberté d'expression, c'est l'"objectif poursuivi". Ce but, cet objectif doit permettre de mesurer la proportionnalité (ordre public et droits "des tiers" d'un côté, mesure de limitation de la liberté d'expression de l'autre). Mais pour en juger il faut l'énoncer concrètement. Ce que ne fait pas le Conseil constitutionnel. C'est le motif secret. L'ordre public est bien mentionné, mais c'est un motif abstrait. Il aurait fallu au malhonnête Conseil constitutionnel énoncer l'objectif concret pour pouvoir juger de sa cohérence avec l'ordre public.

D'autre part, le Conseil confond (volontairement ? c'est le plus probable) la nécessaire définition préalable des infractions avec la proportionnalité. L'infraction doit être définie afin que le justiciable sache clairement ce qui est interdit et ce qui est licite. Mais la question de la proportionnalité de l'interdiction avec le but poursuivi est une autre question.

Je rappelle que j'ai démontré sur mon blog que la "loi" Gayssot était sans portée en raison de la non-promulgation de l'intégralité de l'élément légal. En conséquence, elle ne pouvait donner lieu à aucune condamnation légale. Par exemple ici. Et pour mes lecteurs qui veulent en savoir plus ici (divers posts tous relatifs à la nullité de la "loi" Gayssot).

Conclusion : le Conseil constitutionnel est une juridiction aussi malhonnête que l'ensemble, sauf exception, des juridictions françaises.

27.1.17

Trump et la torture

Il est évident que je ne peux être d'accord avec l'usage de la torture. Cet usage est une violation de la dignité de la personne humaine. Dignité de la victime et dignité du tortionnaire.

Serait-elle efficace, ce qu'elle n'est paraît-il pas, la torture est et sera toujours condamnable par principe. En raison de la nature raisonnable de l'homme.

Dans l'ensemble comme je l'ai déjà écrit sur mon blog, je ne m'extasie pas devant les déclarations de monsieur Trump. Comme je ne suis pas pour monsieur Poisson pour lequel je ne voterais pas tant qu'il n'aura pas condamné la pratique des assassinats par l'État français sous les ordres des assassins de l'Élysée.

L'ordre public secret du Conseil constitutionnel (1)


Le Conseil constitutionnel a rendu une décision récente au termes de laquelle la "loi" qui condamnait les contestations des "crimes contre l'humanité" autres que ceux définis à l'accord de Londres du 8 août 1945 est invalidée. Voici l'attendu qui a retenu mon attention:
« 192. Aux termes de l’article 11 de la Déclaration de 1789 : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ». L’article 34 de la Constitution dispose : « La loi fixe les règles concernant... les droits civiques et les garanties fondamentales accordées aux citoyens pour l’exercice des libertés publiques ». Sur ce fondement, il est loisible au législateur d’édicter des règles concernant l’exercice du droit de libre communication et de la liberté de parler, d’écrire et d’imprimer. Il lui est également loisible, à ce titre, d’instituer des incriminations réprimant les abus de l’exercice de la liberté d’expression et de communication qui portent atteinte à l’ordre public et aux droits des tiers. Cependant, la liberté d’expression et de communication est d’autant plus précieuse que son exercice est une condition de la démocratie et l’une des garanties du respect des autres droits et libertés. Il s’ensuit que les atteintes portées à l’exercice de cette liberté doivent être nécessaires, adaptées et proportionnées à l’objectif poursuivi. »


Le Conseil constitutionnel, dans un texte intitulé Libertés et ordre public publié sur son site avoue qu'il n'a jamais défini l'ordre public. Voici un extrait de ce texte:
 « Le Conseil constitutionnel n'a jamais défini ce qu'il entendait par ordre public...mais, à la lecture de ces décisions, il est facile de comprendre ce à quoi il fait référence. Il s'agit en fait d'une notion que tout le monde comprend sans qu'il soit besoin de lui donner une définition précise !
Il est cependant possible de dire que la définition donnée de l'ordre public par le Conseil constitutionnel est très proche de celle utilisée en droit administratif français depuis plus de deux siècles.
Elle recouvre « le bon ordre, la sécurité, la salubrité et la tranquillité publique ». En revanche, elle n'englobe pas, comme en matière administrative, « la dignité de la personne humaine », pour la raison que ce principe dispose d'un fondement spécifique dans le Préambule de la Constitution de 1946. »

Or, dans le préambule de la Constitution de 1946, il n'est pas mentionné "dignité de la personne humaine". Ni le mot "digne", ni le mot "dignité" n'apparaissent. En revanche ce préambule condamne des hommes (êtres humains) par catégories historiques et politiques. Alors que les condamnations ne peuvent être que judiciaires et individuelles. À supposer que la dignité de la personne humaine (dont découle le principe de personnalité des imputations d'infraction et d'infliction des peines y soit mentionnée), il est immédiatement bafoué par le même et incohérent préambule.

On pourra m'objecter que le préambule proclame les droits sacrés de l'homme. Mais ces droits sont des conséquences juridiques de la dignité de l'homme (dignité conséquence de la destinée transcendante de l'homme) et non la proclamation directe de la dignité de l'homme. Le texte du Conseil constitutionnel de 2003 est donc contraire à la vérité.

Notons aussi que le Conseil constitutionnel, dans le texte de 2003 qu'il met en ligne reprend la pauvre définition: l'ordre public c'est "le bon ordre, la sécurité, la salubrité et la tranquillité publique". C'est-à-dire une définition petite bourgeoise. Une définition pauvre, minable, sans vie. Car on pourrait imaginer que ce perpètrent de nombreux crimes impunis alors que l'ordre public conçu par nos bourgeois du Conseil constitutionnel et certaines infâmes juridictions administratives, leur permettraient de retrouver leurs puissantes limousines en bon état, avec au volant leurs chauffeurs propres, obéissants et soumis pour les amener prendre l'hélicoptère gueuletonner dans les restaurants de luxe pendant que des "assassinats ciblés" ordonnés par l'assassin de l'Élysée et des avortements se perpètreraient pas millions.

Mais ce n'est pas vrai, les juridictions administratives ont reconnu un ordre public immatériel fondé sur la dignité de la personne humaine.

L'ordre public est d'abord un ensemble de valeurs immatérielles ce que j'ai relaté sur mon blog. L'ordre public, c'est d'abord la vérité, ensuite la justice et, au fondement de la justice, la reconnaissance de la dignité de l'homme. Le texte publié sur le site du Conseil constitutionnel date des 2-5 octobre 2003. Il est donc erroné sur ce point car l'ordre public immatériel est reconnu par les juridictions administratives depuis au moins 1995 (arrêt commune de Morsang du 27 octobre 1995).

(à suivre si Dieu veut dans un texte où je démontrerai la cohérence de l'arrêt du Conseil constitutionnel avec le désordre de Nürnberg et l'incohérence du texte du Conseil constitutionnel avec le droit naturel)

26.1.17

Le pape se fait historien

Le pape François se fait historien. Voici ce qu'il dit de l'arrivée de Hitler au pouvoir au quotidien El Païs:

« Pour moi l’exemple type du populisme au sens européen du mot c’est l’année 1933 en Allemagne», ajoute-t-il sans prendre de gants. Après la crise, «l’Allemagne […] cherche un leader, quelqu’un qui lui rende son identité et il y a un petit gars, qui se nomme Adolf Hitler et qui dit « moi je peux, moi je peux »», poursuit-il. «Hitler n’a pas volé le pouvoir», souligne le Pape, «il a été élu par son peuple et après il a détruit son peuple».

Il  n'est pas vrai que l'Allemagne ait élu Adolph Hitler. Il a pris le pouvoir par une coalition. Il l'a gardé par un coup d'État.


« En dépit de la forte progression des nazis par rapport aux élections de novembre 1932, ces derniers, avec 43,9 % des suffrages [exprimés], n'ont pas atteint les 50 % comme Hitler l'avait espéré. Par conséquent, celui-ci a été contraint de maintenir sa coalition avec le Parti national du peuple allemand pour contrôler la majorité au parlement. »

Puis, il a perpétré un coup d'État. Une "loi" du 14 juillet 1933 interdit tout autre parti que le parti national-socialiste.

Le peuple allemand n'a jamais voté librement pour que Hitler puisse exercer le pouvoir.

Donc, Hitler a bien "volé" le pouvoir. Il n'a jamais été élu par 50 % des exprimés et encore moins des inscrits. Quant à la destruction du peuple allemand, ce n'est certes pas Hitler qui l'a perpétrée (même s'il y a concouru). Je rappelle les "forteresses volantes" qui massacraient, directement et indirectement, les enfants allemands par centaines de milliers. Je rappelle toute la propagande qui vise à faire honte aux Allemands et, en eux, à tous les Européens. La honte entraîne la dépression et l'inaction. Le pape est un Argentin. Sa cruauté pour les Européens dont il n'est pas et dont je suis, est particulièrement douloureuse à une âme pieuse.

21.1.17

Le point sur mon blog

Dorénavant, de fortes raisons de santé m'empêchent d'alimenter mon blog aussi souvent que je l'aurais voulu.

De ce blog, si quelqu'un l'a aimé, il lui restera des posts que je n'aurai pas le temps de réunir en un ou plusieurs livres.

J'ai tâché que mes lecteurs ne perdent pas leur temps en le lisant, mais que tout soit instructif.

Les sujets qui me semblent vraiment traités originalement et que mes lecteurs ne trouveront pas ailleurs sont en particulier (je rassemble mes souvenirs):

- L'ordre public universel et l'ordre public français
- La laïcité de l'État (cardinal Bertone)
- La liberté religieuse
- des sujets historiques (Chevalier de la Barre, Templiers, Inquisition etc.)
- Dans l'actualité, la dénonciation de l'incroyable malhonnêteté de la magistrature française (et des greffes français)
- la critique de l'ordre public frelaté de 1941-1948 (la loi doit être la même pour tous, distinction de l'ordre historique, de l'ordre de la moralité, de l'ordre juridique et à l'intérieur de celui-ci de l'ordre du droit pénal de celui des autres droits).
- convenance et compatibilité, cohérence entre le Syllabus et Dignitatis humanæ, entre Dignitatis humanæ et la doctrine du Christ-Roi. Ça, c'est entièrement original mais fondé sur une lecture attentive des documents.

Ceux qui l'auront aimé trouveront encore d'autres sujets.

Comme l'écrit Pascal, la balle n'est pas nouvelle, mais "Je place la balle autrement". Parfois, le fait de placer la balle autrement vous rend parfaitement original et instructif.

N'étant d'aucun parti, d'aucune école, je suis pour la vérité et la justice universelle. Le vrai, le beau, le bien.

Je crois que mon blog peut éclairer le débat. et faire repartir sur des bases entièrement nouvelles.

21 janvier 1793, assassinat de Louis XVI

Testament du Louis XVI du 25 décembre 1792:

« Au nom de la très Sainte Trinité, du Père, du fils et du Saint Esprit. Aujourd’hui vingt-cinquième de décembre mil sept cent quatre vingt douze.
Moi, Louis, XVIème du nom, Roi de France, étant depuis plus de quatre mois enfermé avec ma famille dans la Tour du Temple à Paris, par ceux qui étaient mes sujets, et privé de toute communication quelconque, même depuis le onze du courant avec ma famille. De plus impliqué dans un Procès dont il est impossible de prévoir l’issue à cause des passions des hommes, et dont on ne trouve aucun prétexte ni moyen dans aucune loi existante, n’ayant que Dieu pour témoin de mes pensées, et auquel je puisse m’adresser. Je déclare ici en sa présence, mes dernières volontés et mes sentiments.
Je laisse mon âme à Dieu mon créateur, et je le prie de la recevoir dans sa miséricorde, de ne pas la juger d’après ses mérites, mais par ceux de Notre Seigneur Jésus Christ qui s’est offert en sacrifice à Dieu son Père, pour nous autres hommes, quelque indignes que nous en fussions, et moi le premier.
Je meurs dans l’union de notre sainte Mère l’Église Catholique, Apostolique et Romaine, qui tient ses pouvoirs par une succession non interrompue de Saint Pierre auquel Jésus-Christ les avait confiés. Je crois fermement et je confesse tout ce qui est contenu dans le Symbole et les commandements de Dieu et de l’Église, les Sacrements et les Mystères tels que l’Église Catholique les enseigne et les a toujours enseignés. Je n’ai jamais prétendu me rendre juge dans les différentes manières d’expliquer les dogmes qui déchirent l’Église de Jésus-Christ, mais je m’en suis rapporté et rapporterai toujours, si Dieu m’accorde vie, aux décisions que les supérieurs Ecclésiastiques unis à la Sainte Église Catholique, donnent et donneront conformément à la discipline de l’Église suivie depuis Jésus-Christ. Je plains de tout mon coeur nos frères qui peuvent être dans l’erreur, mais je ne prétends pas les juger, et je ne les aime pas moins tous en Jésus-Christ suivant ce que la charité Chrétienne nous l’enseigne.
Je prie Dieu de me pardonner tous mes péchés, j’ai cherché à les connaître scrupuleusement, à les détester et à m’humilier en sa présence, ne pouvant me servir du Ministère d’un Prêtre Catholique. Je prie Dieu de recevoir la confession que je lui en ai faite, et surtout le repentir profond que j’ai d’avoir mis mon nom, (quoique cela fut contre ma volonté) à des actes qui peuvent être contraires à la discipline et à la croyance de l’Église Catholique à laquelle je suis toujours resté sincèrement uni de coeur. Je prie Dieu de recevoir la ferme résolution où je suis, s’il m’accorde vie, de me servir aussitôt que je le pourrai du Ministère d’un Prêtre Catholique, pour m’accuser de tous mes péchés, et recevoir le Sacrement de Pénitence.
Je prie tous ceux que je pourrais avoir offensés par inadvertance (car je ne me rappelle pas d’avoir fait sciemment aucune offense à personne), ou à ceux à qui j’aurais pu avoir donné de mauvais exemples ou des scandales, de me pardonner le mal qu’ils croient que je peux leur avoir fait.
Je prie tous ceux qui ont de la Charité d’unir leurs prières aux miennes, pour obtenir de Dieu le pardon de mes péchés.
Je pardonne de tout mon coeur à ceux qui se sont fait mes ennemis sans que je leur en aie donné aucun sujet, et je prie Dieu de leur pardonner, de même que ceux qui par un faux zèle, ou par un zèle mal entendu, m’ont fait beaucoup de mal.
Je recommande à Dieu, ma femme, mes enfants, ma Soeur, mes Tantes, mes Frères, et tous ceux qui me sont attachés par les liens du sang, ou par quelque autre manière que ce puisse être. Je prie Dieu particulièrement de jeter des yeux de miséricorde sur ma femme, mes enfants et ma soeur qui souffrent depuis longtemps avec moi, de les soutenir par sa grâce s’ils viennent à me perdre, et tant qu’ils resteront dans ce monde périssable.
Je recommande mes enfants à ma femme, je n’ai jamais douté de sa tendresse maternelle pour eux ; je lui recommande surtout d’en faire de bons Chrétiens et d’honnêtes hommes, de leur faire regarder les grandeurs de ce monde ci (s’ils sont condamnés à les éprouver) que comme des biens dangereux et périssables, et de tourner leurs regards vers la seule gloire solide et durable de l’Éternité. Je prie ma soeur de vouloir bien continuer sa tendresse à mes enfants, et de leur tenir lieu de mère, s’ils avaient le malheur de perdre la leur.
Je prie ma femme de me pardonner tous les maux qu’elle souffre pour moi, et les chagrins que je pourrais lui avoir donnés dans le cours de notre union, comme elle peut être sûre que je ne garde rien contre elle si elle croyait avoir quelque chose à se reprocher.
Je recommande bien vivement à mes enfants, après ce qu’ils doivent à Dieu qui doit marcher avant tout, de rester toujours unis entre eux, soumis et obéissants à leur mère, et reconnaissants de tous les soins et les peines qu’elle se donne pour eux, et en mémoire de moi. Je les prie de regarder ma soeur comme une seconde mère.
Je recommande à mon fils, s’il avait le malheur de devenir Roi, de songer qu’il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens, qu’il doit oublier toute haine et tout ressentiment, et nommément tout ce qui a rapport aux malheurs et aux chagrins que j’éprouve. Qu’il ne peut faire le bonheur des Peuples qu’en régnant suivant les Lois, mais en même temps qu’un Roi ne peut les faire respecter, et faire le bien qui est dans son coeur, qu’autant qu’il a l’autorité nécessaire, et qu’autrement, étant lié dans ses opérations et n’inspirant point de respect, il est plus nuisible qu’utile.
Je recommande à mon fils d’avoir soin de toutes les personnes qui m’étaient attachées, autant que les circonstances où il se trouvera lui en donneront les facultés, de songer que c’est une dette sacrée que j’ai contractée envers les enfants ou les parents de ceux qui ont péri pour moi, et ensuite de ceux qui sont malheureux pour moi. Je sais qu’il y a plusieurs personnes de celles qui m’étaient attachées, qui ne se sont pas conduites envers moi comme elles le devaient, et qui ont même montré de l’ingratitude, mais je leur pardonne, (souvent, dans les moment de troubles et d’effervescence, on n’est pas le maître de soi) et je prie mon fils, s’il en trouve l’occasion, de ne songer qu’à leur malheur.
Je voudrais pouvoir témoigner ici ma reconnaissance à ceux qui m’ont montré un véritable attachement et désintéressé. D’un côté si j’étais sensiblement touché de l’ingratitude et de la déloyauté de gens à qui je n’avais jamais témoigné que des bontés, à eux et à leurs parents ou amis, de l’autre, j’ai eu de la consolation à voir l’attachement et l’intérêt gratuit que beaucoup de personnes m’ont montrés. Je les prie d’en recevoir tous mes remerciements ; dans la situation où sont encore les choses, je craindrais de les compromettre si je parlais plus explicitement, mais je recommande spécialement à mon fils de chercher les occasions de pouvoir les reconnaître.
Je croirais calomnier cependant les sentiments de la Nation, si je ne recommandais ouvertement à mon fils MM de Chamilly et Hue, que leur véritable attachement pour moi avait portés à s’enfermer avec moi dans ce triste séjour, et qui ont pensé en être les malheureuses victimes. Je lui recommande aussi Cléry des soins duquel j’ai eu tout lieu de me louer depuis qu’il est avec moi. Comme c’est lui qui est resté avec moi jusqu’à la fin, je prie MM de la Commune de lui remettre mes hardes, mes livres, ma montre, ma bourse, et les autres petits effets qui ont été déposés au Conseil de la Commune.
Je pardonne encore très volontiers à ceux qui me gardaient, les mauvais traitements et les gênes dont ils ont cru devoir user envers moi. J’ai trouvé quelques âmes sensibles et compatissantes, que celles-là jouissent dans leur coeur de la tranquillité que doit leur donner leur façon de penser.
Je prie MM de Malesherbes, Tronchet et de Sèze [ses avocats], de recevoir ici tous mes remerciements et l’expression de ma sensibilité pour tous les soins et les peines qu’ils se sont donnés pour moi.
Je finis en déclarant devant Dieu et prêt à paraître devant Lui, que je ne me reproche aucun des crimes qui sont avancés contre moi. »


(via Jeune-Nation)

On reste ébloui devant la modération et l'élégance de ce testament d'un grand chrétien.

On comprend aussi André Chénier qui voulait cracher sur les noms et pétrir dans leur fange les monstres "barbouilleurs de lois" qui empêchaient un homme de pratiquer sa religion au nom de la liberté !

La vindicatio fait partie la justice. La faute entraîne la peine. 

13.1.17

Un grand classique judiciaire français

Lu sur le site du Parisien (via François Desouche):

« L’ancien maire adjoint PS d’Argenteuil et ex-conseiller de François Hollande devait être jugé en appel pour abus de bien sociaux ce jeudi et vendredi à Paris. Un procès qui n’a pas pu avoir lieu : la faute à la disparition étonnante des notes d’audience du jugement de première instance d’octobre 2015. »

Un grand classique de la magistrature et des greffes corrompus...

Disparition de dossiers, vols de dossiers.

La cour d'assises de Nîmes (magistrats ou greffe ?) m'avait volé un dossier d'indemnisation. Déclaré "perdu" par les magistrats corrompus.

Une autre fois, probablement un magistrat, avait volé et détruit un dossier dont j'avais interjeté appel. Il craignait probablement qu'en appel le dossier découvre sa négligence alors qu'en première instance, une présidente particulièrement violente, brutale et grossière avait condamné mon client dans la plus grande illégalité (mais l'appel en matière pénale met à néant le jugement de première instance, donc, mon client n'a jamais été condamné. Mon client a involontairement profité du vol magistrateux).

Une autre fois, un dossier ennuyeux pour le gérant de tutelle de mon père (400 000 FF "disparus", car j'avais refait les comptes, temps perdu et vol de ma vie par les greffes corrompus) avait été opportunément "perdu" par le greffe. Etc.

Pourquoi se gêner ?


La franc-maçonnerie et les femmes

(via Égalité et réconciliation)

Petite émission de propagande exclusivement laudative en faveur du recrutement de la secte maçonne.

Au frais du contribuable, cela va sans dire. Car Antenne 2 est financée par le contribuable.

On ne saura rien de la liste des maçonne. Qui est maçonne ? Des noms, nous y avons droit car nous voulons savoir à qui nous parlons.

Les services fiscaux sont pourris, les magistrats sont pourris, la télé est pourrie.

Rendez l'argent !

L'assassinat dans la logique du socialisme

Mon précédent post est titré "socialistes assassins !"

L'assassinat est dans la logique du socialisme. Si l'homme n'est qu'un rouage de la machine d'État qui le dépasse, alors on peut l'assassiner s'il empêche la machine de fonctionner.

Si l'homme en revanche est d'une éminente dignité: son destin est en Dieu. N'importe qui qu'il soit, il est sacré pour les autres hommes. Nul ne peut le sanctionner sans avoir observé les formes  notamment sans l'avoir entendu. Au moins entendu.

Nos magistrats socialistes ou gaullistes (ou démocrates-chrétiens) ne voient aucun inconvénient à sanctionner un homme sans l'avoir entendu en sa défense, ou, bien pire le tuer.

J'ai déjà écrit sur ce thème. Par exemple ici.

Plus profondément, il est logique que dans un système de culpabilité collective irréfragable (accord du 8 mais 45 prévoyant la condamnation pénale des personnes morales, avec impossibilité sérieuse  pour les membres déclarés "coupables" de par ce texte de se défendre, voire simplement d'exprimer leurs points de vue), que dans ce système de non-droit qu'est le système de 1941-1945, on en vienne à assassiner par l'intermédiaire de spadassins payés par le trésor public...

À remarquer que les socialistes ne sont pas les seuls assassins d'État. Les catholiques gaullistes, les démocrates-chrétiens ne sont pas en reste...

Il est donc bien plus probable d'aller chercher l'origine de ces pratiques dans l'idéologie "anti-nazi" et "anti-fasciste", ces abominations.

Socialistes assassins !

Lu sur le site du Figaro sur les débats de la "primaire" de gauche:

« S'ils ont tous [les candidats de gauche] validé le principe des «opérations Homo», les sept prétendants à l'investiture socialiste ont regretté que le chef de l'État ait confié des informations classées secret défense à des journalistes du Monde. »

Ces candidats à la candidature sont:

Valls,
Benhamias,
Montebourg,
Hamon,
Pinel, (candidate)
de Rugy,
Peillon

Sales assassins ! Vous tuez les enfants dans le ventre de leur mère par millions, vous tuez arbitrairement, mais vous poussez de cris hystériques pour la peine de mort. Gros et sales pervers !

J'ai la nausée.

Saloperies innommables ! Fils du diable !

Je rappelle que j'ai posté plusieurs textes sur les Assassins de la République.

Je constate que, hélas, hélas, hélas, Jean-Frédéric Poisson est, lui aussi, favorable aux assassinats ciblés.

Décidément je ne suis ni gaulliste, ni socialiste, ni démocrate-chrétien, ni communiste, ni lepeniste !

Je désapprouve haut et fort tout assassinat ciblé ou non ! Égalité ! Nous ne valons pas plus que les djihadistes. Nous ne valons pas plus que les victimes des services homicides la "République" infâme.

Égalité, légalité, constitutionnalité, droits de l'homme !

12.1.17

Wildenstein, la relaxe

Lu sur le site du Point (via F Desouche)


Naturellement, le dossier Wildenstein reste en réalité secret. Mais je note:

« Le fisc, alerté par deux veuves en secondes noces qui s'estimaient lésées, leur a adressé un redressement de plus d'un demi-milliard d'euros, qui fait encore l'objet d'un contentieux civil. »

Dans la beaucoup plus modeste affaire de La Suriane, le fisc, lui, a fait payer l'hériter pauvre et illégalement exclu au profit du riche Marie-Laure Merlin. Voir mes posts sur la question ici par exemple.

Là aussi deux poids et deux mesures car si j'avais été riche, nul doute que cette affaire n'en serait pas là.

Le président a tout de même déclaré:

« Il a reconnu que cette décision de relaxe pouvait donc être « incomprise », mais l’a expliquée par des lacunes de l’enquête et des déficiences législatives en matière de lutte contre la fraude fiscale. »

A beau parler qui vient de loin. Comme cette affaire reste secrète sur le plan juridique, le magistrat peut dire ce qu'il veut.

Il reste que une équipe composée de dizaines d’agents du fisc, de policiers spécialisés, de magistrats d’instruction a tout est examiné à la loupe. Les milliards de la "famille" Wildenstein. 

Tous des cons !

Cela illustre le fait que les magistrats peuvent, d'un trait de plume, effacer des centaines de milliers d'heure de travail. 

C'est tout de même très étonnant cette relaxe parce que la définition du délit de fraude fiscale est très large. Elle ne va pas s'interroger sur les trusts dont la France connaîtrait l'existence ou non. Elle va aux fait matériels quelle que soient les qualifications juridiques civiles qu'aient pu leur donner les délinquants. Les arguments du magistrats relaxeur sont très curieux.

La Suriane, dissimulation massive du chiffre d'affaires (Affairiste Marie-Laure Merlin)



Tout ça pour... 191,77 € par mois.

Sans compter l'arrêt du criminel Chalumeau.

2 400 hectolitres de vins, soient 240 000 litres de vin. Soient 320 000 bouteilles. Si on compte la bouteille à 5€ en moyenne, on arrive soient 1 millions six-cent mille euros de chiffre d'affaires par an (en ce non-compris l'huile d'olive, le blé, la chasse, le tourisme etc.) Mais il y a des bouteilles beaucoup dont le prix de vente est supérieur à 5 €... jusqu'à plus de 12 euros... J'estime que le chiffre d'affaire réel soit dépasser 2 millions d'euros. Donc, il doit y avoir dissimulation du bénéfice annuel de l'ordre de 1 500 000 €.

Bizarre, l'affairiste Marie-Laure Merlin et ses complices de la cour d'appel d'Aix-en-Provence trouvent normal un chiffre d'affaire de environ 600 000 € par an. Les services fiscaux et le tribunal administratif malhonnêtes ne trouvent de temps que pour attaquer celui qui est privé de ses biens par la malhonnête magistrature française.

Retour sur la photo du Domaine de Suriane (l'affairiste Marie-Laure Merlin dirigeante et passagère clandestine magistrateuse)

À bien observer la photo prise d'un drone des bâtiments du domaine de Suriane, on voit d'une part qu'une bonne parties des bâtiments ne figurent pas sur la photo : la cave, la bergerie (transformée en cellier), les porcheries etc.

Mais ce que l'on voit au premier plan installé devant le cellier de vente, c'est un grand bungalow touristique.

La Suriane a donc une activité touristique. Dont les résultats ne semblent pas figurer sur les comptes à dormir debout de la nommée Marie-Laure Merlin, la grosse affairiste bien introduite dans l'ignoble cour d'appel d'Aix-en-Provence.

Si un de mes bienveillants lecteurs trouve trace de cette activité sur les comptes de la société civile d'exploitation agricole La Suriane, qu'il veuille bien m'en informer.

Malhonnêtes magistrats français

Voici ce que la cour d'appel d'Aix-en-Provence a trouvé normal de "louer" 191,66 € par mois en rajoutant 500 000 € de réparation par son arrêt abominable du 24 juin 2008.

Regardez donc, photo prise par drone probablement, une partie des bâtiments (manquent au moins la cave et les porcheries, sans compter le moulin de Merveille qui fait partie de la propriété). Il manque en plus toute la terre agricole dont de la vigne (AOC coteau d'Aix-en-Provence) et des oliveraies, terre à blé etc.

191,66 € par mois ! Et Chalumeau qui y ajoute 500 000 € de capital en fraude des impôts ! Bravo Chalumeau ton audace maçonnique est sans borne. Sale pourriture de magistrat français malhonnête !

Images du domaine de Suriane (dirigé par l'affairiste Marie-Laure Merlin-)

On pourra avoir quelques idées de l'importance du Domaine de Suriane en consultant ce lien.

Ce domaine est "loué" à Marie-Laure Merlin sous couvert d'une société qui a d'ailleurs déposé le bilan en l'an 2000. Dépôt évidemment frauduleux (détournement massif du chiffre d'affaires), mais couvert par la magistrature corrompue.

Ma mère a conclu ce bail pour un prix de 191,66 € par mois (quelle moquerie !). Soyons sérieux: elle voulait faire don de l'usage de la Suriane à mes cinq frères membres de la société civile d'exploitation agricole La Suriane. Mes cinq frères étaient: Louis, Henri, Jacques, André, Michel. J'ai été exclu dès le départ. La cour d'appel d'Aix-en-Provence par son arrêt abominable du 24 juin 2008 a condamné ma mère, propriétaire du domaine, à verser 500 000 € de capital à la société SCEA LA SURIANE, dirigée à son seul profit par Marie-Laure Merlin, la grosse affairiste, gonflée aux euros et aux dollars (centaines de millions). Marie-Laure Merlin dirige la société au seul profit de Marie-Laure Merlin...

Cet arrêt  magistrateux permet au dirigeant de la société de bénéficier de 500 000 € en franchise frauduleuse d'impôt, de droit d'enregistrement notamment...

Le pape demande au cardinal Burke de nettoyer l'Ordre de Malte de la maçonnerire Quand nettoirera-t-on la Suriane ?

Simple soldat de deuxième classe, je suis signalé aux maçons comme anti-maçon.

Les magistrats francs-maçons, les avocats francs-maçons m'ont à l'œil. Ils n'ont pas manqué et ne manqueront pas de me "régler mon compte" dès que les occasions présenteront. Elles se sont d'ailleurs présentées dans ma biographie de nombreuses fois depuis plus de trente ans. C'est pourquoi, héritier d'une fortune de plusieurs dizaines de millions d'euros, je cours après 50 euros.

Combien il est réconfortant de voir que le pape donne pour mission au cardinal Burke de "clean out", nettoyer sans rien laisser de sale, l'ordre des Chevaliers de Malte infiltré par la maçonnerie !

Ce que je retiens surtout de ce discours publié en partie sur le Forum catholique, c'est cela:

Le Pape François a déjà critiqué l'influence destructrice des francs-maçons et leur hostilité envers l'Église. Au cours de son discours aux jeunes, lors de sa visite apostolique à Turin, le Saint-Père a parlé des "anticléricalistes et satanistes maçonniques"
Le pape confirme que la maçonnerie est sataniste.

Qui dit satanisme, dit homicides, mensonges et crimes abominables: pédophilie, tortures et assassinats d'enfants, assassinats suivi d'anthropophagie... viol de la liberté religieuse...

Le pape est dans son rôle. Merci pape François pour votre courage !

Mais que fait l'État contre la maçonnerie ? Que fait-il contre cette secte évidemment incompatible avec l'ordre public ?

Historiquement, de Gaulle a restauré la maçonnerie en France. Il l'a fait par l'ordonnance sur le prétendu rétablissement de la légalité républicaine du 8 août 1944, abolissant implicitement la loi du 13 août 1940 sur les sociétés secrètes. En réalité cette ordonnance de 1944 ne rétablissait rien du tout. Elle établissait une dictature qui dure encore.

Donc l'État ne fait rien en raison de l'ordre public américano-gaullo-communiste.

De plus, j'ai entendu dire que bon nombre de magistrats étaient maçons, bon nombre de fonctionnaires, y compris du fisc, sont maçons, l'ancien Premier ministre Manuel Valls est maçon, l'actuel Premier ministre est maçon etc. Je sais même que le cardinal Barbarin, primat des Gaules, a choisi comme avocat André Soulier, un avocat officiellement franc-maçon.

Si ces magistrats et ces hommes occupants de hautes fonctions sont maçons, si le primat des Gaules choisit un avocat officiellement maçon, ils n'agiront pas contre la maçonnerie. Ils agiront contre l'ordre public...

D'ailleurs je vois la main de la maçonnerie dans l'ascension de Marie-Laure Merlin avec l'aide du malhonnête Chalumeau... je la vois aussi dans l'affaire de la taxe foncière de La Suriane... Je la vois aussi dans une décision de la malhonnête cour d'appel de Grenoble.

Ainsi, la maçonnerie s'emploie-t-elle à accomplir de grands crimes, mais elle peut aussi en commettre de moindre importance...

11.1.17

Travestissons, travestissons, disent les magistrats français

Se croyant bien à l'abri de la curiosité du public derrière la technicité de la matière, la magistrature française travestit.

Rien n'est plus simple pour un magistrat, qui a toujours le dernier mot, de travestir les moyens et arguments d'un justiciable. D'un justiciable qu'il a dans le nez, ou qu'ils a reçu instruction de "saquer".

La confrontation entre le jugement du tribunal administratif du 2 octobre 2015 et mon mémoire du 6 mai 2013 est édifiante.

Par exemple, j'ai écrit que l'arrêt du 24 juin 2008 avait réduit à néant la valeur du domaine de Suriane. Que donc, en prélevant un impôt sur une valeur nulle, l'Administration violait le droit de propriété protégé par la Convention européenne des droits de l'homme.

J'ai écrit que la seule voie (facultative) qui s'ouvrait à l'administration pour se faire payer était l'article 815-17 du code civil. Le juge a fait semblant de lire que je prétendais cette voie obligatoire.

Je n'ai jamais reçu d'avis de taxe foncière (qui permet au contribuable de contester éventuellement l'assiette). Je ne pouvais donc faire l'objet d'un avis à tiers détenteur. Le tribunal s'embrouille pour faire croire que je pouvais contester un avis de taxe foncière dont je soulignais par ailleurs l'inexistence. Faussaires !

J'ai écrit que je n'avais jamais reçu d'avis de taxe foncière (et pour cause, je ne suis pas inscrit sur le rôle). Le tribunal a fait semblant de croire que je contestais l'obligation de payer les taxes foncières établies au nom de ma mère avant son décès (ma mère décédée le 5 décembre 2008)...

Mais inutile de continuer à argumenter. Lisez-donc mon mémoire, vous y découvrirez que le tribunal a travesti toutes mes demandes, tous mes moyens et tous mes arguments.

Faussaires, voleurs, parjures !

Marie-Laure Merlin, passagère clandestine judiciaire

Mes lecteurs pourront trouver d'anciens posts sur l'affairiste Marie-Laure Merlin. Marie-Laure Merlin la passagère clandestine (celle qui voyage sans payer son billet) du fait des malhonnêtes magistrats français. Vous comprenez maintenant, chers lecteurs, pourquoi maître Scipilliti s'est suicidé, pourquoi maître Delcroix fut, comme moi, furent contraints à la démission et pourquoi ces mêmes magistrats ont fait jeter maître Ripert dans un hôpital psychiatrique ?

Voici l'arrêt de l'ineffable cour d'appel d'Aix-en-Provence du 24 juin 2008.

Voici le bail de 1992 qui permet à cette grosse affairiste, qui se fourre au black des centaines de milliers d'euros dans la poche tous les ans sous le regard attendri des services fiscaux des sieurs Maresq (vieille famille française) et Canton. Ce détournement du chiffre d'affaires se fait au détriment des associés, des héritiers et du fisc (qui en est fort satisfait, du moins ses agents). Cependant que moi je suis contraint à payer pour elle la taxe foncière par les services fiscaux corrompus.

Voici aussi une page très intéressante avec photos du domaine ("loué" 2 300 € par an, 191,66 € par mois, avec la complicité du nommé Chalumeau, président de chambre à la cour d'appel d'Aix-en-Provence) lors d'une petite fête organisée par ses amis maçons de gauche sur le monde ouvrier de Saint-Chamas. La multi-multi-millionnaire (probablement des centaines et des centaines de millions d'euros), grasse avare rapace, se penche sur le monde ouvrier. Quelle rigolade ! Quelle dérision ! Chalumeau devait se cacher quelque part. On ne le voit pas sur les photos...

J'aime ce poème d'André Chénier du poète contre-révolutionnaire et royaliste. Né en 1762, guillotiné en 1794, ce franco-grec (sa mère était grecque) écrivait quelques jours avant de mourir sous les coups des révolutionnaires:

« Justice, Vérité, si ma main, si ma bouche,
Si mes pensers les plus secrets
Ne froncèrent jamais votre sourcil farouche,
Sauvez-moi. Conservez un bras
Qui lance votre foudre, un amant qui vous venge.
Mourir sans vider mon carquois !
Sans percer, sans fouler, sans pétrir dans leur fange
Ces bourreaux barbouilleurs de lois !
Ces vers cadavéreux de la France asservie, »
(…)
Pour descendre jusqu'aux enfers
Nouer le triple fouet, le fouet de la vengeance
Déjà levé sur ces pervers ?
Pour cracher sur leurs noms,
pour chanter leur supplice ?
Allons, étouffe tes clameurs ;
Souffre, à coeur gros de haine, affamé de justice.
Toi, Vertu, pleure si je meurs. »

Pétrir dans leur fange, dans laquelle ils se complaisent, ces monstres barbouilleurs d'arrêts au service d'affairiste et de leurs comptes en banques et de leurs trafics de produits agricoles divers ?

Quel bonheur de pouvoir pétrir dans leurs fanges, grâce à Internet et à Google, ces monstres barbouilleurs d'arrêts ! Quel bonheur de servir la vérité et la justice !

10.1.17

Le bail de La Suriane (retour sur l'AFFAIRISTE MARIE-LAURE MERLIN)

Voici le bail de La Suriane.

Tout le monde peut voir qu'il s'agit d'un bail fictif. On sait que le nommé Chalumeau et ses complices (Florence Delord et Jean-Luc Guéry) ont fondé leur décision sur ce bail pour condamner ma mère à verser à mes frères, et par eux, à l'affairiste Marie-Laure Merlin une somme de 500 000 €.

Du vol, de l'escroquerie magistrateuse.

Ceux qui voudront avoir connaissance de l'arrêt et de l'importance du domaine de Suriane pourront toujours consulter mon blog grâce à ce lien. Ils saisiront immédiatement la malhonnêteté des magistrats.

http://denismerlin.blogspot.fr/search?q=Suriane

Retour sur l'affaire Scipilliti

Maître Scipilliti s'est suicidé après avoir tiré sur le bâtonnier. Maître Ripert a dit que les magistrats étaient "malhonnêtes", maître Delcroix a été contraint à la démission. Moi-même j'ai été rendu malade par les magistrats. Ce sont des affaires connues.

Maître Scipilliti disait que l'avocat n'était rien. En effet, le magistrat de mauvaise foi peut anéantir en trois lignes un travail de plusieurs dizaines ou centaines d'heures.

Quand je croyais encore à l'honnêteté des magistrats j'avais rédigé une assignation. J'étais représenté par un avocat parce que le bâtonnier (j'étais alors avocat), par une décision tyrannique, avait exigé que je ne plaide pas moi-même mes affaires. Il n'y avait aucun droit. C'était une méchanceté. C'est d'ailleurs une des raisons pour lesquelles je n'ai pas souhaité l'honorariat: être libéré de la tyrannie de la bâtonnerie.

Voici probablement l'ordonnance de référé (je n'ai pas les moyens de me procurer le logiciel paperport). En tous cas j'atteste que le juge prévaricateur avait jugé contre la loi et contre l'évidence qu'il était incompétent.

Car le président du tribunal de grande instance statuant comme en matière de référé a compétence exclusive pour les affaires de gestion de bien indivis. Il est évident que si, par exemple, l'instance en partage n'aboutit pas, l'indivision restera. ll faut donc une décision définitive qui ne dépende pas des aléas de l'éventuelle instance en partage.

Tout juriste versé dans les affaires d'indivision et de partage le sait. Le président le savait. Mais... Il avait reçu instruction de me donner tort, donc en trois lignes et de mauvaise foi, il s'était déclaré incompétent.

Ce genre de décision nuit non seulement aux parties, mais encore à l'ensemble de la communauté des hommes. Car les gaspillages et les instances "gratuites" vont dès lors se multiplier et la pagaille s'amplifier au détriment du bien commun. Les appartements à l'abandon, squattés ou détruits, les biens immobiliers qui ne servent pas au bien commun. Les magistrats corrompus s'en moquent. À la fin du mois, ils ont leur traitement et la considération de leur amis, sans compter la Légion d'honneur comme le nommé Beuzit de la cour d'appel de Rennes...

Je comprends donc maître Scipilliti qui a dû se retrouver dans le piège de la bâtonnerie perverse et des juges corrompus. Il a dû déplaire. Dès lors, il était sur la liste noire. Il n'avait jamais raison et son travail était systématiquement envoyé à la poubelle.

Voilà l'œuvre des honnêtes juges français.

Par ce genre de décisions, la magistrature prive le trésor public de substantielles recettes. Qu'importe ! la haine passe bien avant la justice devant les tribunaux français. D'ailleurs, quand il le faut, les malhonnêtes juges français savent pratiquer directement la fraude fiscale au profit de leurs copains maçons. Alors indirectement, il s'en moquent encore plus... Le manque à gagner pour le trésor public en raison de la violation de la loi ? Ils s'en moquent, mais à un point ! Ce souci ne leur traverse même pas la tête.

9.1.17

Avis d'un médecin sur la suvenance du cancer

Lu sur Santé corps esprit, un site de médecins dissidents:

Citation du docteur Éric Ménat, un médecin compatissant:

« Je peux affirmer que plus de 95 % des patients que j’ai vus en consultation pour un cancer sont des gens qui ne s’occupaient pas d’eux, qui ne s’écoutaient pas. Souvent, ils pensaient aux autres avant eux-mêmes et jamais ils n’écoutaient leur corps, leurs émotions ». (…)
« Plus on a de bonnes raisons de vivre, plus on s’épanouit dans sa vie quotidienne et plus le risque de maladie dégénérative diminue. Le lien social est donc pour beaucoup dans la prévention ou le traitement du cancer ».
Bien sûr, selon ce que le monde médical semble affirmer, le cancer ne serait pas directement lié au stress. Reste la question de savoir s'il y est lié indirectement.

Je ne suis pas un fanatique du site Santé corps esprit. Bon nombre de leurs idées ne sont pas les miennes. Mais il me semblait important de réfléchir à l'expérience de ce médecin qui établit un lien entre attitude générale du malade face à la vie sociale et survenance d'un cancer. Ce n'est pas la psychologie qui induit le cancer, mais les habitudes concrètes dans la vie (défaut de soin personnel, trop grande dureté avec soi-même, isolement...) qui induisent le cancer. Ces attitudes concrètes et ces situations subies face à la vie sont évidemment induites par la psychologie ou influencent la psychologie. Donc le cancer n'est pas une maladie psychosomatique, mais...

Statistiquement, le médecin prétend que la maladie serait induite indirectement par la psychologie du patient dans 95 % des cas.

Thèse à prendre avec prudence, bien sûr...

Quand je serai mort

Il est évidemment facile à la mafia des juges français d'éliminer un avocat (ils ont éliminé maître Delcroix, ils ont presque éliminé maître Ripert, pourtant proche de leurs idées, il m'ont éliminé, ils ont éliminé maître Danglehant, je m'excuse de ne pouvoir tous les citer, il y en a certainement d'inconnus).

Je demande donc à ceux qui liront les décisions de "justice" des magistrats français corrompus de toujours tenir compte de la mauvaise foi des magistrats et d'aller vérifier leurs dires dans les pièces authentiques et les conclusions qui ont été prises pour juger de mes arguments et mes moyens.

Nouvelles révélations sur comment la mafia des magistrats français m'a spolié (suite et pas fin)

Comme la magistrature me condamne systématiquement, très probablement en raison de mes idées politiques et religieuses, ma retraite est saisie par la société Eiffage.

Je livre au public l'arrêt de la cour d'appel d'Aix-en-Provence (composition Jean-Paul Lacroix-Andrivet, président, Jean Veyre, conseiller, Olivier Brue, conseiller) qui m'a condamné en faveur de la société Eiffage.

Je livre aussi au public mes conclusions telles qu'elles ont été vraiment prises.

On constatera que la cour d'une part travestit mes moyens de défense. Coup classique de la magistrature corrompue. J'ai invoqué l'inversion de titre qui faisait, selon l'ancienne jurisprudence, qu'un titre notarié ou judiciaire se prescrivait par trente ans (ainsi une pension alimentaire constatée par un titre judiciaire se prescrivait par trente ans au lieu de cinq ans régime de l'obligation alimentaire). La nouvelle jurisprudence a aboli l'inversion des titres et une obligation contractuelle, même constatée par un titre authentique, suit maintenant le régime légal. Il n'y a plus d'"inversion des titres".

Les malhonnêtes magistrats français sont allés jusqu'à prétendre qu'un titre non-signifié était opposable à l'héritier. Il faut aller très loin dans la mauvaise foi pour oser écrire cela.

Tout le reste de l'arrêt est à l'avenant. Même parfait cynisme dans le travestissement des mes moyens, de tous mes moyens.

Chaque fois, moi le débiteur pauvre, j'ai été condamné à payer les avocats de Eiffage. Ici, trois mille euros. Salauds !

On constatera que pour me ridiculiser l'équipe de magistrats corrompus m'attribue de mauvaise foi et avec haine une erreur de droit grossière qui consistait à confondre la nouvelle prescription générale (5 ans) avec l'ancienne prescription des dettes commerciales (ici 1 an  pour ouvrages faits).

Or la société Eiffage est restée inactive plus de 9 ans...

Celui qui lit l'arrêt se dit: ce Denis Merlin, tout de même quel imbécile, quel ignare ! Car ce sont les magistrats qui ont le dernier mot. Heureusement maintenant il y a Internet. Ils n'ont plus tout à fait le dernier mot.

Mes lecteurs auront compris pourquoi je ne pouvais plus rester avocat, étant sur la liste noire de la mafia des magistrats corrompus.

Dans un prochain post j'expliquerai, à la grâce de Dieu, comment la cour d'appel de Grenoble et ses magistrates parjures m'ont condamné à 1 500 € d'indemnité d'article 700 en faveur de la société Eiffage tout en constatant que le premier juge avait grossièrement violé la loi à mon encontre et en prétendant d'autre part que je n'avais pas la preuve ce que j'avançais (et que ne démentait pas l'adversaire) alors que la preuve était dans le dossier.

Je rappelle que maître Ripert, avocat de gauche, a dénoncé les magistrats incompétents (à mon avis l'incompétence est souvent affectée), les magistrats tortionnaires (c'est avéré, voir par exemple la décision de concurrence déloyale, de fraude fiscale et de torture d'une vieillarde du 24 juin 2008). Maître Ripert a dénoncé aussi les magistrats malhonnêtes (ça c'est indéniable et se constate facilement).

Il est évident que l'attitude systématiquement haineuse de la magistrature du mur des cons ne pouvait avoir que des répercutions sur ma santé...

L'École nationale de la magistrature a fait faillite. Il faut la liquider.

8.1.17

Double morale



Oui, c'est ça. Double langage, double morale, fraternité invoquée pour haine pratiquée.

Comment j'ai été spolié par la magistrature française (suite et pas fin)

À la suite de mes posts sur ma spoliation par la magistrature française ici, ici, ici, ici, ici, ici, ici, ici, ici, je publie ce nouveau post qui, hélas, ne clôt pas la liste des spoliations par les malhonnêtes magistrats français.

Lorsque mon père est mort, les parts de société de la SCI NOTRE DAME détenues par ma mère tombaient en indivision.

Le code civil (article 815-3 du code civil et article 724 du même code) interdit (implicitement) de donner des biens indivis.

Or en le cas de ces parts, ma mère ne pouvait donner ces parts qui ne lui appartenaient pas. Pourtant le nommé Vignal, notaire à Marseille fit donner ces parts sociales par ma mère à Henri Merlin, un de mes frères.

Il s'agit d'une faute professionnelle, d'un vol.

Mais la magistrature française validera cette donation malgré la loi.

Voici l'arrêt de la cour d'appel et l'arrêt de la cour de cassation.

On notera l'arbitraire de la cour de cassation qui statue contre la loi, mais aussi contre la justice naturelle. Le seul motif de la cour de cassation tient en deux mots: "cette règle". C'est beau la cour de cassation qui ne motive pas ses arrêts.

On constate combien il est facile de frauder en mettant des biens indivis ou futurs indivis au nom d'une personne, sans que les spoliés puissent faire quoi que ce soit. On constate aussi combien la magistrature l'encourage. Elle encourage le vol.

(À suivre car la probité de la magistrature français est inépuisable)

Recherches américianes sur le Suaire



Il est évident, rationnellement évident, que le suaire est authentique. Cette affirmation n'a rien à voir avec la foi.

Comme si Dieu nous disait puisque certains d'entre vous n'ont pas foi en ma parole, je les prie d'avoir au moins foi en leur raison.

Le récit historique de la vidéo me semble un peu sujet à caution.

Une explication sur la Passion: Ponce-Pilate a fait flageller Jésus dans l'espoir que les fanatiques obtus (que l'on ne doit pas assimiler aux juifs de Jérusalem et encore moins à ceux extérieurs à Jérusalem) qui exigeaient la mort de Jésus se calment, peut-être aient pitié. Pauvre Ponce-Pilate ! Le mal appelle le mal. "Abyssus abyssum appellat." "Plus lâche que Ponce-Pilate, plus vil que Judas" (Paul Claudel) je n'ai aucun titre à me moquer de ce pauvre type de Ponce-Pilate.

Le parallèle entre les gnostiques et la tridimentionalité du Suaire me semble fantaisiste, mais elle permet d'attaquer les orthodoxes, c'est le but. Ce discours viole la liberté religieuse en discriminant selon les croyances. Mais, c'est pas grave, c'est contre les catholiques...

Les gnostiques n'ont pas disparu. Naturellement la croyance en l'authenticité du Suaire n'a rien à voir avec la foi. On peut donc passer sur les explications historiques hasardeuses de la vidéo.

La datation par le carbone14 prouve que... la datation par le carbone14 ne donne aucune certitude (nous n'avons pas l'expérience de centaines d'années, donc le carbone14 ne donne aucune certitude scientifique. C'est la loi fondamentale de la science expérimentale).

Si l'Église n'a pas de thèse à propos du Suaire, c'est parce qu'elle est gardienne de la foi et des mœurs. Elle n'a donc rien à dire sur un événement historique qui n'est pas de foi (authenticité de la relique).

Sous ces réserves (et d'autres que l'on pourrait émettre), on peut regarder la vidéo assez intéressante, mais d'un esprit hostile aux croyants catholiques. Vidéo d'inspiration gnostique.

(Via le Forum "catholique" où sévissent des francs-maçons)

7.1.17

L'IEP contre la vie privée

Dans la série, État français = État mafieux, je lis qu'un nommé Darío García de Viedma a commis un mémoire sur l'abbaye de Fontgombault.

Selon le père abbé du monastère:

« Dario a aussi relevé les liens familiaux entre certains moines et les milieux liés à la FSSPX, comme Civitas, ou l'abbé Régis de Cacqueray, devenu moine capucin. »

Dario Garcia de Viedma viole la vie privée des hommes, les droits de l'homme.

Dans son esprit, il est un ennemi des moines, il est "de gauche", il est pour le bien, donc tout lui est permis. Paranoïa et mégalomanie vont très bien à l'IEP. Mais cela ne marche pas comme cela.

Convention européenne des droits de l'homme:

« ARTICLE 8 Droit au respect de la vie privée et familiale 1. Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, (…) »


Ce petit monsieur se croit tout permis. Dans un État de droit, il serait déjà poursuivi.

Et son directeur aussi.

Comment la magistrature française m'a spolié (suite)

Mes lecteurs trouveront sous ce lien un jugement de refus de partage au motif que l'inventaire n'était pas terminé. Mais aucune disposition de loi ne prévoit qu'il est interdit de demander le partage avant que l'inventaire ne soit établi. D'ailleurs, les opérations d'inventaire font partie des opérations de partage.

D'ailleurs à Rennes, le nommé Beuzit me refusera l'inventaire en prétendant que c'était une demande abusive et m'a condamné à 800 € d'amende dans l'affaire de la mort de ma fille. Donc, on peut partager sans inventaire, du moins si l'on en croit Beuzit. Il choisira de traiter mes conclusions par le mépris et, à l'audience, m'interdira de parler car il savait que, si je parlais, j'allais le démasquer. Beuzit, de mauvaise foi, dira que je conteste l'ordre des successions. Mensonge et accusation mensongères. L'inventaire qui est prévu par le code (article 600 du code civil) est signé par toutes les parties et engage les copartageants, c'est pourquoi il est nécessaire. D'ailleurs avant l'inventaire l'usufruitier ne peut entrer en jouissance. Mensonge et mauvaise foi. Diffamation. L'arrêt de Beuzit est un tissu de mauvaise foi et de mensonges. Parjures !

Mes lecteurs trouveront ici un arrêt de la cour d'appel de Nîmes refusant une expertise en vue non seulement de l'inventaire, mais aussi de pratiquer la déclaration du succession. Sur ce point la cour s'est dispensée de répondre. Mais je sais que les magistrats français aiment à pratiquer la fraude fiscale lorsque leurs copains en profitent.

Pour rejeter ma demande, le nommé Deltel fera semblant de croire que je demandais une expertise pour la confection des lots (coup classique, les magistrats travestissent la demande de celui qu'ils veulent  de mauvaise foi débouter). La confection des lots est un troisième opération du partage (inventaire, détermination des droits des parties, confection des lots).

On notera, qu'avec une régularité d'horloge, la magistrature française me déboute.

L'extrême mauvaise foi des magistrats français éclate dans ces quatre décisions.

C'est pourquoi, outre que je n'en avais pas les moyens, à la mort de ma mère, je n'ai rien demandé...

Ils ont réussi nos probes magistrats français !

(À suivre, si je peux, car la probité des magistrats français est inépuisable).

Jugement nul à Quimper

Lu sur le site François Desouche tiré d'un article de Ouest-France:

« Jeudi à la barre du tribunal correctionnel de Quimper (Finistère), il s’embrouille dans des explications confuses sur sa vision de la France et de la bi-nationalité. [...] Est-ce qu’il ne s’agit pas d’une stigmatisation d’une certaine partie de la population en fonction de ses origines ? » « Je ne critique pas les étrangers, mais… » Elle le coupe : « Vous critiquez les Arabes. » Lui : « J’ai des amis arabes. » La présidente : « On a tous un ami arabe. »
Des tomates hollandaises meilleures que celles d’Afrique du Nord à l’une de ses filles insultée à Rennes parce qu’elle portait une jupe, le racisme ordinaire s’immisce dans chacune des paroles de cet ancien colleur d’affiches du Front national à Quimperlé. « Je pensais qu’on était dans une société de libre expression. Quand les rappeurs disent qu’il faut tuer des flics… » « Ils sont condamnés » le coupe de nouveau la présidente. [...]
3 mois de prison avec sursis et 5 000 euros d’amende. »

La magistrate haineuse et violente coupe constamment le prévenu. Elle se croit dans un débat télévisé où le présentateur coupe ceux qui ne lui plaisent pas. Ou dans une discussion entre copines où, dans l'entre soi, on se déchaîne contre ceux que l'on a dans le nez.

Mais nous ne sommes pas dans un débat télévisé, nous sommes à la barre d'un tribunal. Il s'agit de l'honneur, de la fortune, de la liberté d'un homme. La magistrate condamnera cet homme à de la prison.

Mais ce jugement est nul puisque l'on ne sait et l'on ne saura jamais ce que le prévenu aurait dit pour sa défense s'il avait pu parler. Je connais les mœurs des magistrats français. Beuzit a usé de même procédé contre moi. Il m'a condamné à une amende après m'avoir interdit de parler dans l'affaire consécutive à la mort de ma fille Hélène.

En outre, il est sidérant de voir un homme condamné à de la prison pour avoir écrit que les tomates hollandaises lui paraissaient meilleures que celles d'Afrique du Nord et avoir raconté que quelqu'un avait insulté sa fille parce qu'elle portait une jupe... Si ça c'est "raciste"™ !

5.1.17

MARIE-LAURE MERLIN l'affairiste de la Suriane et le kbis de la SCEA LA SURIANE

Le Kbis de la SCEA LA SURIANE révèle que je ne suis pas associé de cette société.

Cependant l'affairiste Marie-Laure Merlin, la favorite de la cour d'appel d'Aix-en-Provence et des services fiscaux de Istres (le nommé Maresq en particulier), me fait tenir les comptes et fait semblant de croire que je suis associé.

Menteuse, voleuse !

Maresq est l'individu qui a fomenté avec la complicité du tribunal administratif de Marseille le paiement par moi au profit de Marie-Laure Merlin l'affairiste peut-être milliardaire en tous cas multi-millionnaire de la taxe foncière. Les falsifications de Maresq et du tribunal administratif sont bien visibles si on lit l'arrêt mafieux de la cour d'appel d'Aix-en-Provence du 24 juin 2008. Et mon post sur l'affaire devant le tribunal mafieux de Marseille. (Les magistrats de ces tribunaux se croient, et sont de fait, à l'abri des regards indiscrets du fait de la technicité et de la complexité de la matière).

La cour d'appel de Nîmes apporte son concours à l'expropriation sans indemnisation pour cause d'utilité privée

Lorsque mon père est mort, il était propriétaire de parts dans une société qui lui pemettait de toucher les loyers de la Clinique Vert-Coteaux (7 000 mètres carrés de construits, sur environ 5 000 mètres carrés de construits, sur une propriété de 2,4 ha dans Marseille. Loyers 850 000 € par an environ (étant tenu à l'écart, je ne sais le montant avec précision, mais c'est de cet ordre).

Notre père, qui était seul associé avec Henri Merlin et notre mère, avait prévu, en cas de son pré-décès, que je serai exclu de cette société (article 1843-4 du code civil). Si la loi me faisait héritier, mon père me déshéritait, en accord avec ma mère, des parts de cette société. En pratique, il laissait la société à Henri Merlin exclusivement.

La loi prévoit que l'associé exclu a droit avant tout partage (article 1870 et 1870-1 du code civil) à la valeur des parts qui doit lui être payée par la société. Une société honnête doit donc chercher à indemniser le ou les héritiers exclus.

Enfin c'est ce qui est prévu par la loi et par l'honnêteté. Mais cette loi ne s'applique pas devant les magistrats français corrompus.

Car devant eux, le spolié, l'exclu devient le casse-pied sur lequel on doit cracher et qu'on doit condamner à des indemnités d'article 700 code de procédure civile pour le décourager. Rappelons que l'article 700 doit être fondé sur l'équité. L'équité de magistrats français corrompus. Laissez-moi rire.

C'est la spoliation pour cause d'utilité privée sans indemnité préalable ni postérieure (l'exclu a droit à des attendus méchants et à se faire condamner à des articles 700)

Voici pour preuve l'arrêt de la cour d'appel de Nîmes du 14 juin 2005 où, moi le pauvre la cour m'a condamné à  6 000 € d'article 700 (valeur 2005) dans une affaire très simple (la brièveté de l'arrêt l'atteste) dans laquelle mon adversaire est 1)multi-multi millionnaire et 2) ma débitrice de par le droit naturel et la loi des hommes.

Noter que dans cet arrêt la cour annihile la portée des articles 1870 et 1870-1 du code civil à mon préjudice. Car si un héritier ne peut exercer les droits qu'il tient de la loi (article 724 du code civil) qui pourra les exercer ? Puisque les deux associés restants sont eux aussi héritiers et ont intérêt à ne pas indemniser... Il n'y aura jamais application des articles susvisés. On n'est jamais trop complaisant pour les voleurs à la cour d'appel de Nîmes.

La cour de cassation, (le 23 janvier 2008 mes droits à indemnisation étaient ouverts depuis plus de huit ans et j'aurais dû être indemnisé spontanément par la société) a confirmé, pour d'autres motifs, l'arrêt du nommé Bouyssic. Bouyssic si léger en droit. La cour de cassation a considéré qu'on ne pouvait pas demander de provision dans ce genre d'affaire. Pourquoi ? C'est écrit dans la loi ? Non ! C'est parce que tel est le bon plaisir de la cour de cassation. Tant pis pour les spoliés et vivent les voleurs...

C'est l'expropriation pour cause d'utilité privée sans indemnité ni préalable ni postérieure  avec méga article 700 sans aucune justification contre le créancier pauvre en faveur de la débitrice riche. C'est un des chefs-d'œuvre de la magistrature française. Chapeau bas, messieurs ! Quels artistes que nos magistrats ! Quels malhonnêtes aussi !

(À suivre, car la probité des magistrats français est inépuisable)

4.1.17

Non aux assassinats par les Tueurs de la République !


Toujours les assassinats...

D'abord, cela ne s'est pas toujours fait. Jusqu'à l'arrivée du général de Gaulle au pouvoir (dernier ministère de la IVème République), cela ne se faisait pas. C'est un héritage du Bureau commun d'action et de renseignement (BCRA) de Londres. Donc, cela ne se fait que depuis la Résistance, avec un interruption entre 1946 et 1958 (voir Les Tueurs de la République).

Sous la IIIème République rien de tel ne s'est fait. Le Président de la République n'enfreignait pas l'ordre public sur ce point.

On ne peut admettre l'assassinat comme moyen d'action politique nationale ou internationale.

Des assassinats aux frais des contribuables et non-poursuivis par la magistrature corrompue sont une honte. Une faute très grave contre l'ordre public.

"Hodie mihi, cras tibi." "Aujourd'hui, c'est moi. Demain, ce sera toi." Aujourd'hui certains Français se réjouissent de l'assassinats de gens qu'ils considèrent comme leurs ennemis. Mais il n'est pas possible de se réjouir que l'ordre public soit bafoué. Les peines ne peuvent être infligées qu'après un processus légal tendant à obtenir la certitude de la culpabilité. L'infliction d'une peine doit être prévue par les textes.

Voici ce que dit le Compendium de doctrine sociale:

« 402 Pour protéger le bien commun, l'autorité publique légitime a le droit et le devoir d'infliger des peines proportionnées à la gravité des délits. L'État a la double tâche de réprimer les comportements qui portent atteinte aux droits de l'homme et aux règles fondamentales d'une société civile, ainsi que de remédier, par le biais du système des peines, au désordre causé par l'action délictueuse. Dans l'État de droit, le pouvoir d'infliger les peines est, comme il se doit, confié à la Magistrature: « Les Constitutions des États modernes, en définissant les rapports qui doivent exister entre le pouvoir législatif, exécutif et judiciaire, garantissent à ce dernier l'indépendance nécessaire dans le cadre de la loi ».
(…)
404 L'activité des structures chargées d'établir la responsabilité pénale, qui est toujours à caractère personnel, doit tendre à la recherche rigoureuse de la vérité et doit être menée dans le plein respect de la dignité et des droits de la personne humaine: il s'agit de garantir les droits du coupable comme ceux de l'innocent. Il faut toujours avoir présent à l'esprit le principe juridique général selon lequel on ne peut pas infliger une peine avant d'avoir prouvé le délit. »

Rappelons la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen qui fait partie du "bloc constitutionnel":

Art. 7. Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la Loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ; (…)

Art. 8. (…) nul ne peut être puni qu'en vertu d'une Loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.

Art. 9. Tout homme [est] présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable,  (…)

Inutile d'observer que la magistrature n'a aucun poids contre ces crimes et que leurs auteurs restent injustement impunis.

C'est un autre aspect de l'État mafieux français.

3.1.17

L'affairiste de La Suriane, ma nièce Marie-Laure Merlin vole avec la complicité de la cour d'appel

Pancarte invitant la clientèle à l'entrée du domaine
J'ai pris ces photographies il y a plusieurs années. Un jour de temps couvert. Les photos ne sont pas flatteuses en raison de la météo. Mais comme je suis personna non grata (sur ma propriété), je dois me dépêcher de prendre les photos... et je n'ai pu revenir un jour de beau temps. D'autant plus que j'habite loin et que les kilomètres en voiture ne sont pas gratuits.

Ma mère a "donné à bail" en fait, fait cadeau de l'usage d'une propriété qui lui venait de son père Étienne Auran.

Elle l'a donnée à bail à une société composée de cinq de mes frères: Louis, Henri, Jacques, André et Michel.

Dès le départ, j'ai été exclu.

Cette société qui ne payait et ne paie toujours aucun loyer a fait faillite en l'an 2000. Elle a obtenu un redressement judiciaire frauduleux et a été remise hors procédure collective en 2010.

En 2014 elle a produit un chiffre d'affaires d'un montant de 554 000 € et les charges d'exploitation ont été de 567 700 €. Elle n'est donc pas viable. En 2013, ce n'était pas mieux 4 778 € de résultats d'expoitation pour l'année et elle ne payait toujours aucun loyer... Donc elle n'est pas viable.

De plus cette société n'ayant jamais payé aucun loyer, aucun droit d'enregistrement (droit de succession par exemple), c'est donc un voleuse, car quand on jouit d'un avantage, on le paie. Sauf chez les voyous, les mafieux et autres proxénètes et trafiquants de drogue ou à la cour d'appel d'Aix-en-Provence...

J'ai payé 2 000 € environ de taxe foncière à cette grosse et grasse multimillionnaire, moi qui n'ai pas un sou. Cela en raison de la corruption des services fiscaux et du tribunal administratif de Marseille. Voir mon post sur cet aspect de l'affaire.

La cour d'appel d'Aix-en-Provence présidée par le nommé Chalumeau (qui pue le franc-mac) a en effet condamné ma mère à payer environ 500 000 € de réparations sur un bien qu'elle "louait" 2 300 € par an  (191,66 € par mois)...

Autrement dit les magistrats français fraudent le fisc en faveur de leurs copains maçons, car il pensent être à l'abri des regards dans une affaire civile compliquée, difficile à expliquer en termes simples au grand public.

Quelle moralité ! C'est beau la maçonnerie et la magistrature française !

La question que je me pose: dois-je croire les comptes à dormir debout de Marie-Laure Merlin et penser que la société n'est pas viable ? Ou dois-je plutôt considérer la réalité, c'est-à-dire que, avec la complicité de la cour d'appel d'Aix-en-Provence, cette société est et a été pillée par ses dirigeants, mais que cette société génère des bénéfices par centaines de milliers d'euros, voire plus d'un million de bénéfices annuels ?

J'écris plusieurs centaines de milliers d'euros. J'en suis réduit aux hypothèses étayées par divers éléments (vin AOC, huile d'olive de prestige etc.) Et puis, la vile affairiste Marie-Laure Merlin exploite cette propriété depuis 2005 et son père avant elle l'exploitait depuis 1992... Je me dis que ces gens, intéressés comme ils le sont, s'ils l'exploitent, c'est qu'ils se "font" beaucoup d'argent, car ils sont par ailleurs très, très riches (centaines de millions d'euros, voire plus). J'en suis réduit aux hypothèses, car je sais que si je demandais une expertise, outre que je n'en ai pas les moyens, je sais que les magistrats refuseraient, m'insulteraient non sans m'avoir condamné à une indemnité d'article 700 conséquente.

Mais d'un autre côté, la non-viabilité apparente de cette société a une utilité, non seulement sur le bénéfice, mais encore sur le capital. Faire déposer le bilan, puis dans le cours de la procédure fait racheter le fonds agricole à vil prix avec l'aide de la cour d'appel d'Aix-en-Provence, en se présentant comme l'exploitante.

Anecdote: Marie-Laure Merlin non contente d'éponger le chiffre d'affaires pour le mettre dans sa poche (sous le regard attendri du fisc) a créé une société unipersonnelle et qu'elle a intitulée La Suriane (confusion volontairement entretenue). Cette société facturière La Suriane dirigée par Marie-Laure Merlin facture à la SCEA La Suriane des prestations que décide... Marie-Laure Merlin en "faveur" de la SCEA La Suriane et que paie la généreuse SCEA La Suriane. C'est un des moyens d'augmenter les frais en se servant. Redoutable Marie-Laure Merlin copine de la cour d'appel d'Aix-en-Provence.

Anecdote ou plan en capital à long terme ?

Cette société  unipersonnelle La Suriane dont la propriétaire est Marie-Laure Merlin n'a-t-elle pas pour but de racheter le fonds agricole appartenant à la SCEA La Suriane, de le racheter à vil prix après avoir montré les comptes falsifiés ? "Ce fonds ne rapporte rien, il ne vaut rien." Les juges feront semblant de le croire.

Comme cela le fonds agricole, très largement sous-évalué, voire évalué à l'euro symbolique passera de la SCEA LA SURIANE à la société unipersonnelle LA SURIANE dont Marie-Laure Merlin est unique propriétaire. Le grand public n'y verra que du feu... Les magistrats riront sous cape avec leurs copains Louis et Marie-Laure Merlin...

Que Marie-Laure Merlin et sa société bidon restituent le chiffre d'affaires qu'elles dissimulent avec la complicité active des magistrats et des agents du fisc de Istres !

Ou plutôt que Marie-Laure Merlin l'affairiste, décampe de cette propriété qu'elle parasite avec la complicité des magistrats et des services fiscaux.

Pour le grand public, en lisant les documents que je publie on voit avec évidence que l'État français est un État mafieux. Des dizaines de millions d'euros changent de main de façon bien plus sûre que dans un hall d'immeuble...

Voici quelques photos de la propriété La Suriane:

Salon, vue partielle. Fraîcheur et ambiance typiquement provençale

Habitation du propriétaire façade sud vue partielle (environ 500 mètres carrés)


Vue sur la façade sud des logements (plusieurs centaines de mètre carré, voire plus d'un mllier)

Vue sud de la cave (à gauche sous le pin) avec une réserve de vin

Vu soleil couchant sur l'ancienne écurie avec grange transformée en cellier à vin

Tout ça, enfin pas tout ça, beaucoup plus que tout ça ! parce que ce ne sont que des vues très partielles, pour 2 300 € par an (191,66€ par mois), avec en prime 500 000 € donné par l'inénarrable cour d'appel d'Aix-en-Provence ! Cette propriété comporte 225 ha en plus des bâtiments que l'on peut voir partiellement sur les photos, dont de la vigne (dont AOC coteaux d'Aix-en-Provence de plusieurs dizaines d'hectares, oliveraies de plusieurs dizaines d'hectares, terrain de camping payant, chasse, vue en adret sur l'étang dépollué). Le tout à moins de 30 km d'Aix-en-Provence dont 20 km d'autoroute. Merveilleux magistrats français ! Et surtout bravo pour votre probité magistrats français ! Vous m'édifiez tous les jours. (à suivre car la probité des magistrats français est inépuisable).

Les récompenses sur la porte du cellier de vente (cellier de vente aperçu, très, très partiel sur une photo plus haut)